lirik lagu oslo (fra) (2) - le mort
[paroles de “le mort”]
[intro]
yeah
hun, o.s.l.o.
[couplet unique]
les yeux rouges, j’ai avalé cette merde et j’suis tombé
c’est trop tôt pour succomber
j’sais pas pourquoi j’préfère l’hiver à l’été, mai~mais ça a toujours été comme ça
j’suis couvert mais j’suis bien dans le froid (bâtard), sers un verre qui me détruit le foie
et j’ai v’là les pensée évasives qui s’envolent quand j’suis seul avec moi
toi t’as pris la tangente grave et mes écrits ils engendrent ça
une ballade solo sous la pluie, j’ai ma capuche une clope au bec et mon casque
‘fais les cents pas, j’me graille le crâne
c’t’appétit j’le commande pas (jamais)
mais tout est brouillon dans la ville, ici c’est moche j’comprend qu’on s’en vante pas (ah nan)
f~ck être un mec qui s’tue pour la belle vie de son putain d’patron
pas eu envie d’continuer les études, maman m’a dit : “c’est quoi ta solution ? (chépa)
j’roule un bédo qui pue, mon habitude : “je le fume au carton”
faire les choses bien, je suis la procédure et pour être honnête je n’y gagne pas un rond
c~conso’ dans les chaussettes pour contrer l’coup du sort
pas trop dans mon assiette et moi j’dis qu’j’ai l’mort
conso’ dans les chaussettes pour contrer l’coup du sort
et j’su~ pas trop dans mon assiette et moi j’dis qu’j’ai l’mort
aller~retours bre~chan terrasse trop d’fois (trop d’fois), j’fais qu’penser, la nuit j’dors pas
j’avance dans l’corridor à pas d’heure et j’ai aucun visu sur le contre~bas
aller~retours bre~chan terrasse trop d’fois, j’fais qu’penser, la nuit j’dors pas
j’avance dans l’corridor à pas d’heure et j’ai aucun visu sur le contre~bas
procrastination et mois ça fait qu’un~qu’un~qu’un~qu’un
j’aime tout remettre à demain
j’ai des fascination quand j’me projette au loin, grande imagination mais de là j’vois que le train
zigzag j’suis dans l’allé qu’a bosser, toi t’es tendu mais c~n~lise toi
l’histoire faut la gratter et puis la conter
compte sur oslo pour donner l’espoir
la nuit j’m’entête à vouloir trouver l’meilleur filon
à la bouche j’ai un très bon pilon, le genre de cigarette qui surement en dit long (beaucoup)
le temps, j’l’ai passé quand c’tait long (long)
pas les talles d’un pigeon
dehors je vois les gens passer, dure est la société sur la population (let’s go)
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