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lirik lagu planète rap - du monde en freestyle dans le planète rap de nekfeu

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[couplet 1 : nekfeu]
même si t’as tout fait pour les gens
a la moindre dispute, ils oublieront
déçu de ceux qui rampent
on veut (d’la soupe), il faut des sous qui rentrent
c’est l’souk, j’veux pas d’une zouz exubérante qui zouke
sinon, j’devrai couper le souffle aux soupirants
ils m’supplieront d’les épargner mais j’suis pas économe
hey, connards, laissez parler les vrais bonhommes
tu sais, tant qu’un frère a du cœur, j’ai rien à foutre de ses stats’
on a p-ssé l’stade de s’demander qui sait s’tape
on s’estime et les doutes s’estompent
j’suis pas -ssez stable, sista, cesse donc d’envier ces stars
au fond du trou, à part le ciel, tu veux qu’j’me tourne vers qui ?
envie d’repartir à zéro comme un converti
le traître négocie les trêves, le journaliste grossit les traits
comme un c0ké, que connait-il
d’la philosophie des gosses illettrés ?
sait-il c’qu’il s’p-sse chaque fois qu’un pet-t s’fait renvoyer ?
connaît-il la souffrance de l’enfance
de mes pet-tes sœurs en foyer, hein ?!
comme mon h0m-nyme, des cicatrices, j’en ai bezef
même avec les cordes vocales coupées, je serai un mec de parole
j’me retourne dans mon lit en m’demandant si j’dois les baiser
vu qu’la nuit porte conseil, j’me lève avec le barreau

[couplet 2 : framal]
un vrai repère le rap, y’a trop de faux-amis
peu de perles rares, instinct de volatile
hors-la-loi, postiché comme le corbeau noir
même si la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie
à toutes les heures, la mort peut te heurter
si eux, ils sont pas des hommes, c’est parce qu’ils ont peur d’l’être
y’a pas d’issues pour s’échapper
le sang versé ne sèche jamais
y’a des os, des larmes quand un proche va dans l’au-delà
ils sont là pour de l’or, c’qu’on aime, au fond, c’est l’âme
c’est pas la peau de l’homme, révolté comme mandela
entre parenthèses, toujours là quand ça part en guerre
mes tortionnaires se mettent torse-nu comme la race des saiyen
on attend son heure à part entière
on était forcés d’être forcenés
forcément, fallait qu’ça brille tah les phares xénon
faudrait qu’j’pense à faire des mômes
il faut rendre fier les nôtres avant qu’on enterre mes côtes
j’veux qu’ils écoutent mes derniers mots

[couplet 3 : 2zer]
j’crois bien que le danger vient de mes proches
rien ne m’étonne : tout c’qui m’entoure n’est qu’un simple décor
craindre l’effort ce n’est pas pour moi donc je blinde mes forces
poto, tu pues la défaite
tout c’que j’peux faire, c’est plaindre tes gosses
a force de manier l’argent sale, j’commence à m’en laver les mains
c’est un nouveau départ dans l’rap
on va embr-sser le destin
j’compte plus le nombre de fois
que j’me pète la tête et m’défonce le foie
mec, j’arrête de faire la fête
avec ma secte, on est fonces-dé le soir
s – c.r.e.w
tous ces mecs illettrés rêvent de nous bluffer
le vice peux m’taper dans l’œil donc j’abaisse pas ma garde
la vie : un long fleuve tranquille qu’on traverse à la nage

[couplet 4 : eff gee]
les man, à vos phases, voilà nekfeu, partez
pét-sse, allez, twerke, bouge ton bête de tard-pé
c’est e.2.f, ne tente pas d’contrer
7.5.0.19 si tu cherches la contrée
pompez, pompez, pompez, c’est le l
que des flammes bleues, appelle les pompiers
nekflamme, bazz, flav’, deen
2zer, alpha, doums
mekra, framal, gee
on est là pour longtemps
faut qu’t’achètes feu si tu veux payer comptant
on fait des erreurs mais, quand on chante
on est les meilleurs même quand on s’branle
nique toutes vos notions d’loi, b-tch
du plus profond d’moi, je veux finir au plus profond d’toi
on terminera l’parcours à la morgue
mais avant ça, on est revenus mettre les babtous à la mode
trop d’actions, peu de débats, l’avenir [?]
mais la patience est une vertu que peu [?]
depuis tout pet-t, 2015, l’année du l, bientôt le jour gee

[couplet 5 : alpha wann]
c’est facile de les faire rager, ouais, ça, j’sais l’faire
j’arrive avec les versace et les sachets verts
vous êtes tous gâtés, bande de merdeux du net
a travers ma paire de lunettes cartier, j’vois des lunes écartées
double scotch, j’ouvre le score quand mon équipe rentre
le toit est en feu, le sol brûle, ma clique flambe
les gens nous guettent et n’veulent ap’ s’ambiancer
ils veulent connaitre nos raps, nos sapes
nos placements financiers
f-ck toutes ces débilités d’espionnage
notre crédibilité n’est même pas questionnable
nique les normes, on cherche des deals énormes
dis aux hyènes de déclarer forfait, j’suis là pour un millenium
j’ai bien dit un millenium, dès qu’ça parle argent
ils ont des voix bizarres, c’est comme s’ils avaient prit de l’hélium
faut qu’on les plume vite, colors don dada
on va faire tomber les colosses, yeah
je culmine, ils pourront ap’ me battre
on pratique le rap de patron
anti-personnel comme une mine
j’suis boss, pas intérimaire
quand j’suis dans l’périmètre y’a que des playmates
(j’écris plus de refrains), j’peins à l’instinct
a 25 piges, j’ai déjà signé 25 eins’

[improvisation 1 : alpha wann]
nekfeu, c’est le planète rap
philly flingue au microphone, personne arrêtera
y’a pas d’problème quand c’est le planète rap
tu sais qu’c’est mekra, tu sais que personne l’arrêtera

[couplet 6 : mekra]
c’est mekra, l’mec rare au micro, parlez pas d’bédave, je picole
j’suis qu’un brave qu’a pas d’biff, j’te fais khaf comme à rio
(j’suis pas black ni latino), j’suis un bicot qu’a la dalle
a c’qui paraît, tous ces mythos p-ssent des kilos par la douane
rien dans l’frigo, y’a pas d’maille, on veut chill au panama
piner j-lo, s’il faut k!ller l’beat, mon stylo gratte un max
m.e.k.r.a, et t’as mé-cra cette putain d’caille-ra
ça ira, j’suis faya, pas d’mariage, on salira la zaia
de paris à bahia, on a l’image de cannibale
et c’est khatal tah al-qaïda
et t’as pas idée, à ris-pa on a des qualités
le barillet fait baliser tes p’t-ts, ils restent tétanisés
le sale diable va t’habiter si t’as pas la gnaque, il sait
j’travaille mes patates sur un sac à la salle, j’y vais
j’ai plein d’buts mais pas d’marques et pas d’thunes, c’est la life
j’veux une féfé, j’ai un pc, j’suis pas une pute, j’ai pas d’mac
et mate ma démarche de barge, savoir ne pas parler
de tes bails, c’est un choix, crois-moi, c’est pas gagné
sale t-ss, tu parles mal, j’t’avais dit, y’a pas d’amour à paname
donc pas besoin de t’attacher
[?]
pas que les gallons, tacle les gars qui jactent et ça bédave, pet-t
t’es tarté, les balles te visent, fais l’chaud et attends-toi au mieux
a l’aise, j’t’éclate le pif, j’suis chaud donc j’ai pas froid aux yeux
j’ai pas froid aux yeux

[couplet 7 : doums]
encore un soir où je tente d’écrire mais ma page reste blanche
peu d’inspi, le ventre vide, il m’reste un sachet à vendre
j’me dirige vers le 6, là bas un los-bar m’attend
j’vais m’remplir le bide et l’frigo devant la porte
on se voit, on monte chez los’, la transaction se p-sse en balle
puis j’fonce dans l’trom’, rejoindre tous mes gars en bas
ça roule des cônes ou plutôt, devrais-je plutôt dire des battes
goûte cette dope qui me fait relativiser
la cam c’est mal, on l’sait tous mais cela dit j’y vais
f-ck tes probabilités, je tenterais ce pari risqué
il m’faut des pepettes pour graille, j’suis pas du style lève tôt
j’garde ma conscience pour moi donc fais de même, frérot

[couplet 8 : fonky flav’]
pet-t toine-an a fait ses cl-sses au mic, gentil mais pas naïf
pas du genre à perdre une occas’ de faire de la maille
pas du genre à gémir, à fléchir ou à s’taire
a frémir, depuis mes seize balais, j’prépare la guerre
me compare pas à tes -ssoces, mec, j’suis au-dessus
car j’ai la vision, l’ambition, la tech, maitrise le processus
clic-clic-boom, l’offensive est lancée
c’est l’entourage, couz, sur un ouvrage cl-ssique du rap français
j’sais pas en qui, en quoi tu crois mais, demain
j’me vois loin : mille-fa, villa soignée, saint-domingue
après l’show, on sèche le whiskas
c’est là qu’j’fais mes plans, j’suis prêt, j’avance
pas à pas, ouvre les yeux, serre les dents et tu l’sais

[couplet 9 : nekfeu]
ici, survivre est un exploit, faut pas lâcher
on m’a dit c’est le travail à la chaîne, moi, j’suis pas un esclave
ils sont déjà malheureux, les jeunes, alors les vieux…
on a le relais, je ne rejette pas le religieux, nan
j’ai des yeux meilleurs, tout m’perturbe
j’ai vu des jeunes voyous perdus devenir des mecs de ur’ jnounés
loin de ces frayeurs, j’recouvre d’une couverture
ma deuxième mère qui dort sur l’canapé après une dure journée
un jour, elle m’a dit : “je t’aime” et tes yeux scintillèrent
j’me sens apaisé par sa voix pendant les cinq prières
pourtant, j’suis loin d’être un modèle de vertu, bordel de merde
dure vie moderne, faut qu’je modère la verdure
pendant qu’le diable embrouille encore une âme, la mort arrive
muette comme une tombe, bruyante comme une arme
pendant qu’le diable embrouille encore une âme, la mort arrive
muette comme une tombe, bruyante comme une arme

[couplet 10 : alpha wann]
j’suis sur youtube, j’fais du zapping, ouais, ça pique
le rap que j’vois est nul mais, y’a cinq ans, j’trouvais ça pire
ce truc va tourner comme une éolienne, les autres
ils manquent pas d’toupet, leurs couplets sont coupés au miel
qu’ils aillent s’faire mettre, mes concerts dans ta ville chiffrent
mes frères m’aident, j’rappe la vraie merde, la real sh-t
babylone me chuchote : “prends ton cash, dépense-le, vas-y.”
comme toi, toutes ces histoires de braquage de banque me fascinent
plante le raciste, prends-le -ssis, trempe-le dans de l’acide
noir en france : plus facile de prendre l’avion que d’prendre le taxi
j’vais pas appeler à l’aide ou attendre qu’on m’paye
j’me sens ni dans mon pays ni sur ma planète
j’dois rentrer où on entre ap’ et entreprendre
400 ans d’r-t-rd, pas l’temps d’me branler, mon ventre rappe
j’l’entends sous mon manteau, ouais
il faut que j’me serve dans l’pot
les noirs intouchables, c’est du cinéma ou c’est des fantômes
j’viens d’la pyramide, ça gère la famine ou la lice-po
on sait qui a l’pouvoir, les anciennes familles d’aristo’
le niveau d’la vie hausse, tout l’monde fraude
personne peut -ssumer l’tarif, les gosses haïssent la vie tôt
dis-moi c’est quelle vie, les jeunes ken vite
haine viscérale envers l’système scolaire
les contacts se font quand les phones-tel’ vibrent
ils s’tuent la semaine et le week-end vivent
pour dormir contre les ‘teilles d’heinekein vides

[couplet 11 : deen burbigo]
ni slow ni slam, juste des flows, des flammes
pour les hommes, les femmes
aucune pitié, zin, y’a que les sommes qu’j’épargne
j’donne tout c’que j’ai dans mes raps
pour, un jour, peser dans les charts
lâche ton billet, feu est dans les bacs
on est ravis de l’fêter, les seules qu’on va laisser
nous empêcher de briller sont les maquilleuses télé
la réussite des miens vaut plus de dix émeraudes, khey
c’est la fierté des nôtres comme le disait rohff, ouais
le groove leur fout des coups d’schl-ss, demande à ta pet-te amie
mes couches-tard découpent des bouts d’zat
gros comme le rocher qu’a fait sombrer le t-tanic
dans leurs crews d’nazes, personne s’est fait tirer dessus
pourtant j’y vois plus d’un trou d’balle
et leurs albums n’valent même pas mes prout-lines
quand on rappe, renois, rabzas, babtous bougent
on est pas l’renouveau du boom-bap
on est l’renouveau du rap tout court
on nous a pris pour des intrus
les autres sont p-ssés à la trap et j’parle pas que d’leur instrus
feu, t’as fait un album presque parfait : chapeau, l’artiste
j’dis “presque parfait” parce qu’il manque bigo sur la tracklist

[improvisation 2 : nekfeu]
tu vois, mec : ici, y’a pas de rap lisse
j’ai zappé mon gars bigo d’la tracklist
mais j’l’ai pas zappé car y’a les textes qui arrivent
y’a les featurings de fou sur chaque rive de paname
l’entourage, mon gars, quelle plus grande fierté
que voir les frères faire des couplets écrits, mec, et gratter
pour l’occasion, l’album est dans les bacs, va le per-cho
c’est comme ça qu’ça s’p-sse, j’vais te quer-cho

[couplet 12 : nekfeu]
laisse-moi décompresser
la vie d’un jeune entrepreneur est complexe
entre les embrouilles ‘vec la justice et les embrouilles ‘vec mon ex
et les embrouilles ‘vec mes fournisseurs
les embrouilles pour des samples
j’suis dans un monde étourdissant
tu peux tout remonter, tout redescendre
j’redescendrai plus jamais, mon ex m’a dit :
“j’t’en prie, ne t’en va pas”
vingt-quatre piges à peine, je travaille déjà plus que ton papa
difficile de m’avoir, impossible de me marier
cette mannequin faisait des manières
maintenant m’invite dans son manoir
j’sais pas c’qui s’est p-ssé, j’apprécie les dièses
le pastis est glacé, la piscine est tiède
elle veut être avec feu mais, moi, j’veux plus être en ple-cou
sa main dans mes cheveux, j’la laisse abîmer ma pe-cou
ses copines me regardent, genre: “quand est-ce qu’elle l’épouse ?”
ses copains me regardent, genre: “qu’est-ce qu’elle lui trouve ?”
je bédave tout ce caramelo
et j’écris sur la nouvelle douceur qu’a ramené lo’

[pont : nekfeu] ×2
j’aime comment tu danses, bébé, détends-toi
le toit est en feu, le feu est en toi

[couplet 13 : 2zer]
la vie m’a appris à ne jamais tourner le dos
y’a que le mur qui peut mater mes fesses
mais j’laisse la bédave cramer tous mes neurones
ouais ouais, j’préfère ça que de me gratter les veines
j’fais ce que je sais faire le plus : gratter des 16 qui te pètent le cul
ouais, sans cesse on encaisse mais j’reste concentré
j’ai une tête et un s-xe de mule
j’ai souffert dans le calme
ça prouve que mon parcours est crédible
coup d’pelle dans le crâne
pour qu’ces jaloux soient ouverts d’esprit
si tu b-n-lises c’que j’dis, on te malmène jusqu’à ramper
quand le cannabis fleurit, poto, ça freine la santé
véritable vécu, j’en garde les stigmates
de plus, j’apprécie les paysages et j’fume de l’herbe médicale
on reste insaisissables et têtus, toujours en indé, minable
partage équitable des thunes comme dans breaking bad
j’lèche des tétons d’minettes en toute modestie, là, j’y prends goût
j’ai l’expression direkt depuis qu’mon esprit est parti en couille
jusque là j’t’aimais mais t’as blasphémé
j’t’avais dit que personne ne pourrait m’arrêter
râgeux, je t’offre le droit de te moquer
si tu m’p-sses le code de ta cb

[couplet 14 : nekfeu]
je mène pas une vie hyper saine, même si j’ai percé
j’aperçois des personnes derrière les persiennes
seul dans mon appart sale, ma sœur révise un partiel
y’a pas d’loi impartiale à part l’ciel
j’suis entouré de zonards sur le sonar
mais c’est trop tard quand les ennuis sont là
les accusés sont sur l’banc et transpirent comme au sauna
les mères pleurent comme solaar
t’es jamais à l’abri, le mal me l’a appris
la me-la brille, une maman prie : “pourquoi tu me l’as pris ?
ô dieu”, c’est pas le ciel, c’est les hommes
odieux, leur âme est scellée par le s-xe et les sommes
j’ai vu le seum, donné du sale
c’est comme si leur cœur avait regardé les deux yeux de médusa
le courage et la peur ensembles sont mes deux armes
quand je me sens déraciné, je monte au sommet des arbres
de là-haut, j’vois la mort, faut être prêt si elle approche
la vie, c’est apprécier la vue, après scier la branche

[couplet 15 : doums]
tu veux tester mes salauds, ça fait “bang”, genre saloon
frère, si j’t’allume c’est que j’suis prêt pour l’salut
t’es pas d’la mif, parle-moi biff ou parle-moi d’profit
dix kilos d’weed, un kilo d’sh-t, le tout sera blanchi
on fume le matos, mes vatos vont tuer ces rappeurs
ça sera du gâteau comme rotte-ca le [?] de l’éducateur
(a bord d’une merco benz), vitres teintées, grosse boisson
c’est la moisson, les mousseux sont d’sortie

[couplet 16 : framal]
f-ck ton crew, sale pédale, ça bouge ap
t’es tout naze, écoute, ça fait breh !
rien qu’on fait des cl-ssiques, s-crew, le nom d’mon gang
y’a que dans l’ombre qu’on tranche pour pas finir aux -ssises
souvent dans un camouflage vert kaki
l’ambiance est pourave, y’a des toux gr-sses ça vi-ser d’la weed
ici, tu perds ta vie, on t’nique ta mère à 6
une bonne paire de nike air dans la tête, c’est facile
le leust est entouré donc on fait ça à notre manière
bientôt le l est en tournée donc prenez garde à vos arrières
b-tch ! et toi, dis moi pourquoi tu causes
on est au festival de cannes, toi, tu traînes à la foire du trône


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