lirik lagu profecy - jalousie, judas, etc...
[intro]
p.r.o
j’m’en bats les couilles, mec, d’la jalousie, tout ça
j’trace ma route, tu vois
[couplet 1]
beaucoup d’choses ont changé depuis qu’j’ai commencé à rapper
c’est la justice du gravier qui vient t’juger
les faux bandits ont bluffé tout l’monde
avec leurs vieilles paroles de mômes de seconde
à force de bouffer vos clips, j’vais violer vos fausses blondes
impossible de brancher la radio, y a qu’de la merde sur les ondes
et pourquoi ces artistes me haïssent ? (hein ?)
alors qu’ils accumulent des plaques en roro, tu vois pas l’injustice
d’ailleurs, ton son, y a même la police qui l’kiffe
t’es qu’un rappeur merdique à l’audimat plein d’vice
question, pourquoi tu multiplies tes apparitions ?
me voir, c’est rare comme un [?] en station
fier de mon statut, réaction
j’entrechoque mes poignets, pas d’bling~bling à la con
dans la rue, toujours autant d’blabla
qui parlent mal derrière ma colonne vertébrale, dans les affaires verbales
c’est à chaque fois les mêmes putes qui jactent, qui braillent
mais tu m’diras, j’suis trop jaloux, c’est normal j’ai pas un sou
et les voir, ça m’donne des soucis
car j’ai le même regard quand j’vois les flics qui m’matent
ou les blacks dans c’biz qui passent
et j’sais qui compte le fric par le dard
barbare, c’est l’cri des briques qui t’braque
et la jalousie est tous notre obstacle
[refrain]
ils m’ont appelé par tous les noms sauf celui d’vainqueur
y a trop d’judas qui parlent mal, y a trop d’parleurs
j’sectionne les cigares pour les métamorphoser en civière
j’tire des grosses taffes pour tous les jaloux vénères
la jalousie peut t’caner donc j’ai blindé mon vestiaire
j’rêve que les fils de pute baisent vraiment leur mère
[interlude]
tu vois ?
tu vois l’style, mec, rien à foutre de tout ça
[couplet 2]
mon skeud, considère~le comme une ogive
comme une carie sur les gencives
ensuite, lacoste me rémunère pas
merde, pourquoi j’leur ferai d’la promo tuit~gra ?
moi c’est sweat, pompes, froc large, sans fric
mes boots écrasent les jaloux sceptiques
j’gaze l’hexagone avec mon son trop toxique
les grandes gueules n’ont qu’à bouffer leurs barbituriques
et déchiffre bien toutes mes paroles entourées d’fil électrique
électrochoc, casse~toi quand j’rapplique sur un son synthétique
fais cracher l’souffle au synthétiseur
pas d’égale, la grim team, équipe de tiseurs
esquive les grands parleurs, leur discours qui pue la rancœur
même la jalousie contient une certaine odeur
faut s’immuniser contre les langues de vipère
jamais d’copinage avec les faux derches, ils sont capables d’allumer la mèche
foirer tes affaires, t’écarter des frères
mais j’suis plus haut qu’ça, moi
interdit d’m’attarder sur toutes les races de bâtards, enfoiré
la chevrotine a jamais été raciste
les uns contre les autres, mortel combat auquel on assiste
[refrain]
ils m’ont appelé par tous les noms sauf celui d’vainqueur
y a trop d’judas qui parlent mal, y a trop d’parleurs
j’sectionne les cigares pour les métamorphoser en civière
j’tire des grosses taffes pour tous les jaloux vénères
la jalousie peut t’caner donc j’ai blindé mon vestiaire
j’rêve que les fils de pute baisent vraiment leur mère
[interlude]
fondation !
[couplet 3]
franchement y a trop d’bouches qui s’articulent pour rien dire
les ragots c’est comme le chômage, ça empire
attire toutes sortes d’ennuis, merde
mais j’ai pas besoin d’diamants pour m’faire sucer la bite, mec
tu m’parles de jalousie
mais ta haine poussera ta femme dans mon lit
p~sse sur la zizanie, rien à battre d’vos querelles
pisté, j’me débats, le système nerveux rongé
viens pas m’les casser, j’suis en tournée (casse~toi)
toujours la même zone, les mêmes sosses qui viennent me chercher
à l’interphone pour breakfast avec une despé
et la rue ne fait pas que d’mater, même qu’en plus elle arrête pas d’brailler
et les pipelettes finissent sur l’brancard
le terrain est rempli d’bavards
des bâtards qui rêvent de te plomber pour jouer les vantards
il n’y a qu’un pas entre la rime et la frime
une fine barrière anorexique entre la haine et l’amour
les guérillas et les tours, le fric et la cour (le fric et la cour, le fric et la cour)
[interlude]
yeah
tu vois c’qu’on veut dire, hein
duke aux manettes
pro aux lyrics, hein
pour certains ça s’finit par un conflit crucial
qui s’termine couronné par une pierre tombale
c’est ça la jalousie, alors vas~y parle, vas~y frime, hein
assure~toi d’la fiabilité d’tes complices
en temps d’guerre, mon pote, j’résiste
on fait nos biz, frère, on fait notre son
que du vrai, que du bon
[refrain]
ils m’ont appelé par tous les noms sauf celui d’vainqueur
y a trop d’judas qui parlent mal, y a trop d’parleurs
j’sectionne les cigares pour les métamorphoser en civière
j’tire des grosses taffes pour tous les jaloux vénères
la jalousie peut t’caner donc j’ai blindé mon vestiaire
j’rêve que les fils de pute baisent vraiment leur mère
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