lirik lagu malone (fra) - les oiseaux
[1er couplet: 13k]
ce n’est pas moi qui chante, c’est mon amour perdu qui a pris le dessus ; les rues que j’ai vu dirigent plume, servent de première muse
il ne suffirait de presque rien pour que j’en abuse ; amour et peines, unité et love mes valeurs sures
je ne voudrais pas crever près de ma rue mais je l’aime tellement : compagnon des mauvais jours haïs par maman
agonisant de voir ces mômes grandir sans culture ; sépultures profanées je crois qu’il n’y a pas plus dur
pour éclairer mes souvenirs il y a le r.a.p ; un ami proche qui m’a appris jeune une belle manière d’aimer
janvier 97, une partie de moi s’accroche à ce mec qui puait l’échec
pertes et fracas, guerres et bagarres ; une partie de moi s’accroche à ce mec qui puait l’échec
pertes et fracas, guerres et bagarres ; ces douleurs qui rendent homme je continue le combat
[refrain: sizler]
les années passent et ça me brûle ; car autant les journées s’accumulent
je reste autant percher à ma lune, là où je ne t’ai pas perdu
si ma peine frappe le bitume ; si je daigne garder l’attitude
c’est l’attachement qui me fait perdre le fil. je m’accoutume à tes vertus comme l’oiseau s’attache à ses plumes
[2eme couplet: malone]
j’entends les larmes chanter et les peines battre des ailes dans le ciel de nos vies et des nuages dont on ne se défait
pool, boom : la colombe est tombée. désillusion est femme qu’il n’est pas bon d’armer
car l’hirondelle aura beau chanter à tue~tête, le printemps ne peut venir si dieu veut maintenir l’hiver
mais j’ai attendu le printemps, encore et encore : eétès peut~il oublier sa toison d’or
donc j’ai vu les vautours tourner dans les limbes de mes chimères que la raison me prie d’oublier
les pâles copies d’amour peuvent nous briser si le mot « je t’aime » en est un contrebandier
et l’hiver est resté encore ; les pleurs ne réveillent pas la flamme qui s’endort
l’évidence me parlait mais je ne l’entendais pas ; ton répondeur était le lieu où j’entendais ta voix
[refrain: sizler]
les années passent et ça me brûle ; car autant les journées s’accumulent
je reste autant percher à ma lune, là où je ne t’ai pas perdu
si ma peine frappe le bitume ; si je daigne garder l’attitude
c’est l’attachement qui me fait perdre le fil. je m’accoutume à tes vertus comme l’oiseau s’attache à ses plumes
[outro: sizler]
si je daigne garder l’attitude
comme l’oiseau s’attache à ses plumes
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