lirik lagu mentalités sons dangereux - les vœux de la veille
– refrain (davodka)
y a qu’la merde sur toutes les ondes fm, éteignez vos radios
l’argent mène en bateau, mais l’rap se r’trouve tout seul sur son radeau
crachant sur vos ragots, du son neuf, tapes en cinq
on fait preuve de résistance pire qu’un français en 39-45
– dady.s
j’commence à m’faire du mouron, car peu à peu nous mourons
c’est qui l’bourreau dans c’monde de lâche
j’sors la hache du fourreau, toujours fourré, pas derrière des bureaux
par un système d’enculé, j’y vais au culot
du futur, pas près d’reculer, ça en dit long
sur la plupart d’mes délires après des litres
ça s’délivre des bactéries qui forment un monde cadavérique
la féérie n’existe pas sauf à disney
on manque pas d’air même à dix nez
sur l’disque l’ambiance du lampadaire
le risque est dans ta tête, d’vant ton pote, d’vant ton port’-feuilles
on m’porte l’œil, même si j’le trouve, j’le troue
c’est un ch’min qu’j’aborde seul, y a trop d’porcs sales à la marc dorcel
ensorcelés par lucifer t’as dû t’y faire, cherche pas les boutiques ferment
un coup si terne que j’traine avec mon temps
c’pour ça que j’m’étonne pas du fait que personne soit content
– zeuta
nous n’sommes que de la chair à canon
des numéros à foutre dans des cases
et on nous pousse à la guerre des cl-sses
toujours a la quête du graal
futé affuté et sans un pète de gras
voyez vous ça s’dégrade l’ambiance est lourde et grave
te blesse et laisse des traces mais j’rêve de prendre du grade
j’aime pas les kisdés crades, ici les fachos sont de sortie
les ministres qui défilent à débiter des idées sordides
sors d’ici fiston t’as pas les reins solides
soliste j’ai pris la porte j’me suis retrouvé face au vide
j’en ai un nœud au bide a démêlé le faux du vrai
ils veulent niquer nos vies aidez-moi obi wan ken0bi
bénis oim, quoi qu’il se p-sse quoi qu’il t’arrive
tu veux du bon peu-ra ne t’égards pas viens qu’à paris
messieurs les qataris la grèce est à vendre
la france est en solde et tous ses citoyens se pendent
on s’enterra en sang ensemble sans chercher la lueur
pas l’temps pour la déconne car aujourd’hui j’suis pas d’humeur
– davodka
on vient d’la mettre en douce
j’ai oublié l’p-ssé normal le présent m’pousse
j’débarque j’représente couz
si y a embrouille, préviens, on descend tous
y a m-sse de mec émotif qui vont débarquer alors fuyez
a côté d’ce son, tchern0byl fait l’bruit d’un pétard du 14 juillet
vu ma vitesse de pointe t’étonne pas que j’dérape dans l’virage
j’suis pire qu’un cordonnier tous les matins j’ai la gueule dans l’cirage
si j’rappe si j’vois trop d’jeunes qui voit que d’faire du dirty c’est d’être au top
a cause de ça nos gosses confondent le rap avec l’électro-pop
ça m’fout l’seum d’entendre la merde
c’est pour ça qu’j’enchaine les shots
pour voir tes sons pas b’soin d’lunette
j’le voie déjà à travers celle des chiottes
les paroles de sarko font qu’on s’marre bien
tu veux quelqu’un de sa taille va voir joséphine ange gardien
on est pas né d’la dernière pluie pourtant dehors c’est tout le temps l’déluge
mes mains on des ampoules parce que l’bonheur j’l’attends depuis des l-stres
toi qui doutais d’nous ferme ta gueule
car finalement tu vois que dans nos mix-tape
on fait plus de carton qu’lors d’un déménagement
– refrain
– leader trice
j’viens du pays d’shakira et des narcotrafiquant
j’ai grandi dans la france de jacques chirac
là où sarko est devenu ¨président
mais malheureus-m-nt les choses ont empiré
avec les flics au fil du temps tu les traiteras d’enculés
trop de lois à respecter donc y a du monde en gav
tu vois les frères se faire péter pour un peu de thc
le système est contre nous forcément c’est réciproque
il est fait pour c-sser les couilles à tous ceux qu’en ont dans l’froc
c’est dur de faire du fric sans diplôme et sans bicrave
ils nous laissent que le trafic le football et la bédave
on veut tous prendre le large mais la tempête nous en empêche
sans s’rendre compte on prend de l’âge et dans la merde on fait trempette
t’a besoin d’aide tu t’es trompé c’est pas l’pays des droits d’l’homme
marche pas droit tu vas tomber sous les effets de l’alcool
a force de tirer sur la corde on file tout droit vers le bas-fond
j’représente même à bout d’force tous les mutants du béton
– salo
mélomane sampler démêlant mes songes
d’une mémoire suggestive détériorée marqué sous les décombres
médiateur sanglé déblayant l’mensonge
surréaliste de mythomanes se liguant au nombre
saloperie d’allégeance liberté d’orientation
secte et avis liaison en option
minorité silencieuse dérangée méticuleus-m-nt
sédentarisé, démobilisé mon seul dévouement
– d.a.d
j’ai mal à la tête de tous ces peut être
ça m’embête pas la peine que j’m’entête à aider les bêtes qui bêlent
faut se faire la belle sans p-sser par la benne
se battre pour la paix et pour mon travail me foutre la paye
on fait pas l’affaire par rapport aux parlés, parie
ah rit pas, par contre part paré
bien du-per et sans repères et cent rempares
on s’marre de n’avoir rien à perdre et ça repart
ça me laisse un goût amer
et ça m’énerve d’voir ces énergumènes, gouverner
berner, mener par le bout du nez
le monde entier déterminé à absorbé l’absurdité commandité
hey comment dit-on déjà, une conscience en absence d’ident-té
prisonnier, satisfait de cette ent-té qui produit en quant-té
par nos mains mais en fin d’compte, qui t’es ?
on sait qu’c’est d’notre faute s’ils sont xénophobes
un accès, il nous faut car on nous désastre de la scène aux fosses
– l’inkonea
me prends pas pour un con quand j’parle
j’peux paraitre louche aux premiers abords
mais quand j’aborde l’instru pire qu’au pearl harbour
les feuilles jaunissent au fil du temps, faut pas m’fermer la porte
mais l’apport d’mes proches m’apporte plus qu’un prêt d’la banque
j’accorde la corde musicale, plutôt qu’la chaise lyricale
j’remets en question mes fondations à force de trainer dans les bars
la pression m’guette à chaque coin d’rue
a chaque coin d’cl-sse, l’ch’min qu’j’trace
diverge à chaque place que j’-ssaille
j’ent-sse les textes sans suite
qui s’en suivent d’échecs à chaque fois qu’j’m’accapare
qui compte pour mon avenir et pour ma vie
j’compte sur toi pour m’soutenir pour le meilleur
tout comme pour le pire
– peyen
quand j’te cause, j’m’oppose à ta prose et
dépose des roses sur ta tombe et dispose, c’est bon j’ai ma dose
overdose de daubes qui causent
de choses qui nous plombent
moi j’tape pas la pose, métamorphose, le hip-hop, je sauve
et dépose des bombes
tueur à gage d’une école qui dégomme et résonne les hommes imbéciles
j’ai le flow qui décime et les phases qui fusillent, j’ai la fibre, je l’affirme
représente ma firme, qui t’agite sur le beat et te bute la tête
la fine gâchette qui te shoote en pleine tête
mec, c’est pas fini, sort pas du ring !
– refrain
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