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lirik lagu mani deïz - too much memory ii (freestyle 2)

[couplet 1 : lesram]
bloqué dans les rues de babylone city, j’rêve de faire des cl-ssiques comme biggie
les caïds sortent le calibre comme fifty
je rallie rhum-whisky, gros blunt comme le roi heenok
les og’s s’additionnent d’ici à washington dc
au quartier les t-ss michtonnent, demande à alison
finis les grecs oasis pomme, faut l’inviter au madison
j’ai des contacts encore plus fous que marilyn monson
mon iphone sonne, c’est surement charlie bronson
j’viens pas d’detroit ni d’compton, mais mes rates-pi cognent
comme la famille johnson, pas d’calibre gomm cogne
j’te promets, comme l’a dit l’ancien
j’préfère être chien que m’voir à l’avenir en chien, pour l’instant j’crée d’la rime en vain
bon taga comme type d’engin
si j’mange un mc au goûter, ça fera qu’un pitre en moins
c’est bavon j’rajoute d’la weed dans l’joint, j’fume le gazon j’savoure
en écoutant des savons lavourds, 310 pour départ
c’est pour ce bas-fonds, la tour
les bars autour desquels j’ai tourné tard, jour et soir si y a un plavon j’accours
déjà plus petit j’voulais être le patron d’la cour
j’suis vert j’me bute au marron chaque jour
mais j’regrette pas mon parcours, j’regardais oggy & les cafards
t’as vu on a bien poussé, guette mes og’s et mes lascars
ont des bails à revendre
pour un peu d’maille à reprendre, un grand t’c-ssera 2 jambes
sache qu’on va pas se rendre sauf si mama l’demande

[couplet 2 : 1spire]
nique une promo radio, ça paiera pas l’cavalier noir sur le polo
ma ‘caille, ni la retraite dans le colorado
pourtant ça s’p-sse pour nos pros d’l’art oratoire
ice wax, blouse blanche, dojo laboratoire
observe les trichromes au microscope
y m’faut un kilo d’hydro dans l’phillies, ouais nique billy crawford
master stocké sur l’microfilm
nique ton cl-sseur, dossier sur ton posé quand j’effrite l’olive
vapeur toxique, qui -ssombrit nos nuits
mais j’leur fais voir d’toutes les couleurs, comme sous xxx
vise nos vies, aucun homme n’est libre
or toutes les armes le sont, donc pour s’évader faut réfléchir
a fond dans l’syllogisme, joue pas les philosophes
psychologue, quand j’crame le skunk, j’veux juste lire au pire
hein, ouais, et j’nique ton murder style
pour mes xxx, moi j’ai l’purple cheese

[couplet 3 : sopico]
fini d’parlementer, j’veux le luxe, le charme hollandais
blonde ou brune, j’suis c’garnement vrai, tu t’fais souffler par le manque d’air
sûr de moi, tu veux fumer sur le ice, suffit d’demander
pur de wax, le doobie t’emmène sur le toit, évite de mendier
pulpeuse anglaise tu veux rentrer dans la suite, tu t’sens prête
sans la suée, sans cesse tu recherches celui empestant la chim’
dur de s’changer car la rue c’est pas une cabine d’essayage
et qu’dans la vie, triple-6 et l’sheitan bicravent les scénar’
ça sent l’afrique, l’europe ou l’asie, le fric de l’autre est raciste
quand personne ne s’mélange, ça fait qu’les fils de l’homme sont nazis
j’viens calmer ces nazes, à la base j’arrive j’dégomme ton avis
j’p-sse à l’attaque quand tu taffes à la salle, “brise les codes” on m’a dit
j’vois ceux qui autour de moi seront là si j’décolle à l’avenir
j’oublie jamais qu’le public me portera s’il se colle à la vitre
j’fais l’effort d’-n-lyse pour la paix mais sans la malice
toute ma tête se troue, faut qu’la bête se couche devant la famille

[couplet 4 : walter]
j’n’ai rien fait aujourd’hui à peine, je riais hier
laisse, j’veux siffler l’miel bien def’
beaucoup d’huiles m’ont poussé à bout mais j’me débat dans la ronde
c’est des barres, rares sont les moments où j’vais pouvoir souffler
j’laisse les âmes goûter la carotte, j’ai coupé la parole
j’sais qu’douter à la mort, c’est perrave, tout est à ma portée
les mans, poussaient pas d’abord, j’vais louper la cagnotte
j’paye, jouer la salope, t’es vénale, j’voulais pas l’aborder, nan
je n’voulais aucune mésentente
seulement, à rien faire, j’ai tout fait pour t’offusquer lentement
m’en occuper j’m’en branle, j’la tient, je l’ai dénouée
j’fais ça bien j’sais m’débrouiller, au-dessus des tendances
xxx ça vient derrière, les rapaces sont prêts
devant l’païen reste fier, et ravale ton glaire, l’obus est tremblant
au vu d’mes penchants, le volume est changeant
j’copule dépendant et dansant près d’la femme fontaine
j’ai la dalle mon frère, tes bâtards sont d’mèche, les radars complètent
les patates tombent raide, xxx en sang
connues vraiment j’pense, les parades sont veines
mais à chaque concert, c’est pas ça l’bon texte, xxx les sentences
j’pollue, fais l’enfant, et ram-sse mon chèque
déballage concret, dérapage complet, coluche est dans l’angle
etat d’âme complexe, j’ai pas l’âge qu’on m’fait
guevarra m’pompe l’air, tes salades font qu’j’ai occulté l’ensemble

[couplet 5 : sheldon]
tu veux qu’on travaille pour toi, mais j’ai signé un pacte
jamais bosser pour une racaille bourgeoise
on fout la pagaille pour voir, trouve la marmaille sous l’toit
tant qu’tu peux l’faire, rôde entre les sales bails sournois
et si la balafre est profonde, hé
on pourra balader nos ombres, moi et mes canailles sous wax
nan me parle pas t’es trop con, j’viens pour ravaler vos tronches
ensuite j’me c-sse hein, vous pourrez saccager nos tombes, hé
hé, équipe de pirates donc mutinerie
pillage en ville donc j’compte le butin, les rubis brillent
nique les putains, les putes qui vrillent
si t’as plusieurs visages dégage, mes trucs viennent des rues d’ici
vient pas me parler d’art nan, vient pas me parler d’armement
j’essaye de rapper calmement
seulement trop d’trucs m’énervent, vous et vos costumes sevères
quoi, vous n’savez pas c’que vivent mes garnements
c’est juste le féticheur, le fou et puis le bohémien
les autres c’est des tricheurs, bouge avec tes problèmes
mais la colère vient, on peut redécorer l’train
pute, juste pour faire nettoyer tes serviteurs

[couplet 6 : limsa]
c’est la guerre pour le budget, j’vois trop d’tits-pe munis d’une arme
sur l’rrain-té toi-même tu sais c’est comme au foot, suffit d’une balle
juste pour le lo-ki du man, personne peut gruger
si seul dieu peut juger, pourquoi j’l’ai jamais vu au tribunal ?
même quand les flics les sé-cour, j’leur dis pas d’quitter les cours
et encore moins qu’dealer c’est cool, t’façon j’l’ai jamais fait
flics et voyous s’renvoient la balle comme jane et serge
j’voulais ber-flam au casino poto, maintenant j’y fais mes courses
c’est la défaite, xxx
tu veux péter les plombs, écoute limsa, lesram et say
pour quitter l’escalier sale, on veux changer d’repères
si tu veux pas t’manger d’revers c’est mieux qu’tu nous laisse la médaille
si tu veux clasher l’f-ckin’ limsa t’as tord
poto trait-moi ma mère ou souhaite moi la mort mais m’compare pas à el matado
j’viens pas d’un endroit où les gens sont cools
où y a des chansons douces, mon répertoire c’est l’contraire d’c’qu’a chanté salvador
tu veux quitter ta vie d’alcoolo
et percer dans l’peu-ra, j’ai un conseil pour toi
y faut qu’tu mixes la coco, qu’tu sniffes ça trop chaud
qu’tu t’mettes un oigt-d et qu’tu répètes 3 fois “limsa” poto

[couplet 7 : lasco]
j’veux pas décevoir mon père, j’veux pas qu’l sache que moi j’vais au xxx
que j’pars livrer un douze à 23 heures, sur un bmx
j’souhaite la paix aux tiens, fais pareil ou tu rentres pas entier
j’vois les petits s’agiter quand y a les pu au tieks
wesh des barres, la vie st belle après un oinj de beuh
ouais j’déboîte, bébé p-sse me voir et j’t fais ouij debout
wah j’débite, j’suis ni charlie ni m’bala m’bala
c’est lascomic, lls, j’les aime belles, y m’balade
entre les brunes/blondes, pures bombes, même si très souvent
j’me suis trop sauvé à ieps, ou via transavia
ramène moi 3 avions, j’fais l’affaire
avant qu’leurs triso viennent, paris nord-est ici c’est trop zoo vieux
matchakala, on mate le match à quelle heure ?
des monster munchs au kilo servis par des minchs en collants
thanks you very much enculé, tu pensais arrêter mes frères
ils vont t’amener vers l’enfer xxx

[couplet 8 : keroué]
tu croyais qu’j’allais l’admettre, qu’j’allais faire le taff à ta place
et me presser à la cafét’, tu peux canner
j’amène des palettes de balles pour l’ak 47, truc de barré
j’mets le but de l’année mais je garde un sale caractère
j’m’en tape, j’ai toujours été bien dans mes pompes
toujours inspecter sciemment les choses, le diamant est sombre
la police s’interroge sur la présence d’un colis suspect
la cohue dans la ville vaporise du stress
mais calme, j’ai tout c’qu’il faut, coups d’ciseaux
limite schyzo’ quand ça m’chante, j’prends la température
sans apprendre tes signaux, j’écris trop en avance
je sors le sirop du frigo, du primo dans ma chambre
ces idiots sentent la chance tourner, doutent
l’atmosphère est violente, à notre tour de prendre les commandes
ça parait étonnant, ça m’rappelle des moments où j’patientais
ou j’attends d’trouver le jour où j’donnerai des offrandes
pour voir ma bande soudée ou ta langue coupée courte

[couplet 9 : say]
bouleverse l’état naturel des choses, à l’actuelle très chauds sont mes homies
poto j’vais foutre la barre tellement haut tu vas crier “ballin'”
en l’occurrence l’opulence d’mes textes commence à devenir relou
cheloument beaucoup n’parlent plus, sur tout l’texte je l’ouvre
a long terme, j’t’allume pour mieux éclairer ta lanterne
parce que toi et tes textes pourris êtes lyricalement ternes
musicalement faibles man, c’est limsa/lesram
on est venu tout niquer même toi donc poto reste calme
j’saute haut, même quand la détente est pressée
cause trop d’dégâts quand j’suis sous weed pour décompresser
claustros, les gars sont stressés par la fluidité des techniques
gros j’t’explique, même sans faire exprès j’fais que d’les blesser
pardonnez moi la miff, j’mange tout sur mon p-ssage
et ça peut importe la distance, donc fils danger
xxx et j’suis triste quand ça rappe mal
dédicace à tous mes bicots, juifs, bambaras man

- lirik lagu mani deiz

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