lirik lagu nevo (fra) - edifice
refrain :
qu’on est des merdes
à se plaindre d’office
un édifice qui perdurait
j’connais des mères
qui perdent leurs fils
j’connais des fils, qui perdent leurs mère
couplet 1 :
toute froide sont tes joues
jprend des risque tous les jours
aucune peur qui en dénoue
cette impression comme arrière~goût
de compter pour personne
mеs paupière font des tonnes
ellе veut vivre légalement
au fond je sais qu’elle ment
la misère est moins dure sous le soleil
on va quand même boire
pure et se saoulé
la miss à quand même
une coiffure mouillé
avoue ça t’emmène
loin t’es chamboulé
pardonne les, ils comprennent rien
matrixé par compte prémium
j’aimerai bien qu’on me prévienne
sur le public domain
toi tu es glossé
pendant qu’on est glocké
tu te sens coincé
dans la série bloqué
t’es pâle comme une bretonne
on s’mate un tim burton
ta main en descendant
tu agis faiblement
tu m’dis de rester calme
et ça en t’énervant
mais barre~toi à stockholm
et vas y suit le vent
refrain :
qu’on est des merdes
a s’plaindre d’office
un édifice qui perdurait
j’connais des mères
qui perdent leurs fils
j’connais des fils, qui perdent leurs mère
couplet 2 :
et toi et moi, et toi et moi ? est ce qu’on ira au bout d’nos rêve
tu m’pose un tas de question mais j’réponds pas, et j’reste tout pâle et en un geste tout part
et j’ai souvent contacté l’ingé son pour des prod assez sombre mais là c’est bon
j’suis gentil mais si il faut jte shoot
comme dans l’illégale on y baigne tous plus ou moinson parait sympa avec nos fruity shoot en mainapparaît d’la peine quand on t’vois faire tes shoot en vain
si tu savais c’qu’on fait
ici pour 1k
j’pourrais quand j’partirais
renaître en inca
et la jsuis sous nuit blanche pourtant jte jure que tout c’qui s’passe est noir
on s’pose au~d’ssus du banc, jsuis sous pétou, j’ai tout l’esp~ce à voir
et quand c’est la merde
ici on s’transforme
corser est la mer
et la vague prend forme
tu m’vois sourire, tu crois que c’est facile pour nous la vie mon gars
j’suis fasciner par plus de choses que les p~rno ou les mangas
refrain :
qu’on est des merdes
a s’plaindre d’office
un édifice qui perdurait
j’connais des mères
qui perdent leurs fils
j’connais des fils, qui perdent leurs mère
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