lirik lagu lucio bukowski - confused travolta
[paroles de “confused travolta”]
[intro]
yeah
[couplet 1]
on bâtit l’écueil depuis l’ère de pline, on remplit des rades et des verres de gin
tends la bouteille à ce brave tantale, raque les anges avec de l’argent sale
je reste effusif comme le cœur du vésuve, nuée ardente où l’auteur se résume
joie éphémère mais c’est pas l’important, ces putains d’lardus nous tirent à bout portant
pas l’temps d’te mettre sur des listes noires, des p’tits pinochet sous des gyrophares
liberté rayée de leur pauvre histoire, liberté rayée de leur pauvre histoire
on vit dans des logiciels [?], grand pourrissoir, pas de fongicide
j’écris la nuit, plein de boisson brune, demeure pélagique comme le poisson~lune
boucle de rétro, action double nœud, démocratie abolit double jeu
cherche pas plus loin, plus loin, c’est l’couvre~feu, des corps d’athlète, des esprits [?]
grandes confusions, que des ruines d’utopie, j’regarde autour, que des vides uchroniques
remplis de slogans, de rêves assoupis, la soumission vide son ventre accroupie
grandes confusions, que des ruines d’utopie, j’regarde autour, que des vides uchroniques
remplis de slogans, de rêves assoupis, la soumission vide son ventre accroupie
ils veulent des votants, pas des citoyens, soirs et bêtises demeurent mitoyens
détruisent nos racines, comme le roundup, créent des guerres civiles comme au rwanda
des p’tits mitterrand et des grands patrons, y’a des périnées qui n’le sont pas trop
les décideurs ont changé de [?], l’universalisme pour vendre du coca
pas de révolte sans radicalisme, pas de keuf, pas de capitalisme
pas de révolte sans radicalisme, pas de keuf, pas de capitalisme
[couplet 2]
wow, j’commande un autre verre, wow, j’commence un autre verse
au~d’ssus d’nos têtes, c’est une autre averse, canons à eau pour remplir ma [?]
abribus en flammes, braiser social, nique jcdecaux sur des fonds de bossa
frère, que des bourgeois, des sosa, merde, sniffe pas [?]
pour sauver c’pays, va falloir de la fonte autour des ch’villes de ces grands carafons
rester discret comme un gang à mâcon, on fait pas les ronds du dealeur à macron
on a grandi dans des caldeiras, plus proche de gabin que de kad merad
loin des centres~villes et des bords de mer, près d’la résine et des jobs de merde
bientôt la fin, comme van gogh à auvers, que des travolta devant des écrans verts
le léviathan, un pointeur comme les autres, ils veulent nous broyer, le déclarent à voix haute
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