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lirik lagu lucio bukowski & oster lapwass - chemise à fleurs et pàlinka

[paroles de “chemise à fleurs et pàlinka”]

[intro]
“~ ça, j’dois vous dire, j’l’ai vu, j’l’ai vu faire à new york et j’ai admiré ça
~ parce que vous êtes de new york ?
~ oui, j’suis new~yorkais
~ vous êtes américain né à new york ?
~ américain né à new york
~ et alors comment expliquez~vous l’fait que vous parliez aussi bien l’français ? racontez~nous…”

[couplet 1]
j’m’éloigne d’abidos dans des antiqua [?]
immatriculé dans le soixante~neuf, me marre franchement comme charly oleg
chemise à fleurs et pàlinka, j’aime trop l’alcool comme garrincha
nique les yeux bleus de bélinda, j’connais dеs tauliers, pas de barista
la vie pеut être un long poème, c’est c’que j’essaye d’apprendre au p’tit
hier, un type a décapité son père dans la ville où j’ai grandi
des étoiles mortes sans sépulture, des fruits étranges dans le ciel sulfurent
le monde social verra pas l’futur ; des bites et des chattes, c’est leur seule culture
des grands stades au qatar parce qu’il faut changer les idées
s’ils en avaient, ils le sauraient, même le seigneur est lessivé
chacun son p’tit lobby de merde, de davos à l’épicier
ils m’ont enlevé l’envie de perdre, parlent que d’liquide comme en érythrée

[pont 1]
“~ oui, j’suis new~yorkais.”
[refrain 1]
bientôt plus de soins, bientôt que des flics
bientôt plus de pain, bientôt l’amérique, eh
bientôt plus de soins, bientôt que des flics, eh
bientôt plus de pain, bientôt l’amérique, eh
bientôt plus de soins, bientôt que des flics
bientôt plus de pain, bientôt l’amérique, eh
bientôt plus de soins, (bientôt) bientôt que des flics, eh
bientôt plus de pain, bientôt l’amérique

[couplet 2]
mon écriture est une bonne banquière, suffit d’un rhum sur des peaux d’panthère
la carte son crée des sommes entières, glisse mes doigts sous de mauves dentelles
j’accueille critiques par un geste obscène, ouais, je n’flambe que du pèze honnête
ils prennent des notes et le reste observe, [?] létal sous des chrysanthèmes

[pont 2]
“~ oui, j’suis new~yorkais
~ vous êtes américain né à new york ?
~ américain né à new york.”

[couplet 3]
six~neuf, c’est des codes à part, que des appâts, pas de worlds apart
le rap français, c’est des codes à barres, torses huilés comme à copacabana
la vacuité ne s’achève pas, la dignité ne s’achète pas
choisir son camp, c’est refuser de finir sous leurs suv
ils investissent dans les armureries ; l’éducation, c’est secondaire
wesh, vos gosses, c’est des abrutis, veulent des dollars comme leurs compères
mais, des dollars dans des mains d'[?], ça enrichit que les oppresseurs
qui investissent dans les armureries et qui mettront vos gosses en sueur
l’esclavage, c’est la liberté ; la liberté, c’est la soumission
chacun accepte d’hiberner, punit les faits comme faurisson
j’nourris mes châteaux en espagne, ils n’en connaissent que les bordels
petites frontières dans les grands esp~ces, tous imaginent être immortels
[refrain 2]
bientôt plus de soins (bientôt plus de soins), bientôt que des flics (bientôt que des flics)
bientôt plus de pain (bientôt plus de pain), bientôt l’amérique, eh (bientôt l’amérique, eh)
bientôt plus de soins (bientôt plus de soins), bientôt que des flics, eh (bientôt que des flics, eh)
bientôt plus de pain (bientôt plus de pain), bientôt l’amérique, eh (bientôt l’amérique, eh)
bientôt plus de soins (bientôt plus de soins, eh), bientôt que des flics (bientôt que des flics, eh)
bientôt plus de pain (bientôt plus de pain, eh), bientôt l’amérique, eh (bientôt l’amérique, eh)
bientôt plus de soins (bientôt plus de soins, eh), bientôt que des flics, eh (bientôt que des flics, eh)
bientôt plus de pain (bientôt plus de pain, eh), bientôt l’amérique (bientôt l’amérique)

[outro]
joe da~, joe dassin, joe da~, joe dassin
joe da~, joe dassin, joe da~, joe dassin, eh
joe da~, joe dassin, joe da~, joe dassin
joe da~, joe dassin, eh, joe da~, joe dassin

- lirik lagu lucio bukowski oster lapwass

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