lirik lagu planète rap - enorme freestyle de nekfeu en live dans planète rap !
[pont 1 : nekfeu] ×4
j’suis sorti du ventre de ma mère pour vous faire l’album de l’année
les autres vendent de la merde, je l’ai fait sur mon propre label
dis-moi, c’est quoi l’album de l’année ? feu ! feu ! feu ! feu !
[couplet 1 : nekfeu]
comme walter white, j’ai mes clarks wallabees
sœur, serre-moi la main, frère, claque-moi la bise
je ne côtoie que des avions à la carlingue parfaite
j’ai beaucoup plus de goût que karl lagerfeld
le monde de l’art est vantard, il te vend du street-art
mais ne veulent surtout pas voir mes scarlas graffer en vandale
feu ! feu ! feu ! feu ! feu ! feu !
feu ! feu ! feu ! feu ! feu !
tu peux ressentir l’aura dans nos raps, sortez les anoraks
on aura bientôt l’orage selon l’oracle
ma conscience m’a dit : “qui es-tu ?
veux-tu vivre dans le vice ou dans la quiétude ?”
ça dépend où est l’pèze, on doit être bêtes, ouais, p’t-être
mais ma plume peut clouer l’bec de houellebecq
ici, on est vite tentés, il vaut mieux que tu vives ta quête
j’ai entendu : “vide ta caisse”, le lendemain, les flics enquêtent
[pont 1 : nekfeu] ×2
[couplet 2 : framal]
c’est quand j’aurai des millions que j’me questionnerai
dans quelques années, je me demande qu’est-ce qu’on aura
si je n’savais pas que les keufs m’espionneraient
jamais j’démissionerais même s’ils veulent mon aura
la voix d’la tess’ dans l’oreille
faut qu’on encaisse dans le rap
mental d’acier tah les chefs de guerre
dis-moi tu vas ken lequel ?
je n’vois que des merdeux gueh
tu vois pas comme les chiennes te guettent ?
elles rêvent d’être avec moi comme dans des fiançailles
pour que je ne regarde plus mes finances
inch’allah, je ne mettrai qu’une fille enceinte
j’prie mon dieu mais je reste silencieux
pris dans l’jeu, c’était une évidence
pris dans l’feu, qui sort seul
méfiance, faut qu’tu prennes tes distances
vie d’malfrat en noir et blanc comme les films anciens
quand on est sur scène c’est l’empire byzantin
mon équipe rend dingues les pires depuis bambins
[couplet 3 : nekfeu]
la nuit, je sors sans but comme un somnambule
y’a certains rêves que les hommes n’ont plus
j’ai vu cette fille, on était seuls dans l’bus
elle avait les yeux rouges, elle avait pas seulement bu
elle avait de la came dans un sac balenciaga
elle s’est fait caner, c’est ça d’balancer un gars
dans paname, y’en a qui s’perdent, y’en a qu’espèrent
péter des sapes agnès b., des nike sb
dehors, c’est froid, y’a plus d’humanité
un homme est mort inanimé devant un immeuble inhabité
c’est la crise ! la crise ? qui est-ce qu’elle atteint ?
toi, moi ou le suicidaire qui escalade un toit ?
[couplet 4 : 2zer]
si dieu veut, jusqu’à 120 ans : voilà mon espérance de vie
toujours dans l’excellence, tu connais mes préférences
on est vraiment des références de style
dans l’équipe, aucune déviance, nan
on ne tolère pas la médisance, nan
on est méfiants, choisis ton camp
au lieu de rester entre deux fils, nan
tant que je n’ai pas de millions
mes egotrips resteront de l’autodérision
besoin de causes et regrets pour quitter ce monde de merde
je me laisse aller avant de prendre une autre décision
trop de menaces et de coups de cr-sse pour des loves
je le sens tout d’suite quand un traitre tape mon épaule
ne le vois-tu pas ? de quoi tu parles à part de ton ego ?
moi, rester à ma place, ce n’est pas dans mon créneau
[pont 2 : dosseh]
j’veux que def jam signe mon chèque, ouais, mon putain d’chèque
j’veux qu’la sacem signe un chèque, ouais, mon putain d’chèque
j’veux que def jam signe un chèque, ouais, mon putain d’chèque
j’veux qu’la def jam signe un chèque, ouais, mon putain d’chèque
négro, faut d’la maille, ouais, mon négro, faut d’la maille
rebeu, faut d’la maille, ouais, mon rebeu, faut d’la maille
babtou, faut d’la maille, ouais, mon babtou, faut d’la maille
babtou, faut d’la maille, ouais, mon babtou, faut d’la maille
[couplet 6 : dosseh]
j’dors les yeux ouverts, j’parle avec les esprits
j’ai fait souffrir car j’ai souffert
j’ai fait des erreurs aujourd’hui j’en paie l’prix
j’suis bon qu’à rapper c’que j’suis
mes raisons, mes torts, c’est ça être vrai, couz’
et foutre des foufs dans mes clips
que moi-même je n’voudrais ni comme sœur ni comme épouse
j’suis qu’un fou parmi des cons
en vrai, j’sais même pas dans quoi j’suis
ces bâtards m’critiquent, si j’les laisse ouvrir leurs gueules
c’est juste que j’aime savoir dans quoi j’chie
j’lâche des perles en stud’
mais j’crois qu’l’industrie n’y voit qu’tchi
et ma voisine du dessus
me regarde comme si j’étais un frère kouachi
on apprend à s’faire tous seuls, vu qu’le système nous néglige
on deale en croyant être screds
alors qu’on s’fait remarquer comme une pute dans une église
j’rappe pour mes rabzouzs
j’rappe pour mes n-ggas
black, blanche ou beurre, j’les aime toutes
du moment qu’elles remplissent leurs leggings
j’ai l’inspi’ à tupac, flow sale comme l’argent d’la bicrave
frais dans les clips à t’en faire croire
qu’être négro en france n’a jamais été un handicap
j’pratique le haut-débit, numéricable
toi, t’es un faux mac mais ne pute véritable
j’me mets à nu, mais j’suis pudique
un peu comme une actrice x en niqab
beaucoup qui font les hlels mais qui les baise en chette-ca ?
y’a ton adn sous la semelle de ma sket-ba
micro semi-auto, j’appuie sur la chette-ga
j’ai perdu au loto donc j’ai vidé [?]
j’suis avec mes potos, capuché, squette-ca
trop chaud, loco, abusé, teste pas
ton équipe est [?] et prête à gober des chibres
mon équipe est glauque et prête à t’voler tes litrons
[couplet 7 : doums]
tu veux tester mes salauds, ça fait bang, genre saloon
frère, si je t’allume c’est que j’suis prêt pour l’salut
t’es pas d’la mif, parle-moi biff ou parle-moi d’profit
dix kilos d’weed, un kilo d’sh-t, le tout sera blanchi
on fume le matos, mes vatos vont brûler ces rappeurs
ça sera du gâteau comme rotte-ca le [?] de l’éducateur
a bord d’une merco benz, vitres teintées, grosse boisson
c’est la moisson, les mousseux sont d’sortie, ouais eh mistinguette
rentre dans le vip si tu veux changer de vie
si tu rentres dans le lit, sache qu’on rentre dans le mille
j’suis un hot n-gga
mes gavas derrière oim ne craignent que god, n-gga
mon équipe pète les scores pendant qu’tu t’fichas, kho
rebeu, renois, babtous, chicanos
tes négros softs ont des chichas roses
suffit pas d’pomper tous les rappeurs de chicago
[couplet 8 : john hash]
c-ssos, plaques et matraques : la capitale est yomb
ici ni fleuve ni lac, juste une scène l-sse-dèg donc allons-y, fuyons
entre les putes, les conn-sses, les gars, nous trions
vie l-ssante nous rions donc j’accomplis mon triomphe comme l’arc
imagine la tour eiffel se faire amputer
boumbadaboum ! encore un keuf vient d’se faire buter
le pognon, c’est l’thème
l’opinion d’ces débiles n’est pas essentielle
sans gène, c’est l’défilé des pigeons avec ou sans ailes
certains, pris de dégout, deviendront des scélérats
sortis des égouts, les bourges nous regardent
en s’disant: “c’est ça les rats…”
la street a mauvais ragout, p-sse tes thunes et ça l’aidera
a -ssaisonner de plus de gout, ça vaut le coup mais, ça, c’est rare
j’voulais porter le stard-co mais les keufs m’ont mis les pinces
on n’écoute pas sarko, ici, seul le parc est un prince
au plus profond d’mes songes, j’ai vu cette lueur lunaire
sans aucune honte
j’vous présente le côté sombre de la ville lumière
[pont 2 : saïga] ×2
d’ici à châtelet, des deux côtés du périph’ on gronde
drogue, s-xe et noctambus : voici la capitale du monde
l’hiver est rude, la neige tombe et s’faufile par le zen
les mecs sont prudes et puis
te plombent dans les nuits parisiennes
[couplet 9 : saïga]
paris, ville lumière, ouais, bienvenu dans la capitale
on t’attrape comme thiago silva, porte le br-ssard d’el capitan
tout porte à croire qu’c’est mondain
donc les touristes dépensent plus
[?] devant ces sangsues
donc j’pense plus comme rodin
les clochards gisent sur le sol, les dealers dans la zeb
des péniches en façade cachant les cadavres enfouis dans la seine
la fréquence des contrôles varie d’p-ssy à bès-bar
entre le 16ème et l’18ème, y’a qu’le 17 qui sépare
yo, embr-sse le peuple de dakar à brazza
une odeur de bazar, ici, ça fouette comme la madr-ssa
ouais, c’est paname, ça: des rats aux dimensions de macro
-ssume la cité des arts, un concert par rame de métro
efface le cliché béret, gondole et cornemuse
et, pour les fraudes de bus, devant les leurs
on change de blaze comme c-ssius
a la différence de totti, ici, les roms vident les bennes
et c’est pas les gars du 19 qui t’diront qu’la vie est belle
[couplet 10 : nekfeu]
dans les dédales de paname, j’n’ai pas d’égal, j’me balade
pas loin des halles, où les daleux parle mal de la femme
et je déballe des tas d’phases, au départ, j’n’avais pas d’bases
mais je taffe et les raps sales que je lâche te laisse patraque
je n’aime pas les paper-sses, parlez pas d’ça
j’ai le bac mais le choix d’ma vie c’est d’rapper la night
ouais, ça c’est ma life, j’ai pris des tas de claques
prié tard le soir, grillé par la bac, c’est pas marrant
j’ai gratté pas mal de phases de malades
si j’ai dragué ta femme, c’est un acte b-n-l
je plane dans le calme, flâne quand je dave-bé
j’ai pas le temps de parler aux fans à part aux t-sses-pé
[couplet 11 : jazzy bazz]
la vie est ainsi faite, envier les alliés du système
chaque matinée sur l’pallier, l’cœur habillé de tristesse
les yeux rouges écarlates, rentrant d’une soirée b-n-le
boire et foirer sa life dans l’espoir de croiser la joie
gars, j’te croyais capable
pourquoi tu t’détruis pas comme nous ?
réduits dans des débris d’alcool croyant que dieu pardonne tout
j’attends que les juges de mon âme me cond-mnent
qu’ils se demandent si j’suis têtu ou si j’ai fait le bon choix
me convoitant pour que débute un constat immoral
comme mes pensées emprisonnées dans les cellules de mon crâne
mes gars se foutent de la sentence
toi, quoi la peur, yo, c’est tout c’que t’as dans l’ventre ?
j’me suis retrouvé en présence de la démence
chemin faisant dans l’indécence
la roue tourne mais dans quel sens ?
est-ce qu’on avance ou on recule dans cet enfer ?
le temps nous joue des tours et la roue tourne à l’envers
t’es du-per si tu crois qu’j’récupère des écus
lorsque j’énumère mon vécu, mec, j’aurais dû faire des études
dans les rues j’erre sans vrai but, la vérité, c’est qu’ça me rend fou
comme ces rageux méprisants
me disant que j’ferai pas de grands coups
j’veux pas d’une vie fade et sans gout
j’craque, des fois j’pète mon câble
sans tromper pour compter du fric comme un expert-comptable
la vie, une pêche frontale, ils font les fiers
mais tous mes frères ont mal
pas d’cœur de pierre face aux pierres tombales
[couplet 12 : nasty y-ss]
les mains sales et la rime propre, paris nord en pleine forme
comme d’hab, le ciel est gris comme ton macintosh
j’m’active, bosse car dans l’bronx, les macs, les putes
le crack, c’est une [?], c’est stupide mais j’connais ça
malgré l’omerta, t’inquiète que nos mères savent
viens tester les nôtres, j’t’-ssure ton corps sera méconnaissable
toujours dans les business bizarres
[?], j’ai plus l’temps
ni même de visage, je vis ma vie chaque milliseconde
les négros qui agissent comme des b-tches me gonflent
je reste vrai même si c’est vrai
qu’les vrais négros irritent ce monde
le contraire se tient aussi
j’sors une veste en cuir peinte sur un tachini comme saïd
on bicrave même à l’aid, la débrouillardise du pirates des caraïbes
hustler de luxe, longtemps que j’cogite sur l’métier
on loue un appart’ en face du comico pour les surveiller
trouve-moi dans un sombre côté du square
j’ai le crack en solde si ta meuf a du mal à perdre du poids
issue dramatique, l’automatique m’a dit :
” la technique est stricte, break, beat et spliffs, esquive les flics
et les balances même si des fois c’est pas si facile. ”
j’préfère ça qu’être celui qui reste p-ssif -ssis
sur l’banc à regarder les gros culs et les dollars qui p-ssent
[?] j’rime salace, mes taulards bicravent
même à l’intérieur, qui suis-je pourn’pas mailler en liberté ?
si t’aimes pas, t’es un illetré, cousin
est-ce que tu captes, on veut du calme
tire deux fois dans le ciel, négro, j’ai cru y voir les yeux du diable
[improvisation 1 : 86 joon]
86 joon speaks
set that n-gga in history
86, call me 86
or joon b-tch you can take your pic
or take a pic, post a insta fl1ck
got your girl all on my hip
don’t act like you ain’t heard that
for when i speak you n-ggas p-ssed
flippin this dawg you had it i got it
[?] no worry who watchin’ ?
so sophisticated
ain’t no one [?] watchin’
still n-ggas wanna hate you ?
tell somebody comes naughty
i ain’t a gangster but i’ll break neck
i worked for mine, deserve all these checks
took chances n-gga, won all my bets
i’m a man n-gga so i owe my threats
ain’t worried about it, look at me
i pay no mind and kept my eyes on me
and you’re still broke, and that talk is cheap
p-ss me i’mma tryna go get ali
fist fight in that mirror n-gga
like rick hill, rockin’ hilfiger
i’m dmx
[couplet 13 : plk]
tous tes rappeurs c’est des mythomanes en puissance
qui rêveraient d’avoir le flow et l’épopée de qui j’pense
beaucoup trop longtemps que j’erre
et que j’leur mets des distances
j’veux l’million maintenant je bosse avec…
heureus-m-nt que j’ai des gavas qui sont là pour moi
cette michto, elle veut mon porte-monnaie pas la bague au doigt
tes rappeurs, les éliminer ça n’me fait pas peur du tout
pour trafic tu prends la même peine que marc dutroux
comme d’hab, j’suis posé à pdm
et bisous aux haineux qui la ferment et qui laissent p-sser les hyènes
[couplet 14 : aladin 135]
on a le cœur mort et les mains dans la merde
a chacun de nos actes on se rapproche de l’enfer
perdu dans ma matrice, j’ai la grise mine de gandalf
tu veux un feat ? pose ton smic qu’on en reparle
parait que j’suis un prodige mais j’ai déjà déconné
donc, bébé, suce pas trop ma bite
même si je sais que je suis pas comme les autres
et que le médecin l’avait dit lors de l’échographie
[pont 2 : aladin 135] ×2
j’ai des plaies, j’peux les rapper des heures
approche et apprends que j’ai jamais voulu être célèbre
j’me réveille dans une mercedes neuve
car hier j’ai noyé ma peine dans la belvédère
[couplet 15 : aladin 135]
ouais je bois des litres de vodka
a la santé de ceux qui voulaient nous mettre des rottes-ca
on vole pas aux voleurs, va t’occuper d’autres gars
moi si je suis un rappeur, je suis un rappeur haut de gamme
j’ai la tête sur les épaules et les épaules dans la piscine
pâtes au pesto dans un resto de la city
tu côtoies des vieilles gos, moi mes khos n’ont que des missiles
on fréquente des tel-hô mais tu me verras jamais à l’ibis
j’ai la monnaie, collègue, rien qu’on fume le pollen
on est sept sur scène et parait qu’on est en colère
toujours op j’opère, direction le soleil
je rappe sept sur sept, je suis le meilleur depuis le collège
jamais à l’heure à mes rendez-vous, excusez-moi monsieur
j’avais mieux à faire, je suis aller manger sur les quais
après je comptais venir, mais y’avait des fans sur mes côtes
ils voulaient des photos et je suis mauvais à ce jeu
si tu me vois dans la rue, s’il te plait ne m’arrête pas
fais tes bails, j’ai ma tranquillité et ma rette-ba
si ce flic ouvre sa gueule, mettez le dans la caisse noire
nous n’avons que notre liberté en guise d’espoir
[couplet 16 : ormaz]
appel inconnu, salope de plus me parasite
a peine reconnu, les jaloux sont plus [?]
j’ai pas lu l’avenir mais ça s’voit qu’ce monde est cond-mné
donc avant d’partir, j’dois finir tout c’que j’ai commencé
issu d’là où ça pue la mort, la drogue et les keufs
là où les peuples s’entendent entre musulmans, chrétiens et feujs
fils, le prestige se gagne en travaillant pas si tu suces
le crime paie mais y’a rien d’glorieux dans c’ness-busi
sont tous hors-jeu car j’suis défenseur avec un gun
t’es défoncé sous rhum, j’écrirai mes versets sous l’porche
on a tous bicrave alors pourquoi tu t’sens pousser des couilles ?
biatch, reste cool, c’est pas la gucci qui fait l’lascar
alors qu’on s’serre les coudes, sert à rien vu qu’tu sers à rien
putain, vraie tantouze fais du boucan juste pour être craints
moi, j’ai le cran, la haine, le seum, quand j’serai grand
j’voudrais le biff, être à l’abri afin d’claquer ses seufs
[couplet 15 : asf]
panama bende on est sept, on peut t’faire chier toute la semaine
comme une merde dans laquelle j’viens d’marcher
les mc’s sont tous sous ma semelle
le mic, on m’la donné, ok, rappons
mon rap est frais, mon rap pétille : à consommer avec modération
sinon tu risques de t’blesser, le beat j’veux l’dresser
sache que même si j’flippe tu m’verras pas les yeux baissés
hey l’internaute, si t’aimes le rap viens voir ma page
dans mon équipe on garde la tête haute
dans l’espoir de pas boire la t-sse
écoute ce beat, mes khos kickent stone
mais ça, ça ne bouge pas depuis les beattles ou les rolling stone
j’connais mes bases, j’ai relu ma leçon et j’vote la paix
fais comme moi, écoute ces b-sses
mets l’volume à fond et hoche la tête
j’lâche que des phases qui te fascinent, effacent tous les blazes
écoute les mc’s sont sous plaques d’égouts
et n’ont qu’des placements faciles
perdre sa valeur dans c’monde,où l’argent fascine
j’aime trop cette tension dans la salle
lorsque les fans attendent l’artiste
18 ans à peine, tu vois que l’âge ne fait rien
le beat prend déjà tarif et pourtant là je n’fais rien
jeune terrien qui n’aime pas rester seul, ouais
un frère au tel’ dans la main gauche
et avec l’autre, ma belle, j’caresse tes seufs
[couplet 16 : mekra]
c’est l’binôme infernal, sors l’matos, prends le bédo
j’préviens qu’ça va faire mal comme le lapin dans le métro
c’est pour mes gars d’mmerce-co
qui font du biff, arrêtent la hess
tu kiffes avec la tête, c’est qu’on kicke avec la tech
h-ssanettes sur h-ssanettes, j’les fais ap, j’les ferai
pour l’instant, j’suis dans l’optique de gérer des khenzettes
la recette, on cherche tous à s’la procurer
f-ck le procureur, trop d’curieux, ça a trop duré
au stud, j’me dis : tue-les tous, j’compte même plus les douzes
c’est pour tous mes couz équipés d’un putain d’bulletproof
faut-il un style sophistiqué ? ouais, trop d’estime
on est ssif-ma, nocif pour les flics, vont-ils kiffer ?
hein, c’est c’que j’me demande
quand j’me dit qu’faut que j’les démonte
dès l’tin-ma, j’reçois plein d’amendes, on m-ssera pas la loi
j’suis pas un padawan, wallah, rien d’un balavoine
j’parle à toi quand t’as pas la gnaque, tu p-sseras pas la douane
c’est leur bel équilibre, j’viens de paris city
j’suis le best, tu veux test, en un bang je t’élimine
c’est pour tous mes reufs qui fument de l’herbe à l’air frais
j’aime quand une voiture de keufs me laisse traverser
[improvisation 2 : nekfeu]
parfois j’ai envie de tout faire péter pour qu’il reste rien de ce désordre
ils s’battent pas pour… mais restreindre ceux des autres
ok ça foire mais c’est pas grave j’pars c’est pour ma poire
j’me fends la poire rien à faire mec, … je vois
ah c’est comme ça qu’ça s’p-sse mec j’compte pas pour du bois
c’est pour mes potes qui prennent du poids
hey, qui va kicker ça ? gagne un peu de temps pour le prochain
c’est comme ça qu’ça s’p-sse, ceux qui s’font crosser, j’aime aussi les gros seins
[couplet 17 : eff gee]
j’suis pas skin même en polo fred perry, tu le sais
j’suis le best, elle est loin l’époque de hail mary
j’expérimente des flows qui vont t’faire périr
pour les faux, ça risque d’être terrible
t’es en vogue si t’as nos jers’ et nos vestes teddy
meilleurs textes, meilleurs textiles, l’dernier cri
qu’ces mc’s pousseront risquerait d’me faire plaisir
gardez vos b-tches, j’suis l’homme qu’elles désirent
j’débarque, elles deviennent célib, la vie c’est si hard
estime-toi frais si t’as ta mif et des biffs à faire
eff gee, stop ! f-ck tout ça !
quand j’gratte, c’est d’la frappe, il faut qu’ça cogne tout-par
face au eff du l, qu’est-ce tu testes ? mec, tu perds
tu fais l’fou mais t’es trop doux, tes potos t’appellent “my boo”
mes bulles d’air restent sur terre, frère, tu sais
trop s’étonnent des babtous qui rappent et c-ssent tout
pff… comme si on allait s’arrêter
j’vais pas m’abaisser à ça mais j’vous mets la fessée
elles veulent caresser ma barbe car il paraît que c’est d’la balle
voudraient s’faire graisser la patte, au moins s’faire lécher la chatte
laissez-moi ! j’kiffe pour mes homies
tes sons soûlent plus qu’une bouteille d’eau-de-vie
j’les écoute, fonce-dé, pour m’faire vomir
[couplet 18 : deen burbigo]
je sais c’que j’ai à perdre, je sais c’que j’ai à gagner
toujours pas d’rolex au poignet, j’sirote ma mauresque au panier
restons calmes, restons parés, que les commères restent au palier
j’ai la fierté dans le sang tout comme mes collègues oranais
leur rap game, c’est un putain d’truc de putarelle
en une semaine de planète rap
j’vois plus de putes qu’à bucarest, j’me prends plus la tête
ça vaut plus la peine, tu crois qu’tu m’arrêtes
j’te coupe un bras et puis je t’encule avec
j’te crève un œil avec ton propre orteil
all black comme le croque-mort, requiem post-mortem
j’suis fort, j’suis formel, je n’sors qu’des trésors d’orfèvre
j’commence doucement, j’finis gore comme hostel ou dorcel
présente-moi tes jolies potes, j’leur présenterai mon lollipop
j’ai mis ma eue-qu dans tellement d’gorges
elles m’appellent toutes le polyglotte
j’maîtrise la langue jusqu’aux litotes, la france jusqu’aux ipod’s
j’redonne de l’espoir au game, j’redéfinis le mot hip-hop
burbigo, j’vais les ken jusqu’à c’que j’bande plus
ils vont tous crier mon blaze comme s’ils étaient mes plans cul
qu’ils crèvent avec leurs 16 jetables
j’rêve de les voir en sang, les soigner avec du sel de table
me cherche pas ou tu risques de perdre
tout l’monde a vu mes rc, j’ai percé sans sucer d’verge
qui peut en dire autant ? sûrement pas ces tire-au-flancs
je tire au but, je tire au centre depuis qu’la faim m’a pris au ventre
[couplet 19 : elyo]
j’suis rieur, c’est curieux
jeune déviant, retourne chez tes vieux
nah, sérieux, j’suis meilleur même si je fais rien
jump dans c’buiz’ comme un cop dans l’six, ou un mafieux
méfiant comme un œil myope dans l’viseur
il y a des milliards de choses que j’veux illico presto
mini-bar, gov’ chromé, whisky, frappe, resto
ils s’blessent pour des valeurs ajoutées
mais j’laisse faire, il m’reste quelques rappeurs à shooter
j’me fiche de l’égalité des chances, j’vis
pour les lyrics et la qualité des jantes
j’me relaxe, spliff sur quais d’seine
et on m’a dit que j’excellais
quand j’rappe, t’es vexé, désolé, j’suis l’next level
roule de longues battes pour éviter qu’on bosse
et ça fait : double contact entre ma bite et ton gloss
chillance, avec les vilains prend d’la distance
on parle de filles ienbs, de filles minces et de finance
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