lirik lagu mentalités sons dangereux - c'est simple
– d.a.d
pour moi, c’est simple, une b-sse, un sample, une batterie
et le flow part, tu veux qu’j’arrête, faut m’abattre
trie, le faux du vrai, moi, j’ai un calibre
et j’mens, tire pas, du coup j’s’rai pas dans c’cas, libre
c’est trop simple de fossoyer la té-véri
mais en vérité, c’est vraiment que la tv rit
de toi, de eux, de moi, de ceux qui font qu’le hiphop est un art en émoi
et c’est tellement simple d’décrire des cris, des crises, des crimes
bluff, tu connais la vie. décrypte
une écriture simple et un futur saint
monnaie, monnaie, comme une bât-sse, tu veux jouer du gros bonnet
c’est simple, si tu captes pas, tu lop-pull
toi, dans l’rap, tu bats du vent comme les ailes des poules
ici c’est d’l’authentique, on fout à l’eau ton tique de game
ppn, peyen aux flow tant antiques
– refrain (davodka / salo)
c’est simple / c’est simple / ici même le sommeil te plombe
là où la fatigue et l’insomnie / t’harcèlent à coup d’pompes
ouais c’est simple / c’est simple / c’est une b-n-lité
mais / une fatalité / qui finira pas t’aliter
c’est simple / c’est simple / comme la façon qu’on encaisse
dû à ce gen-ar / qui font les sentiments en pièce
ouais c’est simple / 7.5 / c’est une évidence
la facilité de t’faire bouger / donc vite, danse
– kema
c’est tellement simple de parler cru, t’as vu la rue, ça pue
d’puis qu’l’abus prend une place importante dans ma vue, déçu
forcément j’use un flow ciseaux qui ne cesse de sectionner
c’est ceux qui sont, qui savent / c’est ça, j’t’envoie un flow sec, scionné
dis-moi dad’shawg. / quoi ! / est-ce que tu trouves qu’ils sont forts ? / pff
ils parlent haine un fois encore, balance du sang sur l’décor
on dégomme, on décolle comme dady.s l’a dit
en france, le rap en 2008, une maladie, mais c’la dit
je kiffe tellement le rap que tout est bon à prendre autant qu’au banco
même sans go, je préfère le tango
a leurs délires, oui, je demande à lire
leurs lyrics trop gonflés comme les lèvres d’amanda lear
dans mon hiphop, pas de porsche cayenne, juste un beat et un speech
non, pas de b-tchs que du peech alléchant comme un pim’s
c’est tellement simple de dire ce que tout l’monde a déjà dit
mon rap d’attaque est en place et tape les nases comme jazzy bazz mc
– refrain
– peyen
(kema) mais qui sont donc ces chiennes qui gênent daddy shawghoyen
la zic est mienne et contre ces bâtards, peyen fait des siennes
quand j’rappe c’est simple comme deux et deux font quatre
le mic est mon fil, et moi, son acrobate
des phases et des phases et des phases…
le m.s.d. fait déborder l’vase
j’ai pas fait du son pour plaire à tous ces nases
mon inspi, c’est ma vie et mon thème, c’est la rage
moi, j’serai roi, mec, avec ou sans la fève
ma galette est noire, c’est pas une tarte à la crème
t’aimes ou t’aimes pas, j’m’en bats les couilles, c’est pareil
pour l’instant, on est là, demande aux frères du 18e
on a encore peu mais c’est ce qui fait qu’on veut beaucoup
vouloir viser plus haut pour sortir la tête des égouts
j’pensais qu’c’était simple et c’est pourtant si compliqué
tous les jours j’taffe mais faut aussi s’accrocher
ça a l’air simple comme le blase d’un malgache
mais mon œuvre est profonde, ne fait pas d’amalgame
c’est toujours simple de faire croire qu’on a du vécu
mais en vrai, beaucoup baltringuent et n’ont pas un écu
tu m’as laissé l’mic et franchement, t’aurais pas dû
tu crois tout gagner mais en scred t’as tout perdu
a chacun son tripe / tu vois, le mien est en suspend / j’suis suspect
car souvent / j’suis sujet / à soupçons / c’est saoulant / et selon
les ragots / des salons /
le salut des salauds me salie et c’est chiant
– refrain
Lirik lagu lainnya:
- lirik lagu noyz narcos - mosche nere
- lirik lagu gigoflow - spuck auf rechts #3
- lirik lagu stephanie diaz - week 12
- lirik lagu bobby gore - staying out the way
- lirik lagu jon connor - unbelievable
- lirik lagu fullrap alicante - zasko vs tali - trap battle final alicante
- lirik lagu yoguttene - $pilgud
- lirik lagu mc kamau - bom dia
- lirik lagu rövballebandet - knulla luder
- lirik lagu the beach boys - disney girls (1957)