lirik lagu metah - samy
[paroles de “samy”]
[intro]
provokind
why so serious
[couplet unique]
j’ressors d’une ivresse longue
si t’as la foi t’inquiète, la lumière elle traverse l’ombre
dans l’quatorzième tu peux m’croiser à bord d’un fer sombre
j’traine aux heures des drames, j’vois plus les aiguilles sur l’immersion
le sh~t met pas un coup, il a étouffé ma niya
et vu les temps qui courent, ça devient rare un ami fiable
tu comprendras en l’faisant, la maille c’est l’associé du diable
ascendo direcciones todo el dia
j’sens la fracture financière, mais c’est fini d’remplir les paquets
la stup, l’alcool, les problèmes, ‘zin j’avais tout pour divaguer
ça s’peut que j’canne cette année, diront sûrement qu’j’suis taré
j’suis toujours pas cond~mné, il faut qu’j’me lave de mes pêchés
de base j’ai ouvert mon cœur, là j’attends qu’ça cicatrise
j’vais pas décoffré un smic, juste parce qu’elle bouge comme une actrice
j’aurais tout donné pour voir papa, maman s’aimer
et les souvenirs d’avant ont fait qu’j’ai pas arrêté d’saigner
et c’est dehors que j’ai retrouvé mes repères
j’voulais plus d’famille, j’voulais éclater mon beau~père
on s’comprenait avec bob et dd, on avait la même vie
pour l’train d’vie qu’on méritait, sa mère on a taffé la weed
ça c’est pour les fils de schmetts qui croient que j’suis un fils de schmitt
quatorze le g en livrette, rempli l’assiette, faut plus de pip’s
mes quatre vérités sur le beat, j’crache toute la haine dans mes tripes
j’suis pas prêt pour la suite, j’suis bientôt fini comme assis
j’ai compris qu’c’est chacun sa dette, pendant qu’ça m’écrasait la tête
et quand ils étaient plus de dix, atem il a porté ses klewi
j’soigne les bobos à la zeb, pose [?]
au fait ça prend l’adresse, même si au péage c’est hemi
j’veux pas d’sa fouf, elle donnerait tout pour que j’lui tire les couettes
j’ai encore deux affaires, le baveux rien qu’ils m’casse les côtes
la nuit est longue, ça s’ressens, donc j’reroule un bed’
la zik c’est plus un rêve, plus de dix ans qu’je casse les codes
j’claque l’argent du beurre, avec des mecs qu’ont pas twitter
vingt~et~un ans j’ai grandi, y a beaucoup trop d’choses qui m’écœurent
c’est vrai j’ai pas fait plus, mais j’fais déjà face à mes peurs
j’peux pas m’découper en six, essuyer des larmes et des pleurs
j’voudrais voir la vie en rose, mais dans mon cœur tout est black
et si j’m’enfume, c’est pour fuir la réalité
j’distribue les doses, j’me refais pas au côté match
j’connais deux~trois sauvages si faut t’mettre en échec et mat
j’l’avais dis au daron, gros j’ai la nausée comme sartre
des fois j’ai plus un euro mais j’ai du gucci comme sac
c’est paradoxal comme voir un teu~shmi au shtar
compressé comme un pochtar, j’la bédave et j’me couche tard
t’as mangé deux fois t’as pièce, ça y est ils s’prennent tous pour franklin
y a des adresses, c’était en 2015 les temps plein
elle t’fait du mal, mais quand t’es avec elle tu t’sens bien
pour moi c’est pareil la marie
c’est ma putain d’life, ça s’trouve la tienne elle est pire
j’dramatise pas gros, on a bien vécu aussi
l’amour s’achète et les sentiments s’négocient
j’prends la fuite, tu prends la tête, ça sert à rien que j’m’égosille
on peut s’en sortir sans sucer j’ai le cœur fissuré
dans ma vie y a pas d’sens unique et j’ai des souvenirs censurés
y a des gens à qui j’ai levé la parole pendant des années
et on s’reparle, y a rien qu’a changé, c’est carré
j’ai toujours été un meneur, c’est devenu très difficile de m’influencer
j’ai le plan b, le plan c, dans la zik y a rien d’censé
dans la pièce y a trop d’fumée, ça d’vient difficile de penser
j’te fais ressentir la rue, j’la traduis comme un dramaturge
on cherche à faire des tubes, mais crois pas qu’tout ça ça m’amuse
le poto crie “liberta” ça y est, c’est la vuelta
et j’écris c’texte à l’heure où ça vient fracturer ta puerta
j’peux pas faire un choix entre toi et moi et mes choix
heureus~m~nt qu’elle m’a pas connu quand j’étais tout l’temps éméché
j’fais que les mêmes trajets, j’ai l’impression d’me répéter
j’ai croisé l’mec aux cheveux longs qui t’fais pointé à l’évêché
j’vi~sser des tox
la stup qui prend des tof’
des escorts et des profs
y a pas d’négoces
faut un héritage pour les gosses
ça t’fait un choque, on a faim on a les crocs
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