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lirik lagu maska - sommaire

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[couplet unique]
on agit chacun pour soi bien qu’on soit rien sans les autres
oui le succès m’a séduit bien qu’son sourire semblait faux
tu comptes plus sur les tiens comme un chard-clo imbibé d’vin
quand ton quartier s’enflamme bah bizarrement la paix s’éteint
j’regarde mon avenir au loin comme un dique-sa qui fixe les tains-p’
avec envie mais crainte de trouver le d-ss dans son étreinte
les mystères du destin, ma vie d’merde est restreinte
insatisfait d’un festin, ma joie de vivre s’est éteinte
critique-moi ça m’rend humain, insulte-moi je deviendrai chien
je suis nécessaire et surprenant comme la longueur des intestins
moins t’es dans l’underground, plus y’a d’taupes c’est bizarre
dans la nature c’est le contraire, est-ce que tu captes si j’dis ça ?
la musique m’a amené dans un puits d’ténèbres
en m’faisait croire qu’y’avait de l’eau, mais y’avait qu’des rêves
méfie-toi des pigeons, c’est parfois eux qui t’chient dessus
leur merde te tombe dessus peu importe où tu t’situes
j’parlais pas des oiseaux les animaux nous nuisent pas
nos verres de whisky s’c-ssent, eux s’contentent du whiskas
j’attends que la justice f-sse, son travail sans pet-te cr-sse
le juge ouvre ton casier comme si il ouvrait une pistache
on étudie pour faire des armes à croire qu’apprendre c’est dangereux
le hasard va t’faire du mal si t’es trop tenté dans le jeu
bsahtek si tu portes la rue, moi j’la supporte t’as vu
elle te tue gratuitement peu importe ta thune
belek la personnalité d’un mec que personne a niqué
un président d’un mètre soixante à qui les gens sont agrippés
t’allumes un joint ton corps s’éteint, tu reconnais pas tes torts, c’est dingue
t’as la mort aux bout de tes doigts comme un fonce-dé qui sort ses flingues
à force de raconter de la merde, tu pues de la gueule
il cherche la merde celui qui s’approche du cul de ta sœur
on se dit à c’t’heure d’une vie de vices, il serait peut-être temps qu’tu captes
qu’il n’existe pas de pet-tes crises, y’a trop de banques qui craquent
on aime la maille plus que tout, on a toujours plus de goût
on cherche qu’un seul amour et pourtant toujours plus de boules
rien que j’gratte ma feuille, à croire qu’elle a de l’eczéma
normal vincent veut dire vainqueur, on m’compare à benzema
tu veux pas arrêter de ler-par, ferme ta gueule j’vais tout leur dire
les rappeurs ne pensent qu’au cash, pour ça qu’on noircit nos pages
vous tenez nos cœurs en otage, aujourd’hui j’vais tout sortir
on nourrit des fantasmes en sachant qu’ils vous torpillent
on bombarde, on écrase ceux qui veulent nous ralentir
j’ai l’talent pire stop ta rage, j’rappe sale ‘faut pas mentir
j’ai de l’argent mais j’suis perdu, j’suis comme un roi qui n’a pas d’empire
attends le pire tu vas ramper, j’entends tes cris retentir
si tu tombes love de la street, tu vas embr-sser son sol
pourtant tu sais qu’c’est qu’une actrice qui t’faire rater ton vol
vers une vie épanouissante, loin des sanglantes descentes
j’ai du mal à faire confiance à mes ententes récentes
les sirènes sont tant stressantes n’en ont en plus après les marins
mais les gamins qui ont des parents que la banque étrangle
faut que j’devienne une légende, j’en ai marre d’attendre les gens
une peluche ne ressent rien en paraissant attendrissante
la france est belle mais complexée comme une reine devenue esclave
et si les pet-ts n’ont plus de respects, est-ce que les grands sont respectables ?
t’effaces pas un adultère en même qu’t’effaces un texto
l’impression qu’mes pêchés m’escortent, veulent pas m’laisser m’ver-sau
laissez-moi p-sser même c’est mieux percer sans délaisser mes soss
c’est pas qu’on se la raconte, c’est qu’il faut célébrer les choses
parmi ceux qui ont trouvé l’or nombreux d’entre eux se cherchent encore
on va pas te pleurer longtemps après que tes potes enterrent ton corps
ton père t’entend insulter sa fille, marre de voir que tu perds ton temps
à force, il a compris, ça sert à rien de t’faire comprendre
les démons sur mon âme doivent faire un boulot colossal
tu t’crois frais quand t’es dans le son, tu t’laves avec de l’eau sale
j’attends le soleil pour sourire, il fait encore un temps maussade
faut qu’je change, j’deviens futile vu tout l’argent que j’claque en sapes
donne de l’importance aux gens, c’est comme ça qu’on t’en accorde
quand tu t’mets au-dessus des autres, t’étonne pas qu’on t’tende la corde
quand t’as les chevilles qui gonflent, bah forcément tu marches plus droit
j’commence à faire des zigzags, ça craint grave amputez-moi
ceux qu’on aime sont en nous, quand ils partent, ça rend fou
aidez-moi, retenez-moi, j’suis faible et j’pars en couille
leurs valeurs, leur vieil humour, tout ça me pompe les nerfs
rappelle-leur que le cadavre se dégrade même si la tombe est nette
c’est en t’p-ssant de la pommade en douce qu’on t’pénètre
tu t’es fait niquer comme tout le monde pourquoi t’as honte, c’est bête
en france pas de vice président, le notre en a déjà trop
les pet-ts restent impolis, parlent mal, draguent ta go
drive-by, pas d’magot, y’a que le matelas de la taule
pour amortir ta chute qui écrase les tiens par ta faute
l’argent te donne du pouvoir tout en t’affaiblissant
t’as l’impression de décoller tout en atterrissant
pet-t ce monde n’est pas prospère si tu souhaites rouler en grosse caisse
tu veux mettre tout le monde d’accord, t’as pas le choix mon frère, faut se taire
on doit accepter la mort de ceux qu’on aime par amour
la conscience a des contraintes que l’homme endure chaque jour
ouais il boit car ça l’saoule, il est saoul car il boit
se dissoude de tous ses frères pour deux trois sous -ssieds-toi
j’ai pas fini de te tatouer mes idées dans ton veau-cer
elles sont noires et malsaines et donnent naissance à mes cernes
seuls les cons trouvent les gens cons et comprennent pas qu’on est tous pareils
tous parés paros tarés, tout s’paye tôt ou tard et
marine le pen va vite se perdre dans sa vallée de vice de merde
on utilise pas la haine pour créer une vie de rêves
on connait l’prix de tout, mais la valeur de rien
et le bonheur des autres crée toujours le malheur des uns
les orgueilleux égoïstes tomberont jamais amoureux
tu t’aimes trop pour en aimer une autre, allez avoue-le
une fois mort beaucoup de bâtards parleront mal de toi
personne n’encaisse mes vérités c’est pour ça qu’j’rappe le soir
ceux qui parlent derrière mon dos sont bien placés pour que j’leur chie dessus
ça évitera les prises de tête, les “j’vous déteste” et ainsi de suite
neuvième zone, l’inst-tut, shin sekai, wati b
on a construit un empire qu’on peut pas abattre à l’épée
ma cervelle est molle, j’encaisse des coups durs, j’en panique
qu’ai-je foutu dans ma vie ? l’impression que je cours tout nu dans ma ville
j’suis foutu sans ma fille, le tout-puissant m’anime, j’coule dans les abîmes
j’m’étouffe dans les habits d’une pouffe puant la tise, l’enfer me court après donc en suant j’arrive


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