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lirik lagu lidoryc - souvenirs

[paroles de “souvenirs”]

[couplet unique]
je suis né dans la même ville que ma daronne
je représente le 45, loiret, les abraysiens, les abraysiennes
le daron informaticien, la daronne maitresse d’école
c’est d’ailleurs la ou je rencontre mon meilleur pote
les souvenirs se mélangent
mais impossible de les oublier
je pense à tout ca, en buvant un pеtit café
depuis cette époquе, j’ai pas arrêté de taffer
je déménage à montauban, début de la période chiante
je représente le 82 et je m’en vante
les étés on fait les cons avec les cousins
avec le recul, c’était trop bien
2020, les 18 ans
mes parents font une grosse fête
ambiance soleil grillade
donc ambiance parfaite
2 semaines plus tard, je traverse la france avec mes potes
sur le moment c’était dur, mais avec le recul c’était top
comment ai je pu croire que ma vie était un flop
j’ai plein de choses à raconter, plein d’anecdotes
et je crame pas mon argent au loto
ni dans le permis moto
on rêvait de baiser comme rocco
mais à la place on visitait des châteaux
et on buvait avec les darons les petits tonneaux de vin
c’était déjà l’époque ou je voulais être écrivain
c’était déjà l’époque ou mes notes s’étaient plus des vingt
je me souviens des soirées où on refaisait le monde
avec les potes, autour d’un feu, l’air un peu frondeur
on se disait qu’on irait loin, qu’on ferait mieux que nos darons
pas besoin de millions, juste des rêves à foison
on passait des nuits blanches à parler d’avenir
sans vraiment savoir ce qu’on allait devenir
l’insouciance était notre meilleure amie
même si parfois la vie nous rappelait à la réalité
les années passent, mais les souvenirs restent
certains sont flous, d’autres bien nets
les premiers amours, les premières déceptions
les premières fois où j’ai douté de ma direction
mais à chaque chute, je me relevais plus fort
avec l’envie de faire mieux, de battre mes propres records
le stylo en main, j’écrivais mes pensées
sans savoir si un jour elles seraient lues, ou juste oubliées
et puis, il y a eu ces moments de doute
ces instants où j’avais l’impression de marcher sur la route
sans savoir où elle menait, ni ce que je cherchais
mais toujours cette voix intérieure qui me disait
“continue, avance, ne t’arrête pas là”
parce qu’au fond, je savais que c’était comme ça
qu’un jour, peut~être, je trouverais ma voie
et que toutes ces épreuves auraient enfin un sens pour moi
aujourd’hui, quand je regarde en arrière
je vois le chemin parcouru, les galères et les prières
je me dis que chaque étape m’a forgé
que chaque erreur m’a permis d’évoluer
et si je devais tout refaire, je ne changerais rien
parce que chaque instant m’a amené là où je suis enfin
un jeune homme avec encore des rêves plein la tête
et la certitude que le meilleur reste à venir, en toute honnêteté
aujourd’hui, je me tiens là, un peu plus mûr
avec des cicatrices qui racontent des histoires, qui me rassurent
parce qu’elles me rappellent que j’ai traversé des tempêtes
que j’ai nagé à contre~courant, quand la vie était trop bête
les doutes, les peurs, les moments de silence
tous ces instants où j’ai vacillé, en quête de sens
mais j’ai compris que la vie n’est pas linéaire
qu’il faut tomber pour se relever, que c’est un parcours singulier
je me souviens des rires, des larmes partagées
des amitiés solides, et d’autres qui se sont effritées
des rêves qu’on a touchés du bout des doigts
et de ceux qu’on a laissés filer, un peu maladroits
mais je ne regrette rien, chaque instant m’a appris
qu’il n’y a pas de mauvais choix, juste des chemins infinis
on avance, on recule, on se perd, on se trouve
et au final, c’est tout ça qui nous prouve
que la vie est une aventure, un grand livre à écrire
où chaque page est un chapitre, une histoire à découvrir
les années défilent, et avec elles, les leçons
je me rends compte que la vie, c’est plus qu’une question
c’est un puzzle à assembler, pièce par pièce
où chaque moment compte, où chaque détail blesse ou apaise
je continue d’écrire, de tracer mon chemin
avec l’envie de toujours aller plus loin
de transformer mes rêves en réalités concrètes
et de prouver, à moi~même d’abord, que tout ça n’est pas qu’une quête
je ne sais pas de quoi demain sera fait
mais je sais que tant que je garde la foi, tout reste à faire
écrit d’avance, qu’il y a toujours une place pour l’espoir
que même dans le noir, il suffit d’une lueur pour y voir
je garde mes souvenirs comme des trésors
et je construis l’avenir, un jour à la fois, encore et encore
avec l’envie de laisser une trace, quelque chose de vrai
pour que, peut~être, un jour on se souvienne de ce que j’étais
de qui j’étais
du daron et de son audi tt
un album trop long pour prouver ma volonté
donc laisse toi aller
et immerge toi dans mes pensées
[outro]
euria, c’est la fin de la saga
mais la c’est que le début
normal c’est l’intro

- lirik lagu lidoryc

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