lirik lagu oz (ormaz & zeu) - bonus
[couplet 1 : lesram]
parait qu’avec le temps on s’-ssagit, pour l’instant ça s’agite
sans paire de gants pas facile d’éviter les emmerdements
tu voulais faire le grand, être le roi d’la ville
mais depuis ton enfermement tard la nuit
ta mère te manque fermement
j’rappe ma rime, au micro j’-ss-ssine
personne ne fera taire le blanc
c’est ça ma vie, moi-même je me perds dedans, h-ssoul
entre la rue et la school faut faire le discernement
trop facile de pencher pour le peu de sous que la street’zer te tend
il faut vesqui l’précipice, tous trop près d’ibliss
à chaque connerie j’récidive
à croire qu’j’veux pas qu’la paix s’immisce
c’est pas michto gros, toute la famille coco rest in peace
pour tous ceux partis trop tôt
comment j’vous oublierai si vite ?
le samedi soir on s’bute au rhum des west indies
la vie une patinoire et c’est toujours les mêmes qui glissent
on aime les ous, l’or, mais pour en faire souvent on s’leurre
j’suis pas un hustler, juste un mec qui fait des ons lourds
[couplet 2 : ormaz]
la légende est en marche et non j’la fais courir
fou, j’pousserai tous mes couzs jusqu’au bout, évite les coups d’teau-cou
tous un peu fou pour un peu d’flouz, faut la moula sous l’coussin
tous sains, touche un d’mes frères j’le venge comme xxx
collage, j’écoule un vingt d’beuh, envoie des kunaïs
porte mes couilles, zonard sur les bords
pour ça qu’ça pique les porcs, encore
une porte en fond d’décor et j’graffe dessus, bandes de putes
et j’crache dessus au cas où j’finirai déçu
faut sniper les sangsues et censurer les wacks sans faire de faute
efface les flows, phases gores, le coeur censuré comme albator
finir à l’abattoir avec ces chiens, j’préfère ça aux abysses
avant d’toucher les femmes, faut penser au khalys
pris du bon temps, ai-je le bon teint depuis qu’ils veulent ma peau
costaud est l’peu-ra mais y’a pas d’sous ici
t’es sourd ou fou, xxx pique, veut tout c’flouz
couz, anticipe les coups, pousse tous les bouches trou
[couplet 3 : lesram & ormaz]
dans l’fond mes khos sont pas si mal, même si beaucoup vesqui
leur cocon familial pour quelques pochons à bicrave
si y’a plus de toss on s’ravitaille, pour faire les choses on s’active grave
l’argent sale pour embellir l’habitacle
bibi où j’habite, àl, où ces putains d’pochtron s’habillent mal cousin
parait tout simple, mais stressé quand y’a d’la maille sous l’coussin
pousse un boug pour un peu d’bénéfice
j’en ai méprisé les risques, j’ai stické mes spliffs
et vesqui les dekiss
ouais et j’écris chez d6
avec un j et une te-teille d’hennessy pour qu’ça émerveille mes récits
ils veulent faire taire les tés-ci, faux signe
on veut du biff mais ces pédé veulent nous ken
afinqu’le ter-ter rétrécisse
part choquer la concurrence en rafalant l’terrain voisin
niquer les vétérans car le respect s’est fait tré-ven
dépendant d’moi-même, pour l’oseille veille jusqu’à demain
espérant m’c-sser sans m’faire rattraper
un bout d’résine, sur la prod j’balance des coups précis
viens voir où j’réside, loin des hoods paisibles, ici les bougs résistent
hey, faut vesqui l’shtar, ben ouais mon gars moktar
et c’est toujours ces salaupard qui t’embarquent pour deux trois pochtars
on mangera notre part, et cela même si c’est pas notre soir
planqué dans une lacoste noire, de quoi t’faire faire un sale cauchemard
[couplet 4 : zeu]
j’vais pas t’parler d’la rue comme certains l’font
mon hall est crade on l’sait
tu vas subir une perte de poids car chez nous
c’est de la wax qu’on sert
mélangée à la diesel new-york
tes homies sont gaulés comme des bretzels
j’frappe au crophone-mi
j’me réveille sous l’porche, tes gars autour convulsent
tes ex au four sont venues pour prendre du détail, histoire coupe gorge
putain, en rap c’est pas la même, tes og’s braquent comme une banque
trop speed comme la rime de kool g rap
ou de cette très cl-sse ford mustang, j’vends du chanvre
j’sais que plus tard, cette putain d’latte m’étourdira
et tu te demandes c’est qui qu’j’plotte, baisé par la vie
donc j’viens baiser la votre, ton aîné a chaud
akhi j’m’applique tes vices j’crosse
rap cyborg comme charlie tango, gom cogne
rapide comme bolt, j’fais des raps qui shootent tes hommes moches
ouais en homecore, il m’faut un duplex plus une dépendance à hossegor
gros porc, vous vous êtes dépendants d’opium
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