lirik lagu mister you - hommage
[intro]
bien !
aussi bien qu’on peut être mal on peut être plein
mais avec avec la mort, c’est seul à seul
pas d’plan et pas d’pot
quand on s’console seul à seul
la vie c’est ça, la vie c’est sale…
[couplet]
au fond je sais que, le diable m’a d’jà mis en échec
a chaque minute qui p-sse ça pense à dé-blin l’chéquier
l’sourir d’la mort, plus expressif que c’lui du banquier
j’envie les sourds, aveugles, les muets…
j’ai vu trop d’reufs, agoniser ou s’entretuer
le cœur paralysé comme voir son fils s’faire renverser
battre la vie m’écœur depuis qu’l’autre bâtard a visé l’cœur
très vite le fil d’la vie s’brise…
des soirs j’imagine aymen, transperçant l’par-brise
j’cogite, j’rame même, à sabry à driss
dans mon cœur de bastos brodé
une pour nader, l’autre pour m.a.m.a.d
y a des anges, et y a des démons
vodka, sky mélange et ça y est la rage témon
eh range ta main sauf si c’est pour faire l’aumône
c’est pas l’habit, mais les bonnes sœurs qui s’font les moines
en bien le moindre acte, et la main droite témoigne
et si tu m’aimes pas, beh n’viens pas à mon enterrement
la vie c’est une rette-ba, s’consume comme le ssem de terre-nan
hommage, à tous les re-frè qui sont terre-pa
aux disparus qui m’ont dit “n’bouge pas j’arrive”
mes larmes pour fleuve, ont pag-yé et pris une autre rive
ne serait-ce vous r’voire qu’une fois, à nous tous serait notre rêve
cette vie m’crêve, bataille sans trêve
l’œil cause le deuil même si “quatre feuille” sonne avec “trèfle”…
où sont mes reufs partis, tous enterrés sans qu’ils n’obtempèrent
pardi, dieu pardon, autant pour moi, au temps perdu
et ouais frère que faire, de c’temps du-per, de tous mes frères enmés-fer ?
de toutes ces rettes-ba vies-ser eh, pas aussi bien qu’en jellabawer
c’est vrai que l’vice aide, mais n’oublie pas que l’ange a l’power
qu’le fil d’la vie c’est une rette-ba, à chaque bédo ça s’frite
qu’la vie c’est des squettes-ba, belleville c’est foot locker
et y a qu’les plus belles paires qu’partent trop vite
“battre” m’a balafré l’cœur doomams l’a réouvert trop vite !
long comme étripé, le ventre vide
pour l’instant j’n’ai pas d’quoi être fier
comme beaucoup m’demande que faire
y n’faut pas d’faux pas non il ne faut pas finir “kéfère”
côtoyant la de-mer on a fini par “quéqué”
finir criminel pour ton frère, pour ceux qu’tu sais non pas pour quelqu’un
nous c’est belleville, regarde pas on t’évitera
j’suis l’comble d’un marteau coincé dans une prison vitrée
ici partout l’p-ssant en parle, l’19 on périt
les joues s’creusent, telles des vases, marre des chaires pétries
tu sais gros au sol, tu sé-creu en l’air tu t’sé-cra
salle pétrie, p’t-t frère p’t-te sœur
j’vois qu’l’euro c’est l’drame, ressortez les convertisseurs
dans la rue y a trop d’dos d’âne, personne ne t’sert d’amortisseur
trop d’journées entre mains sèches, au plus sage au moins sage
au moins sache, qu’une vérité vaut mieux qu’mille mensonges
attention aux m-ssages, quand t’as pour kiné l’diable
l’ange au volant, et l’démon p-ssager, où va lamborghini diablo
quand l’âme s’envole, que l’corps s’console à son linceul
les six adroits comme mes soces, droit comme un seize
trop douloureux comme un cri, malgré d’peu instruit
sur instru s’confondent est versus et écrit
sur l’bitume tu places sur les toits les keufs y t’grille
puis d’viennent des m-sses, trop maigrissent
percent en cl-sse, finissent grossistes
ceci c’l’épée d’damoclès, pour éventrer les plus gros cistes-ra
j’ai vécu dix-neuf ans dans l’19, j’ai tellement faim
je j’suis plus sûr d’atteindre les vingt ans
wesh t’entend ? j’sais qu’en partant dans l’cinquième quart-temps
y en a beaucoup qui s’ront contents…
[outro]
on peut être bien
aussi bien qu’on peut être mal on peut être plein
mais avec la mort c’est seul à seul
pas d’plan et pas d’pot
quand on s’console seul à seul
la vie c’est ça, la vie c’est sale
on peut être bien
aussi bien qu’on peut être mal on peut être plein
mais avec la mort c’est seul à seul
pas d’plan et pas d’pot
quand on s’console seul à seul
la vie c’est ça, la vie c’est sale !
la vie c’est sale
j’sais pas c’qui m’retient dans mon crâne j’sais pas c’qui trottine…
dédié aux disparus d’belleville !
a mamadou keïta et à harkan j’suis pas tranquille…
a jamais l’respect
moi j’suis loin et mash’allah juste que vos âmes reposent en paix…
allahu akbar !
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