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lirik lagu la hyène - interview

[“paroles “interview”]

[journaliste] : bonjour ! aujourd’hui on est avec la hyène, membre du groupe 400 hyènes, un groupe de champigny~sur~marne
[la hyène] : c’est ça
[journaliste] :alors ma première question sera :
ça fait un moment que t’es dans le milieu de la musique
[la hyène] : ouais, ouais
[journaliste] : comment ça se fait qu’on t’connais pas plus que ça ?

[couplet 1]
“en fait, je m’en bats les steaks de finir en star ou en hess, porter des costards trois pièces, rouler еn porsche ou en benz
moi, j’ai pas lеs couilles de faire un son sur de la dance ; je préfère sortir un flingue et faire danser la meuf de la bred
moi, jaime pas les petits cons qui portent la crête, mais j’kiffe les petits qui, à l’école, vendaient déjà de la craie
rabzas renois au crâne rasé, ou bien qui portent des dreads
qui, sur leur part du gâteau, réclament encore de la crème
dehors, on cherche et on n’y trouve que d’la merde
ils parlent de guerre, mais en scred, je sais qu’ils veulent la trêve
je vise pas la retraite, mais la brinks
je n’en ai rien à foutre de faire la grève ; pour oublier, passe~moi la drink, frère
on marchera jamais seul comme (?) dans le film
j’aime pas la flicaille, les petites bourges, on les enfile
la vie une timpe, mais j’ai du mal à me faire chnicave
mon prix de littérature sera la violence dramatical
perspicace, efficace, le style anti~tass
des crocs d’acier en titane
faut qu’on nique tout comme au petit tas
je veux tout et tout de suite, la vie une course~poursuite, j’aime pas (?) faut que j’attende mon tour pour suivre
[question de l’interviewer :]
[journaliste] : ok, j’vois c’que tu veux dire
question suivante ;
ton album est plutôt sombre, on y retrouve un univers violent
et si c’est réellement ton quotidien, t’as pas peur que ça te ferme des portes ?

[couplet 2]
mais qu’est~ce que tu veux que je te dise, je suis pas du genre à faire semblant
pour avoir ce que l’on vise, on fait des trucs hyper sanglants
tu viens me parler d’amour, tu perds ton temps, frère, je suis calme, mais s’il y a drah, que tu me les brises, tu perds ton sang
j’ai la passion des gains, pas du christ ; en france, c’est la passion du crif
j’suis pas un marocain, mais j’kiffe les plantations du rif
moi, c’est la haine, c’est pas l’amour du risque
c’est pour les puristes, c’est de la dure
car la diarrhée, c’est pour les touristes
on est des fous en furie, pour les sous on surine, prêts à tout, quitte à mourir pour jouir
regarde ces gbeb s’enfuir, ça jouait les fous, puis se barre la queue entre les cuisses, tout comme des poufs
en bas de chez moi, c’est la merde, et si tu pars au hebs, directement t’es parti à la mer, frère, car l’horizon c’est les quatre murs de la prison, mec
sauf que cette fois, c’est pas un film, t’es pas dans prison break
alors on fume et on fume
on aime se kicker la tête entre le marteau et l’enclume
je décolle et je prends mon altitude jusqu’à ce que je titube
rabzas, négro, avec l’attitude du bitume

[journaliste] : ok, ok
au niveau des featurings sur l’album, on a vu que tu bossais encore en famille
[la hyène] : ouais commr toujours
[journaliste] : on ressent un vrai esprit d’équipe ; en fait, k~push et beli blanco c’est tes soldats de la première heure
[couplet 3]
k~push et beli c’est mes frères, c’est pas que des simples soldats
si la vérité blesse, t’as besoin d’un permis de port d’armes
l’amitié, c’est un mot qui se prouve en gardav
les plus grosses des poucaves, ça reste les portables ou les bouffons dans les reportages
on reste soudés et on avance tous en sous~marin, (?) qui je prie le jour du jumu’ah
on croit en dieu, mais pas au bou~mara, de quoi tu me parles ?
j’suis là pour faire briller mon staff, rouge comme schumacher
je déboule en solo, dis~toi bien que j’suis pas seul, j’suis pas un orphelin, mais j’ai pas le père de vincent cassel
alors le taf, il est plus dur, plus long
et quand tu fais les choses carrées ça n’empêche pas que tu tournes en rond
elle sort vraiment des bas~fonds, c’est pas une histoire d’enfants, c’est pas un divertiss~m~nt ou un conte pour ces p’tits bouffons
ils font du pe~ra pour le fric ou se fourrer les b~tchs, je préfère la chourave et le crime pour fourrer le fisc
leurs sons est pourrave, mais on le truque pour bluffer les chiffres
rira qui pourra le jour où se distribueront les gifles
la mort ne joue pas au trois~sept, ni en cinq~sept, mais au 3.5.7 , (?)
les gosses nourris au pain sec, du racis et pas du pain de seigle
on garde nos principes, et j’insiste sans prendre de pincettes
et pour connaître la flamme, petit, il faut qu’il y ait l’étincelle
j’ai’ai pas le pognon des al~fayed, mais je baise la princesse
à croire que la poisse nous est commise d’office comme l’avocat
j’ai pas les clés du succès, j’ai même pas celle de ma ve~ca
je refuse à croire que j’suis prédestiné pour la me~ca
viens pas me sous~estimer, sinon je pourrais péter un ble~ca
eh merde
tout ça, ça me bouffe la tête
je finis mon interview, et puis je me barre histoire que j”retrouve ma tess
y a que là que je suis bien
y a que là que je suis posé, en fait
avec mes gars ,(?)

- lirik lagu la hyene

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