lirik lagu octave gianni - mélaprochaine
[outro] x4
je ne compte plus les heures
[refrain]
je ne compte plus les heures
depuis que j’ai l’âme qui saigne
pourtant j’ai trouvé ma sœur
ma boussole fait des siennes
dans mes pensées tu es la seule
mais tu ne veux pas que l’on règne ensemble
je presse le pas et tu restes absente
la p-ssion me consume comme un cône d’encens
rémanence de nos corps dansant en ce soir de mai
la raison me dit “mets la prochaine”
je ne fais que m’accrocher
tu mets l’amour dans mes scènes
je demeure empli de peine
[couplet]
le contrat est clair comme de l’eau de roche
je le signe les mains dans les poches
nos deux cœurs sont cimentés
nos regards sont pimentés
de bar, en bar, en bar je suis ton trait
je me sens léger, putain de soirée
on remet ça pendant des semaines
sans me soucier d’où ça me mène
je te découvre sous de nouveaux jours
plus aucune larme sur ma joue
je pose les armes devant cette magie
ai-je toujours les rênes de ma machine ?
après deux mois je commence à craquer
auprès de toi je suis apaisé
je nous vois comme deux êtres singuliers
je rêve fondre dans ton pluriel
je ne peux pas te forcer à m’aimer
mais les émotions sont démentielles
la relation me propulse au sol
malédiction tu préfères être seule
[refrain]
je ne compte plus les heures
depuis que j’ai l’âme qui saigne
pourtant j’ai trouvé ma sœur
ma boussole fait des siennes
dans mes pensées tu es la reine
mais tu ne veux pas que l’on règne ensemble
je presse le pas et tu restes absente
la p-ssion me consume comme un cône d’encens
rémanence de nos corps dansant, en ce soir de mai
la raison me dit “mets la prochaine”
mais là je t’aime et je ne peux rien n’y faire
la raison me dit “mets la prochaine”
mais là je t’aime et je ne peux rien n’y faire
[outro]
je ne compte plus les heures
je ne compte plus les heures
je termine ce morceau avec un verre dans les cyclades
un peut mort saoul perdu dans le cyclone
car tu t’ouvres et l’espoir c’est mal
tes volutes cachent-elles l’amour ?
je suis transparent, tu sais que je suis pour
tu me répètes que ce n’est pas le moment
je cours aveuglément comme si j’étais sourd
quel sera mon sort à mon retour ?
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