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lirik lagu la smala - ça se passe par là

[couplet 1: seyté]
eh, y’a pas d’soucis à s’faire mais pas d’argent non plus
faut pas cer-su mes cous’, eux non plus n’en n’ont plus
si tu savais c’qu’on vise, toutes les cr-sses qu’on a vu
c’est crade comme quand on tise, pas normal qu’on abuse
c’est d’la baise comme l’état, putain quelle phrase de merde
putain quelle phrase trop vraie, et putain qu’ça m’énèrve
j’lève mon verre à la tienne, si tu ram-sses des miettes
si tu rêves de billets verts mais qu’t’es pas prêt d’les iechs
c’est ça, plus la vie p-sse, puis j’trouve ça bizzare
puis ça varie pas, j’me fatigue dans l’rap, j’ai qu’ça
t’as pas compris ou quoi? j’veux les entendre hurler
c’est juré, j’continuerai qu’on brille ou pas
ça t’étonne, mets du son faut qu’ça résonne
faites vos poches bande connes
j’veux des sommes pas des gommes
eh, j’vais pas vendre mes vieux cds en faisant du porte à porte
j’vais côtoyer ceux qui rappent qui fort et c’qui rapporte

[couplet 2: senamo]
j’sais pas si t’as remarqué
mais les problèmes ils viennent jamais tous seuls
et c’est pas sur des vagues de solutions qu’on surfe
c’est pas les vérités et les conneries qu’on sort
et j’me conforte dans l’idée qu’on est pas tous conformes
j’me comporte comme si c’était normal que l’on s’drogue
et j’m’endors en sachant qu’demain, j’fumerai encore
mais j’m’en fous j’m’enfonce et je n’vois pas l’jour
mais j’en souffre, j’me sens con et j’me sens mal partout
j’suis très mal parti, c’est pas gagné moi qui rêvais d’une vie d’artiste
et j’fatigue quand j’vois qu’les gens sont factices
et ça tise, j’crois qu’y a qu’le mal qui m’attire et j’trouve ça triste
comme voir des p’t-ts en bad trip
j’lis mon avenir dans la beuh qu’j’effrite
si j’le fais quand j’suis def, à mon avis avis, c’est pire
moi j’suis d’ces gars sceptiques quand j’vois qu’le monde s’extorque
depuis qu’t’es p’t-t, t’entends parler d’s-xe, drogue

[couplet 3: crack murphy]
il faut que j’écrive et que je m’occupe de mes produits dérivés
ériger ma statue, gros pour éviter le statut que xxx mais bon
mais p-sse car les effets du son sont néfastes
et pas la peine de me lécher les bottes car rien n’efface ta traitrise
t’as beau être dépressif, très mal ou même très triste
on te retourne et on t’emboite comme au tétris
tu vois mon gars j’m’en tape ou pas si j’rentre en disco
car les coups bas de toubabs seront traqués jusqu’à san francisco
ouais, mon frère, des fois j’vois des gars
qui rentrent difficile le fait de garder un air adéquat
le côté sombre des ombres, divise les nombres
hé hombre, sous le sombrero, le sombre héros cache son jeu
avant de venir gratter et pleurer
fallait songer que par ici chacun son joint, chacun son g
si t’es pas couvert, la mort t’accueille à bras ouverts
vas voir chez le voisin, non son champ d’herbe n’est pas tout vert

[couplet 4: f.l.o]
quand on est saouls, on est des femmes psychologues
entre discours de sourd et débat d’alcool
ça parle de sacs mais j’les bouffe comme des bickys
ça parle de claques mais ça frappe comme des p’t-tes filles
ça parle mal, ça parle sur nous dans les coulisses
c’est du tapage lyrical, appelle la police
c’est f.l.o, téma le p’t-t raleur
les pd veulent remettre les pendules à l’heure
moi et mes potes sous cool-al, on est ingérables
j’changerai jamais d’équipe comme steven gerrard
tu m’connais, t’as mon num, viens m’cher-cher
à saint-denis, j’vais t’cogner comme un tchétchène
j’vois qu’ça suce, en plus de ça, ça avale
j’ai pas terminé ma vie dans une caverne
j’vais m’tailler à la havane
j’aurais ma p’t-te cabane et mon champ d’vertes

[couplet 5: gorgio]
le rap c’est bien, mais dis moi qu’est-ce qu’on y gagne? (rien)
rangez les hargnes, les lames et les rageux
la hache de guerre, n’est pas enterrée
c’putain d’volume 2, c’est ta compil’ préférée
on ronge les instrus comme des pestiférés
dépêche il faudrait défraichir vos têtes
réfléchir au thème donc, t’lâcher des kilos d’texte
évitez les alcootests frère, tu vois qu’le flow pèse
on pète toutes tes lopettes, -ssurre ton cul comme jennifer lopez
-ssis-toi, fais toi plaiz, sur ton bic et crame ta rés’
t’as raison quand tu dis qu’ça déchire
apprécie, quand on kick ça s’défile

[couplet 6: shawn-h]
ok j’reprends ça check, c’coup-ci j’vais droit au but
une avalanche de phases qui pète comme des obus
abus, tapage nocturne quand j’ai trop bu
niveau du rap belge: zut il est trop nul
bidon comme un électricien qui s’électrocute
ou un pauvre qui bouffe pas sa viande car elle est trop cuite
bxl, frère, ici c’est la merde
et tu m’diras qu’par chez toi, bah ouais, c’est la même
cousin, si j’vire de bord c’est qu’le courant m’y oblige
tant que ma haine déborde, j’la cracherai dans l’cromi
tant qu’les frères supportent les beats moi j’atomise
sans surprise à chaque track ça fait clique clique d’office
dis leur que personne peut c-sser notre trip
sur un beat qui bouge ou sur des notes tristes
on est al et c’est qu’le volume 2
dis leur xxx ces bolos keums

[outro: crack murphy]x4
ça s’p-sse pas là
crack murphy et la smala
dans l’appart pour foutre le zbeul
niquez la halla

paw, paw, paw
ah, ah, ah

- lirik lagu la smala

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