lirik lagu lamatrix - 11h
11h lyrics
[paroles de “11h” ft. ninho]
[intro : ninho & lamatrix]
la~trix~ma, johnny
ah ouais
daimo beats
ah oui, oh ouais
matrixé comme c’est pas permis
[couplet 1 : lamatrix]
tu connais nos soucis (hein ?) est~ce que tu connais nos soucis ? (tu connais nos soucis)
les guerres de gang, les décès (oh), les histoires de hazi (histoires de hazi)
cache bien la cc avant d’la descendre (avant d’la descendre) et d’la donner au bosseur (ah oui, ah ouais)
mon reuf, tu peux faire trois piges, juste parce que t’as fait l’con (poh)
les paroles des fois, sont regrettés (grr), les murs ont des orеilles, mon igo (bah ouais, mon igo)
pas de marche arrièrе, ni d’traité, une fois que sortent les métaux
moi, j’suis un quatre~vingt dix~sept (quatre~vingt dix~sept) et après l’lycée, j’ai fait que visser (oh, j’ai fait que visser)
c’qui sort de ma vessie (sort de ma vessie), c’est c’qui sort d’chez l’épicier
[pont : lamatrix & ninho]
regarde nos vies, dis~nous c’que tu vois (vois)
d’puis qu’j’fume du sh~t, j’fais plus mes devoirs
j’ai les outils, dis~moi juste l’endroit
“plata o plomo ?” comme disait gaviria (comme disait pablo)
maman veut son pavillon, papa veut son cadillac
et fallait du cardio’, regarde nos casiers, regarde nos casiers (eh~eh)
[refrain : ninho & lamatrix]
j’ai jeté le cartable dans l’bât’, j’ouvre à onze heures (j’ouvre à onze heures)
des demis, c’est noir, noir, noir, noir, un peu comme nos cœurs (un peu comme nos cœurs)
on surveille nos sœurettes, nos p’tits frères aussi
le bosseur, j’le paye à la semaine, j’distribue comme özil
j’dois gérer l’cartel de cali (cali), ouais, mon bébé, j’dois découper ça
et pour affronter mes galères (galères), j’me suis retrouvé dans l’bâtiment, solo
j’dois gérer l’cartel de cali (cali), ouais, mon bébé, j’dois découper ça, ouais (découper ça, ouais, dans l’bâtiment, solo)
[couplet 2 : ninho]
j’ai jeté le cartable dans l’bât’, j’ouvre à onze heures (j’ouvre à onze heures)
des demis, c’est noir, noir, noir, noir, un peu comme nos cœurs (un peu comme nos cœurs)
on surveille nos sœurettes, nos p’tits frères, aussi (oui)
le bosseur, j’le paye à la semaine, j’distribue comme özil (ouais)
très peu de cadeaux à noël (noël), des rimes croisées dans mes poèmes (poèmes)
bandit, on l’était au collège (collège) et ça s’est aggravé au lycée (lycée)
petites feuilles, on fait des collages (collages), la moitié du gang a glissé (glissé)
petites feuilles, on fait des collages (collages), la moitié du gang a glissé (glissé)
[pont : ninho]
on sort de gàv, le daron a honte (honte), dix ans plus tard, fiston f’ra des hits (hits) et la honte se transforme en fierté
un peu trop paro, j’ai calmé le sh~t (shoo), désolé les frères si j’ai déserté
j’avais des millions à gérer (gérer), j’ai dû ranger mon costume de gérant, hey, hey (hey)
[refrain : ninho & lamatrix]
j’ai jeté le cartable dans l’bât’, j’ouvre à onze heures (j’ouvre à onze heures)
des demis, c’est noir, noir, noir, noir, un peu comme nos cœurs (un peu comme nos cœurs)
on surveille nos sœurettes, nos p’tits frères aussi
le bosseur, j’le paye à la semaine, j’distribue comme özil
j’dois gérer l’cartel de cali (cali), ouais, mon bébé, j’dois découper ça
et pour affronter mes galères (galères), j’me suis retrouvé dans l’bâtiment, solo
j’dois gérer l’cartel de cali (cali), ouais, mon bébé, j’dois découper ça, ouais (découper ça, ouais, dans l’bâtiment, solo)
[outro : ninho]
j’ai jeté le cartable dans l’bât’, j’ouvre à onze heures
des demis, c’est noir, noir, noir, noir, un peu comme nos cœurs
on surveille nos sœurettes, nos p’tits frères, aussi
le bosseur, j’le paye à la semaine, j’distribue comme özil
Lirik lagu lainnya:
- lirik lagu la yorona - si regresas
- lirik lagu hellish x - good vibes
- lirik lagu big scarr - the regular
- lirik lagu rhapsody of fire - the magic of the wizard's dream (orchestral)
- lirik lagu river bridge - кометы (comets)
- lirik lagu thomas day - bonnie & clyde
- lirik lagu eliana - palavrinhas mágicas
- lirik lagu disciples & goldlink - squad
- lirik lagu benshi & kyotosdesire - cilantro
- lirik lagu coolzey - never's end