lirik lagu mentalités sons dangereux - la fin du commencement
– salo
oh ! cannabis oui c’est toi l’artiste
non je ne suis pas triste nulle voix de cantatrice
oh ! tentatrice pas de c-n-l bis
si je reste peace je n’suis pas dans ma matrice
aucune pratique oui je dirai au flics
je n’trouve pas ça chic qu’il me volent mon stick
lui qui n’dis que il ne veut que ma 10keus
que je lui indique alors qu’il p’lote ma d-ck
ah ! marie-jeanne calme donc les sadiques
eux qui veulent te péter sans jamais te faire tourner
quel toupet ! oui, j’suis tout près j’vais fumer m’étouffer
m’engouffrer dans ce pré s’il faut j’en paierai les frais
où sont les restes on verra après
t’façon on est plus à ça prés
le pilon ça créé des relations m-ssa sacré
tous m-ssacré par les chromes ou craqués
autant qu’les frères qui finiront matraqués
– kema
on me reproche d’être pessimiste moi j’appelle ça être réaliste
les merdes que je te raconte te soule dommage longue est la liste
moi je te parle de barge de baston pah tatin
moi je te parle de la peur quand rugit le premier pas hein hein
18e 19e 20e et toutes les banlieues
arrêtons d’comparer tous les enjeux et faisons des envieux
de sartrouville à garges-lès-gonesse
leurs réputation s’atrophie mais tous ces gars j’les connais
traité comme des sauvages par chacun de leur ministère
l’heure n’est pas à s’taire il faut rendre la monnaie de leur pierre
donc -ssez qu’il se plaigne sans cesse
et de tout le temps ce faire caill-sser
c’est tellement peu d’choses face à c’qu’il nous on fait dans l’p-ssé
monsieur brigadier-chef ne fait que ses métiers
je ferais de même dans l’rap en lui disant va t’faire enculé
pour tous leurs coups d’putain quand t’es seul et tes potes feintent
enfin on paye pas d’pots d’vin quitte à manger des coups d’bottin
ya pas d’potin pour le ghetto youth
ya pas d’butin pour les potos sauf pour tous ceux qui se mettent au roots
tout le monde a peur de critiquer le gouvernement
mais moi je le fais le rabaisse et le baise ouvertement
quitte à p-sser pour un singe illettré qui s’accroche au micro
avec mon crew on défend tous nos propos
d’une manière claire ai-je l’air d’un psychopathe, non, non
je claque le rythme, éclate le beat à chaque moment
– d.a.d
j’me fous d’pas mal de chose mais à vrai dire j’aime quand c’est carré
attention de ne pas s’égarer on finit toujours par s’séparer au combat
te trompe pas ne tombe pas
pas d’tron-pa dans leur troupeau
t’trou la peau, du pot, trop pas
j’parle j’rappe pour moi toi
mais surtout contre eux car depuis l’départ
tu vois l’contraire agir en traitre
j’peux m’c-sser ça s’rai facile
mais où est le but, buté
abusé j’reste un fils de b-tte, usé
et très loin du bout, à mi-ch’min dans la mouise
ça m’fait chier la ch’mise, trop tard les putains d’chaines sont misent
pas question d’rester soumis mais j’ai l’impression qu’c’est la tendance
alors, en attendant dans l’enclos, reclus, pensant de trouver une soluce
mais perdant d’avance ça m’devance
vend son âme merde c’est décevant
plus de goût d’humain qui pense qu’il nique tout d’une main
pas question d’lâcher quand c’est pas gagné
c’est c’que je pense du moins
– dady.s
j’sors du métal mon déclic peut être fatal
j’me faufile sur l’beat c’est d’la balle qui vient d’la dalle
r’serre ton atèle si t’as mal dans l’battle on m’appelle
quand j’sors du c-n-l c’est pour faire ta teuf
b-n-l en apparence j’vois trop d’types marrants
j’finis souvent dans les tripes des balances
j’voyage dans les balkans sniper du balcon
fais pas l’con quand j’sors mec t’as pas l’temps
-ssis au bar riez, une binouze j’ai parié
on s’cotise dans c’vice qui nous a lié
sur ta tempe j’entends tous tes battements d’cœur
pas d’coup tu s’ras coupable d’la sentence d’ma rancœur
le soir la vitre baissée j’creuse des tombes ici
sors de l’ombre avec l’envie d’baiser
ecoute mon récit j’viens t’apaiser
trajet précis dans tête est-ce que t’as saisi ?
– davodka
faut qu’on avance sans s’faire flasher
on p-sse du schl-ss au lance grenade
les gants grenas car l’instru saigne
ça c’est mon kiff dans c’t’engrenage
pas d’cancrelas, c’est dvk
et sur ma feuille mon encre relate
la vérité car dans l’peu-ra y en a beaucoup rendront l’âme
on range les armes mais faut faire vite dans c’monde
sur l’beat y a l’feu aux poudres
trop d’cicatrices faut qu’on s’active
c’est pas la gloire qu’est à nos trousses
dans tous les cas faut qu’j’laisse ma marque
mon blaze mon rap dans les -n-les
la y en a marre j’largue les amarres j’fais pas zarma
faut qu’les armes marchent
j’p-sse à tabac avec faut qu’j’fume l’instru
les jeunes flashent sur les filles matures
paname c’est la pagaille dans tous les coins ça sent la filature
pas d’p’t-tes natures mais on nous traite tout comme des parasites
dans c’monde où c’est les keufs qui nous harcellent pas les paparazzis
pas d’ça ici c’est le bordel ça sort l’pitt et la batte
nique les flics et la bac
y a davodka sur le beat et la b-ss
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