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lirik lagu l’allemand - plus de pitié

plus de pitié lyrics
[paroles de “plus de pitié” ft. biwaï]

[intro]
kisum beatz productions

[couplet 1 : l’allemand]
j’compte plus le nombre de tours que j’ai fait dans la cité
j’compte le nombre de rats qui m’ont dit : “gros tu m’as pas cité”
mais impossible d’faire comme ils veulent, c’est moi j’suis là mais j’m’isole
j’suis saoulé d’voir le people qui sont là que quand tu décolles
ils m’pointent du doigt quand j’déconne mais sur chaque instru’ j’les étonne
un flow, un zdeh, moi j’te donne mais tu m’rép’ plus au téléphone
ah~la~la~la
tu~tu sous~estimes khouya, dans~dans la tess on est grillé
r’cherché, ça s’cache sous des foulards, y a pas d’chômage, y a pas d’salaire
y a pas, y a pas d’garage, y a plus d’potos en galère, y a qu’des vrais dz qu’ont la rage
ah ouais~ouais mon amigo, moi dans ma tête j’ai pleins d’idées
j’suis pas comme tous ces mythos, nan, j’vais pas finir sur l’côté
même menacé d’un couteau, oh, j’suis pas une puta
enfermé ça rend claustro’, une chance sur deux qu’tu sortes tout pâle, ah
villefranche à zéro, y a rien d’toléré
au hebs des frères y en a trop et y a trop d’mamans écoeurées
[refrain : l’allemand & biwaï]
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
ceux qui parlent trop, racontent des légendes (ouais des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
faux qui parlent trop, racontent des légendes (des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)

[couplet 2 : biwaï]
tu m’parles de qui, de quoi, de quand sale commère ?
j’traine dans la zone, la nuit j’suis arraché sa grand~mère
faut qu’on prenne la ‘sique, qu’on lui casse le dos, qu’on l’fasse en indé’
rien qu’ça roule des sticks, ça affronte les vagues le coeur scindé
j’descends d’chez moi frelon j’suis comme toi tu peux pas m’feinter
y a la bac qui passe, elle a mis la pagaille sur l’rrain~té
ça tabasse à deux cents, y a des liasses et du son, ya des larmes et du sang, tu connais khey
on va où y a l’oseille, affronte le mauvais oeil, avec ou sans la mif’ c’est pas pareil
la ‘sique nous a trouvé, égaré dans la zone, maintenant faut se tirer pas loin de l’amazone
et les anciens m’ont dit : “la rue c’est pourri”
c’était pas pour rire, j’en ai vu mourir et la rue a chuchoté tout doucement : “c’est tant pis pour eux”
moi j’suis dans mon coin, j’attire que les curieux
pas ceux qui bég~yent comme un cd qu’on raye
les kiffeurs de bons sons, les gens simples à deux doigts de braquer l’écureuil
beaucoup trop récurrent, on part en vacances, on part [?]
de monnaie courante, tu pars en courant, bâtard
[refrain : l’allemand & biwaï]
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
ceux qui parlent trop, racontent des légendes (ouais des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
faux qui parlent trop, racontent des légendes (des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)

[pont : l’allemand & biwaï]
ça vend la pure, les p’tits vont plus en cours
que des têtes dures, et nan personne crie : “au secours”
viens voir la zup, y a qu’du jaune comme en chine
million d’euros dehors mais pas une seule cantine
a tac~tac les condés passent même si on a r
pourquoi mon coeur semble renfermé même si j’ai la [?]
les absents ont toujours tort, les khewés font toujours peur
des lo~ki j’suis toujours d’dans, pour eux on s’ra toujours beurre

[refrain : l’allemand & biwaï]
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
ceux qui parlent trop, racontent des légendes (ouais des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)
y a plus d’pitié pour ces gens, (y a plus d’pitié pour ces gens)
faux qui parlent trop, racontent des légendes (des légendes sa mère)
6.9, 3.8, on vous met à l’amende (a l’amende comme never)
on vous donne à tous, à ceux qui demandent (donner, donner, donner)

- lirik lagu lallemand

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