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lirik lagu maison greensboro - quartier vert

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[couplet 1 : zypo]
quatre dans une pièce, voyons voir ce que la nuit nous permet d’faire
aucun doute, l’heure du coucher nous fera louper le réveil
la page est blanche, la lune aussi donc j’me répète
en reparlant encore d’fric au lever sur un air de piaf
le marteau frappe les cordes du piano, le son résonne jusqu’à amnéville
mes doigts pianotent un son plus triste que malevil
une aura quand j’mе regarde dans l’miroir comme edward elric
un miragе quand je lâche le grimoire, les ruines d’un pays
dans ma tête, s’embrouillent des la, des do et des mi
mais pas d’orchestre qui joue les sinistres mélodies que j’crée
besoin de faire un tour alors j’explose, j’écris
et mon cerveau se met à mettre en page de drôles récits que j’vais
poser on time, le métronome est même pas si précis
couplets de grande taille qui démontrent que j’ai d’grandes failles
briser tant d’cages, cribler tant d’pages
déplier tant d’chars, des milliers d’grands flyht remplis de tant d’cash
le livret s’entache donc faut qu’j’me précipite d’écrire
la rivière s’emballe, mon reflet dissipé dérive
des disciples et des rimes, des équipiers, des rires
j’sais bien qu’le futur est radieux, j’vais maîtriser cette vie

[couplet 2 : madjer]
j’me sens à ma place, comme une parka sous la pluie
maison greens, jamais ça cale soit ça passe ou ça plie
j’rappe sur, du clara luciani, des titres sénégalais
j’viens juste esquiver les galères esquisser des tas d’traits
madjer parfaitement conscient des prodiges qui l’entourent, des gros risques qu’il encourt
ton disque d’or cramé retrouvé aux puces de clignancourt
j’rappe, comme si ça allait jamais finir, comme si l’temps s’arrête
j’suis dans l’studio j’suis dans ta tête
tous les jours j’cours le ventre à terre
pas d’marketing c’est pas mon truc de m’vendre à perte
j’roule la rue, jusqu’à trouver l’aventure
ou j’reste posé au café, jusqu’à voir s’trouer la devanture, han
on vient pas d’la même dimension, t’sais qu’j’suis dans l’son
fort dans la forme, précis dans l’fond
on peut pas contourner les lois, pourquoi les présidents l’font ?
j’écoute cizia zykë , pas d’titres d’alizée ni d’halliday
dernier partis vite arrivé
j’étudie culture fiscalité
mains endurcies, par le travail et les gifles
pas l’temps d’attendre : j’étends mon linge sur le câblage électrique
à 8 ans j’lisais joffo, 10 plus tard j’viens ramasser mes billes
banaver faire vite pour arnaquer cette vie
[couplet 3 : natwann]
ils s’demandent tous pourquoi j’suis là
mais y’a qu’ici qu’j’touche à mon art, que j’quitte le vide
que j’kiffe l’équipe, que j’nique ces types dès qu’madjer m’dit c’est tipar
c’est la famille, c’est l’équipage
qui aurait cru qu’les murs de greens seraient mon refuge, mon exutoire
c’truc me casse, mon âme en horcruxe, de délicate crasse
faut qu’j’sorte des volumes, des vinyles de malade
pour l’instant j’tombe dans l’canap
j’me fonds dans la masse, prod de zyp’ et quinx en fond
j’ferme les yeux, j’fonce vers mes fantasmes
bien sûr qu’dans ma tête y’a une nouvelle fille
j’l’imagine déjà dans mes bras, qu’est~ce qui m’a pris ?
pourquoi j’vis d’amour dilapidé, d’sourires imaginés
d’réveils dictés par le seum comme si j’avais jamais rien appris
j’regarde le film de mes erreurs, j’suis directeur
mais l’film défile et recommence toutes les heures
le type prend encore tout bien trop à cœur
ouais c’est la même putain d’séance
la cam’ se perd et puis recommence
s’agirait d’pas crever au beau milieu du plan~séquence
j’ai perdu l’envie d’plaire, j’ouvre un oeil, j’me réveille
j’entends mon père dans l’rap annoncer « rappeur ambidextre »
j’deviens c’que j’ai envie d’être, éteins l’truc en vite fait, merde
j’crois qu’j’vous aime, en discret, mais tant pis j’reste
[couplet 4 : narson]
j’veux parvenir à l’optimisme comme nasir jones en 2023
en attendant j’m’entraine à faire c’que j’aime pour devenir un roi
pour devenir bien, j’crois pas qu’il faille plus que mes 5 doigts
trouver du positif dans l’malheur, être sûr de mes simples choix
sur le canap de mon studio, j’écris, par amour et pour plaire aussi
pendant qu’deux trois frères créent des mélodies
quelle belle vie, j’pensais pas dire ça un jour
donc j’vais m’contenter d’profiter d’l’instant et d’faire le vide
je roule la nuit, j’pense à tout c’que j’ai vécu aux endroits que j’croise
sans elle frère j’suis comme sans ma toise
comme une craie noire sans ardoise un peintre sans sa toile
j’suis seul j’sais plus quoi faire donc j’pense à toi
j’ai la tête en vrac, j’voudrais plus m’souvenir de c’qui m’accable
j’suis l’acteur princ~p~l de ma vie mais j’vesqui la cam
j’ferme les yeux, j’vois des couleurs, le panel est magnifique
j’entends une symphonie l’instant est rarissime
j’évite de m’attarder, sur les détails que j’ai placardé
sur les murs d’un monde enfoui que j’aime pas r’garder
j’vais pavaner, en imaginant qu’la ville est belle
me balader, sous la lueur de la lune quand la nuit est pleine


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