lirik lagu mentalités sons dangereux - des tas d'coups
– zeuta
le son des insoumis, j’ai pas su faire, j’ai pas vu v’nir
si l’état sort ses robocop, moi, j’suis paré pour le bras d’fer
– dady.s
le cœur sur la main et pas l’inverse
le système fait rien pour donc j’la ferme
mon caractère m’permet d’pas faire un tour
je sais dire pardon mais faut pas m’pousser à bout
mon fardeau j’le traine sans tabou donc pourquoi j’f’rai un don
les gens n’estiment pas le peu d’chance qu’ils ont
plus ils pensent qu’ils ont raison plus j’me réfugie dans ma forêt sombre
ça parait simple, d’voir la lueur dans un tunnel
simple comme kicker sur sample, m’remercie pas, c’est naturel
rap de rapace, c’est ma tutelle, pour qu’ça finisse à l’hôpital
donc si j’ouvre ma gueule, puise dans mon rap, c’est profitable
la tour sur l’échiquier viendra p’t’être te tchecker
dans une main un gros chèque, dans l’autre main, c’est un concept
beaucoup d’cons acceptent et finissent par laver les trottoirs
c’est tard le soir, qu’tu les recroises quand t’es accoudé au comptoir
j’suis c’que j’suis, avant d’finir sous terre, tous rongés par ces sales rats
faut pas baisser les bras, si tu t’sens mal, bein on en parl’ra
– davodka
ça sent la révolte à l’heure des votes, j’instaure la crise et la panique
regarde dehors, rien qu’ça s’bastonne pire qu’à la prise de la bastille
depuis que nos vies s’dégradent, la balle est dans notre camp
le but c’est d’viser l’cadre, j’n’ai plus que des idées crades
donc y a plus l’choix, il faut que l’elysée crame
vas pas m’dire « eh ! reste poli, p’t-t gars »
la haine s’prolifère car même la folie qui parle
vaut plus qu’une promesse de politicard
ma clique s’invest-t grave pour lutter contre l’insoumission
si marine aime la levrette, elle s’ra gâté, j’reste sur mes positions
c’est dans la merde que l’on braille que l’on brille
que l’on braque que l’on fuit ce putain de sale air
j’ai pire que les nerfs quand je vois que les merdes s’acc-mulent
autant que les bulletins de salaire
j’suis pas dans mon -ssiette, la preuve j’ai même plus d’appét-t
on m’c-sse tellement du sucre sur l’dos
qu’j’ai peur d’en dev’nir diabétique
les soucis frappent les p’t-ts, c’est pour ça que sur l’p-ssé j’comate
on marche tous au synthol pas la peine de nous p-sser d’la pommade
mentalites sons dangereux s’applique pour faire beaucoup d’dégâts
pour ceux qu’on plus d’éthique, voilà ma clique parée pour l’coup d’état
– refrain (peyen)
mentalité d’insoumis, mec, tu connais nos cibles
nos stylos font des bavures comme qu’ces putains d’flics
alors, qu’est-ce s’p-sse ? c’est les mêmes sons dangereux
on reste tous en marge à vos règles du jeu
– peyen
si j’devais saisir la justice, ce s’rait par les ch’veux
car les lois sont faites par les riches et ne protègent qu’eux
clic pah ! une balle part et qui c’est qui paiera ?
un d’mes frères piégé par un ri-pou couvert par un avocat
toujours les mêmes histoires depuis sezneck et dreyfus
et quand un innocent, ici s’fait tuer, personne ne s’offusque
j’suis pas là pour tuer l’temps, mais pour tuer des mcs
qui ont oublié leur mission et s’prennent pour des mesrine, mesquines
moi, j’n’ai jamais joué avec un mic dans les mains
quand les mots fusent, c’est dangereux voilà mon arme de poing
et c’est l’pied, ta démocratie m’autorise à gueuler
mais dès qu’la vérité t’blesse, pour nous c’est pieds et poings liés
– salo
s’il n’était qu’une fois, le père au deux mains gauches et deux bras droits
a la main baladeuse qu’les mains courantes n’arrêtaient pas
l’homme aux deux visages, l’un qu’on dévisage à son p-ssage
et puis l’autre qui fait fissa
le fils aux dents d’lait, au couteau dent’lé
l’homme en danger qu’il avait engrangé
l’enfance sans p-sse-droit, l’homme qui ne marche pas
deviendra quoi plus tard, sans foi ni loi
toujours un pied d’vant l’autre malgré les coups d’épée dans l’eau
– peyen
sans foi ni loi, c’est la devise de l’état
la justice ne blanchit pas les pauvres et surtout pas les reu-noi
et ouais gars, sache ça, quand on a pas d’preuves, on en fabrique
pas d’avocat conduit souvent à c-sser des briques
avec vous j’en ai pas fini, voici l’insoumis précis, scré-di
aux récits réfléchis, sans chichis qui dans ta face tombe pile
depuis des siècles, la ch-sse aux sorcières continue
tes quatre vérités, c’est qu’des innocents connaissent tes quatre murs
– d.a.d
j’kifferais me défaire de ces fers en forme de bracelets
pas l’temps d’penser que tu t’retrouves les bras scellés
pas mal de souhaits abstraits lorsque les phrases se laissent aller
la vie est salée, tous pour les sous, ouais, ici p-ssez-les
faut qu’j’trouve l’échappatoire, j’sais ap pourquoi pas toi
tous à l’abattoir comme rats d’laboratoire donc bats-toi
trop de bâtards qui par les lois t’ont martelé
trop de parlottes dans leur télé, on a l’cerveau écartelé
ça m’sort par les trous l’nez d’voir les frères mal tournés
qui disent « j’suis invulnérable et cela après ma tournée »
ou derrière chaque spliff allumé d’dire qu’ « à l’état j’lui mets
soumis, c’est pas demain qu’j’l’admets » mais faut ne jamais dire jamais
ça m’aide à garder la lutte d’la réalité au pied d’la b-tte
des efforts fournis pour main’tenir le bleu d’l’abus
t’as vu que ça pue, qu’les idées farfelues d’ce faf élu
seront parvenues à être bienvenues
dans la tête des putes qui veulent nous buter
– zeuta
bah ! moi, j’aime pas tes lois, j’aime pas tes choix
j’vais t’buter cette fois
tends moi la main, sans but en plus j’t’ampute tes cinq doigts
comme quoi, j’veux pas m’plier à tous tes codes ou règles
j’suis comme tes potes au hebs
parce que trois-quarts des flics sont cotorep
poto reste car ici, on est chez nous
battez-vous, ça craque en bas des tours
colonne vertébral en vrac, on f’ra pas d’argent sur mon dos
sur fond de triste crise, monte une armée de commandos
pas nationaliste, jeune banlieusard n’a rien d’un kamikaze
je monte la résistance, révolutionnaire ou juste un gars qui gaze
j’ai té-gou des tacles, l’encre me gratte jusqu’au bout des doigts
insoumission, rêve de finir sur un coup d’état
– refrain1
– refrain2 (dady.s)
relève la tête et baisse pas les bras
même s’il faut qu’on t’retrouve dans un sale état
ça fait d’la peine, t’font voir c’qui n’apparait pas
si tu parais droit, c’est eux qui vont profiter d’la fête
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