lirik lagu mentalités sons dangereux - comme il fait noir
– salo
tellement noir que l’on m’a oublié
aucun parloir, j’vois bien qu’on m’a laissé aux oubliettes
le temps de roupiller, on m’a volé des clopinettes, des roupies, mec
j’ai autant peur qu’des éclopés qu’des midinettes
demande à mehdi mes chances à l’audimètre
j’sens qu’c’est à nous d’y mettre un peu d’intensité
et si le faut, citer tous ceux qui nous ont toujours -ssisté
déshérités, ceux qui d’emblée sont acquittés
si sarko est une lumière, c’est qu’il a tout r’couvert d’obscurité
qu’il est devant-derrière les projecteurs, que tu n’peux l’éviter
a méditer, lui qui n’connait qu’l’humidité d’la méditerranée
ne séch’ra pas ses larmes à l’ombre, même une année
pour nous vendre des fruits d’son marché noir, qui peut le cond-mner ?
– zeuta
comme il fait noir et que j’commence avec cette feuille blanche
j’vais faire couler mon encre qu’a la couleur de c’trou dans ma mémoire
moi, j’kiffe me retrouver dans sa nuit où les étoiles s’évanouissent
et les leur-di s’épanouissent et vas savoir
pourquoi je suis cité dans sa liste, que je glisse sur sa piste
et que ces marrais nous salissent
c’est ça l’histoire ou l’heure du deuil et j’reste chaotique
j’kicke l’égotripe et j’encule les gotiques
comme il fait noir, j’me reconnais dans son humour
souvent, j’ai son humeur le jour avec en toile de fond, la mort
et pire encore, parfois je rentre dans sa putain d’colère
je pé-ta son regard à en faire pâlir un ours polaire
la guerre a ses pensées, ici personne n’y échappe
donc oublie la couleur, on voit la vie en noir comme ray charles
c’est b-st–l et forcément j’ai ses idées
mais j’le réclame pour m’endormir le soir, c’est une nécessité
et je suis écouté dans sa boite
tout s’emboite, crois-moi j’le broie, c’est l’effroi, je reste sans droit
la douleur et bien j’m’en branle, j’rappe sans gants
sans blancs, on ensanglante et quand j’frappe, j’fais pas semblant
– d.a.d
voilà ma couleur du monde, j’ai pas d’mal à m’y faire
enfermé dans une atmosphère pire, j’ai plus à m’en faire
dans cette obscurité où j’arrive bien à m’repérer
tout s’c-sse autour de moi et on m’dit « ça, vous l’repaierai »
un p’t-t son pour l’deuil de cette att-tude sombre
car tous têtus, p’t-t tu verras que ceux qui t-tubent sombres
mais à l’abri à l’ombre où les ondes me montrent
le chemin hors pair et si j’m’y perds, elles seront mes repères
donc un néant en né et nez à nez on est
comme il fait noir, tout comme ces années anéanties
t’y en tombe dans un ma-co
trou noir absorbant tout espoir, rêvant dans un hamac au soleil
encr-ssé de cette haine ébranlée, côtoyant la-cel
tu en laisses que des comptes funèbres
qui me plonge dans un chaos où l’homme du morne taciturne est d’aplomb
je suis seul avec ma mine de suie
elle me fait mine de suivre cette égouts lugubres
guidé par ma mimine de suite
j’vois qu’y a plus rien c’est dar, c’est l’dark
aveuglé d’raisons, ici c’est standard
– davodka
ça fait des l-stres que l’on gratte le papier à en avoir des ampoules
je n’serai pas une lumière car de mes jours noirs mais tout l’monde s’en fout
sur la lampe de notre génie, la justice nous a mis un abat-jour
si ça sent l’crime, c’est simplement que chaque soir, la nuit abat l’jour
j’ai tant d’idées obscures, j’aimerai qu’on éclaire ma lanterne
et ouais, j’ai beau faire mon train d’vie
j’ai l’impression d’voir le bout du tunnel
j’défis cette vision floue, j’décris cette vie de fous
dans l’noir vient tendre l’oreille et tu entendras que des cris sans doute
j’mets cartes sur table regarde, c’est c’monde sans cœur qui t’met k.o
car pour les jeunes, ici, les nuits noires tombent à pique
pour te mettre sur l’carreau
dans mon coin, seul, j’résume tout c’la en quelques parties d’sons
c’est pas par tradition d’ma vie, qu’j’raconte toujours la partie sombre
c’est parti, mais pardi, l’inspi s’invite, c’est l’bad trip
quand mes jours noirs et cette feuille blanche
s’invite le son d’la batterie
la haine sale et le son me laisse en seum sur un seuil insalubre
où les soucis s’allient, à chaque saison, n’voulant qu’mon salut
je sais très bien que la lumière s’fait rare aux alentours
donc je suis une ombre parmi tant d’autres
qui s’s’ra battu pour vivre au jour le jour
– mentalites sons dangereux
je n’ai confiance qu’en ma mine de crayon
qui dessine mon seul rayon d’soleil obscurcit
par la réalité des choses que mon âme endurcit
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