
lirik lagu la hyène - panam c’est chic
[couplet 1]
j’ai pas attendu la punchline de b00ba pour kiffer paris
ma vie de rappeur, c’est un peu celle d’un clown qui fait pas rire
j’observe le jeu et tranquillement, j’suis là, j’prends les paris
regarde les pseudo~stars qui s’la racontent et se bourrent les narines (bande de bâtards)
j’suis pas connu, mais j’te les frappe comme des sparrings
ils parlent de rêves pendant quе je pe~ra le cauchеmar tah les cain~ri
y a certains blancs qu’aiment pas les rabzas comme des marines
mais se foutent à quatre pattes devant les biffetons des qataris
ouais, t’es jolie, mais il t’faut du cran pour être ma chérie ; le hlel, mais t’laisses toucher comme iphone, comme un blackberry
les putes, ça pollue comme des bactéries
on peut te renvoyer plus bas que terre, issu d’un monde classé terrible
j’ai le blues comme john kerry
il m’faut du flouze pour (?)
moi, j’ai les doigts d’un chouraveur, pas ceux d’un pianiste
ils ont niqué ma carrière avec leurs inventions d’leurs graveurs
j’ai pas pris le bon train, mais j’roule sur les rails des bicraveurs
[refrain]
eh ouais, paname, c’est chic :
les sapes, les flingues et les b~tchs
le fric, c’est magique ;
le respect se compte en chiffres
allume un spliff, frère, en de~spi que j’trouve l’inspi
(?) en cage, c’est comme se priver d’air que l’on respire
tu marches pas droit, frère, la rue te fait ton parallélisme
j’ai des envies de sucres, il faut que ma vie se caramélise
oublie les principes, roule en cinquième, évite les schmits
au bord du précipice on subit
[couplet 2]
moi et ma bande de blacks fêlés, on passe pas à la télé, le pacte il est scellé, ce qu’il faut pour la mêlée, faut du fric sans délai
j’aime pas les flics zélés, le but : descendez~les, comme x~men, “pendez~les”
laisse tomber, frère, j’ai le style alabelek
j’ai chargé le flingue avec du gros style de balles à ailettes
j’ai mon équipe, mon gang, mais bien que j’me crois pas à l.a
(?) à la santé, les poucaves plantaient les
laisse tomber les bails, ils sont raides morts, gelés
on a la dalle de taille, on taffe comme des forcenés
depuis tout petit la pauvreté nous a tous harcelés
les garces et l’état rêvent de nous passer les bracelets
suffit pas de rapper, encore faut~il exceller
j’suis pas en r~t~rd, mais va falloir très vite que j’accélère
j’ai vu la diff le soir quand j’ai fait péter le slr
on a des textes de dingues, de quoi en faire des best~sellers
[refrain]
eh ouais, paname, c’est chic :
les sapes, les flingues et les b~tchs
le fric, c’est magique ;
le respect se compte en chiffres
allume un spliff, frère, en de~spi que j’trouve l’inspi
(?) en cage, c’est comme se priver d’air que l’on respire
tu marches pas droit, frère, la rue te fait ton parallélisme
j’ai des envies de sucres, il faut que ma vie se caramélise
oublie les principes, roule en cinquième, évite les schmits
au bord du précipice on subit
[couplet 3]
on est tous collés, on étouffe
depuis l’échec scolaire, on est bouffés
au fond d’un grec, on se met à rêver de (?)
mais la relève du rap n’est bonne qu’à sucer
tu peux crever d’une lame, d’un flingue ou d’un ulcère ; ici, y a plus qu’à te vi~ser
on est dans l’angle de tir du commissaire, et ce bâtard tourne en rond, tout comme mon son qui tourne sur deezer, y a pas de mystère
dès le point de départ nous c’est la misère, on garde la rue dans le viseur, ras la casquette sans la visière, y a pas de (?) gees
dans l’rap y a que des p~sseuses, gees
c”est pour mes gangstas et mes g’s
avoue qu’mon style est sale et balaise
le monde se cannibalise
les frères ne craignent plus la prison, ils préparent les valises
tu t’la racontes trop comme un fou
mais comme une bite tu finiras raide dans un trou
tu pousses la fonte pour tchek les filles charmantes
tu m’cherches ? j’suis posé à la suite avec ma chicha menthe
[refrain]
eh ouais, paname, c’est chic :
les sapes, les flingues et les b~tchs
le fric, c’est magique ;
le respect se compte en chiffres
allume un spliff, frère, en de~spi que j’trouve l’inspi
(?) en cage, c’est comme se priver d’air que l’on respire
tu marches pas droit, frère, la rue te fait ton parallélisme
j’ai des envies de sucres, il faut que ma vie se caramélise
oublie les principes, roule en cinquième, évite les schmits
au bord du précipice on subit
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