lirik lagu mentalités sons dangereux - tous des cafards
– salo
voilà les premières lignes, celles des enfants de la mine
qu’on examine à la mine, regarde comment je me comporte
moi, qui ne porte pas l’insigne dans mon cœur
j’ai peur donc je cours
je cours et la b-sse aussi car le 18e est une b-sse-cour
remplis de vil-ci, regarde donc le parcours
on manifeste ici, c’est clair, non ça n’sera pas court
on recev’ra des tas d’coups même en étant bab-tou
sans ouvrir sa cheu-bou, si tu trouves ça cheu-lou
tu finis à genoux. y a plus rien à dire
putain, c’est bâtards viennent vers nous
– zeuta
on m’a dit « zeuta, pose pour le maxi de kema »
non, mais té-ma l’état de l’etat, goûte à mes tacles, et mate les t-ss
a c’qui parait, le rap d’attaque est en place
c’est l’as de pique qui débarque et racle ton caisson d’b-sse
bas les masques, à balle réelle y a pas d’essai
dans le peu-ra, bah là tu sèches. je te tue, sec et ça tu sais
mate ces jeunes qui rêvent de paix en palestine
la france n’a pas d’estime, c’est pathétique, nous offre des pâtés d’flics
y a pas d’éthique, jeunesse en péril et on lui p-sse le stick
c-sse le slip, quand l’état cé-fran lui taxe le smic
m.s.d. voilà mon équipe, la bac emballe les statistiques
c’est de la balle en bas, là-bas on abat les balistiques
tout l’monde s’en bat les steaks, déballe mon sac, c’est clair
contre les stats, demande à mon staff, contrôle mes sparring-partners
sale comme paris par terre, sale conne tout reste à faire
rap protestataire, m.s.d. frère
– refrain (dady.s)
le hiphop reste posé sur l’divan, entouré d’di-ban
veulent t’enterrer vivant
les portes fermées j’prends l’placard
sans baygon, c’est con, tous considérés d’cafards
– dady.s
j’vois qu’ça roule des spliffs coniques
et j”vois qu’souvent j’m’alcoolise
le hiphop mobilise nos membres, nique la poliss
on s’emballe, qu’est-ce qu’un sale flic f’rai pour 100balles
j’kick sur la cymbale, j’pratique du son d’vandale
j’m’empare d’un flash et soudainement j’rentre tard
les keufs nous saoulent tellement, racontent des foutaises, mentent
j’te dis tout c’que j’pense, suis bien mec, tout c’que j’pose
on vit qu’une foi dans c’monde, ensuite on s’décompose
dès qu’on p-sse, forcement on s’fait des comp-rs-s
mais pas sur, faut qu’on parle de toutes les c-ssures
dans la façade, souvent c’est qu’des p-ssades
on p-sse à côté tant d’choses dans tout c’bazar
ça s’sent l’chrysanthème, l’uniforme s’enflamme
nique les gendarmes et les tchoys qui sont prises de tête
– peyen
vas-y bouge, toi, técale, dégage, tu déconnes
et j’dégomme comme si un ring, bing, bing, bing
m.s.d. dans tes enceintes, radical et rapide, lyrical et fluide
c’est dingue, dingue, dément, tu t’éclates comme sur une mine…
de mon crayon
j’raye tous les faux d’ma liste
j’te mets à l’amende sans pour autant être de la police
blackout, blackout c’est le mic armé pourquoi, pourquoi
une fois terminé j’sais plus par où commencer ?
ça peut pas s’p-sser comme ça
c’est pas possible tu n’connais pas kema ?
l’union fait la force, c’est dans nos mentalités
la force du nombre, ok, n’essaie pas d’m’embrouiller
j’maîtrise les langues mortes à force de squatter les grecs
avoue t’en perds ton latin, le même chiffre dans mes lettres
dans ma vie j’ai trop froid p-ssez-moi une couverture sociale
comme au darfour j’ai trop faim, y a qu’des miettes dans mon c-sse-dalle
les nouveau mcs ne s’trouvent pas sur m6
a y r’garder d’plus prés
ils sont dans les rues du 18
– kema
je viens t’apaiser par des thèmes pesés lourds
j’bouge car j’aime blesser, presser par la détente
du bout de mes doigts qui frôlent la mpc
deux milles façons d’être xl
zapper toutes les madeleines de jacques brel
et les sales dièses de barbès et ses maquerelles
y a pas de time papi, y a pas d’magie, pad c’copperfield
j’écope d’une clope et vite roule en restant pragmatique
on ne juge pas seulement un homme au poids d’sa paire de couilles
on m’a jugé car j’ai toujours refait d’une bière, deux coups
j’fais pas l’clown malgré mon nez rouge, j’pousse mon crayon vers vous
pour savoir. que voulez-vous si le rap vous fout les boules
j’aime pas l’ton de tous les hommes qui m’traitent de sale con
j’veux m’envoyer en l’air sans avoir à me tèj d’un balcon
c’est peut être bête de me dire que la vie c’est de la merde jusqu’au cou
jusqu’au bout, dehors il pleut des cordes à s’mettre au cou
– refrain
– d.a.d
j’ai une envie de chialer, mais j’ai plus d’larmes
une envie de tout c-sser, mais j’ai plus d’force
n’importe où j’suis allé, on m’a pourrit l’âme
mais j’peux pas m’ché-la, me d’mande rien, impossible que je m’efforce
aujourd’hui, tous ceux qui m’ont détruit
veulent me voire reconstruit
ce que ça m’a instruit, c’est qu’en restant avec autrui
j’m’attends plus à un autre oui, alors impossible de pardonner
ça revient, quand tu n’fais rien à part qu’donner
– davodka
le décor est planté va te planqué tu sais déjà où j’vise
les grands squattent la télé pendant qu’leurs fils s’branlent sur pandamovies
ce soir on tise, avant d’être déker m.s.d. vient poser
même si ça t’plaît pas, moi, j’lève mon verre et j’trinque à notre santé
chaque lampé que j’tise me motive à tuer l’son
retient la l’çon, j’p-sse à l’action comme le taxi de luc besson
j’mets la pression, essais de le suivre de suite 7.5.0.18
c’est ça qui te brise devine c’est qui ?
c’est davodka qui tape le sprint
les potes s’abîment, quand une soirée part bien
toi, si tu dis qu’notre rap, il pue
dit à ton crew qui doit aller s’mettre au parfum
ma haine s’attise et mon esprit marche à la tise
si tu restes sage comme une image
ne t’étonne pas que ton crew s’tape l’affiche
c’est ça j’t’affirme que d’vant l’micro on reste dans nombre
dégage tous les paparazzis, y a pas photo car mon crew reste dans l’ombre
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