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lirik lagu la fève - citystar

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[paroles de “citystar”]

[intro]
yeah, yeah, yeah, yeah, yeah
ah, oh yeah, gwapo
la fève 7
ouvre la porte, c’est fakri jenkins à la prod
yes

[refrain]
askip y a du monde qui m’attend, j’sirote ma merde, là j’ai rien dans la te~tê (rien dans la te~tê)
“t’as changé mon fils” dit ma tante, ouais, j’la consomme mais sa vente m’a pas tenté
j’suis noir comme la vitre, teintée (teintée), elle descend, t’aperçois les verts de [?] (yeah)
y a qu’des rats pour parler, j’suis seul dans la nuit (yeah), j’me réveille, j’prends un bisc’, un thé (un thé)

[couplet 1]
si j’pèse deux mois, j’fais louer vers bel~air, chaque fois faut j’fasse belek à pas smoke mon bénéf’ bêtement
c’est passé des casquettes au béret (hein ?), c’est passé d’la bagarre au beretta (grrrrr)
tu sais faut les talles pour être happy, j’compte plus les maroc’, les clopes qu’on décapite
c’est triste à dire, y a rien qu’excite mes babines (hein ?) à part raconter ma merde dans la cabine (raconter ma merde dans la cabine, cabine)
yeah, il en faut dans l’crâne, ça vaut rien la déter’, un bliki peut te montrer sous la terre
la perte m’a rendu un peu solitaire, on pardonne et tu réitères
tu pars, dis les termes, c’est tout ce que j’ai moi (que j’ai moi)
tu pars chez eux, mais tu connais bien chez moi (hein ?)
c’est tous les jours les mêmes schémas (c’est tous les jours les mêmes schémas)
j’cherche juste de quoi remplir mon panier, ma gueule, faut du pognon, du carbone sur l’poignet (poignet, rrah)
j’me lève et j’dois nourrir mes moineaux (hein ?), charbon, ça rend fou la fève peut témoigner (ça rend fou)
c’était les studios ou le foot (le foot), les petits métiers ou le four (petits métiers ou le four)
une putain de life, timide de nature, j’me surprends à faire danser les foules (j’me surprends à faire danser les foules)
j’barode dans la ville, j’suis en citystar, j’suis paro’ de con comment font les stars ?
j’dois partir, aller prendre l’air sous le vent d’espagne
tu sais moi j’veux peser deux tonnes (deux tonnes), ils sont contents d’leur quelques kilos (berrr)
j’ai pris c’qui m’appartient de force (‘tient de force), on peut tout faire avec du culot (on peut tout faire avec du culot)
[pont]
laisse (laisse), de fontenay~sous~bois j’vois la tour eiffel (hein ?)
j’m’enfume, j’recompte ça sur la banquette (banquette)
tu m’dis qu’la drogue a la paresse pour effets
j’vais kicker, lâcher une phase pour l’re~frè (yeah, yeah)
faut du temps pour rêver, y a pas d’place pour les faibles (pour les faibles)
le cul d’la vieille est sûr à mes défaits (hein ?)
j’peux rien faire, une larme coule en m’rapp’lant les faits (grrrr)

[refrain]
askip y a du monde qui m’attend, j’sirote ma merde, là j’ai rien dans la te~tê (rien dans la te~tê, berrr)
“t’as changé mon fils” dit ma tante, ouais, j’la consomme mais sa vente m’a pas tenté (sa vente m’a pas tenté)
j’suis noir comme la vitre, teintée (teintée), elle descend, t’aperçois les verts de [?]
y a qu’des rats pour parler, j’suis seul dans la nuit, j’me réveille, j’prends un bisc’, un thé (j’suis seul dans la nuit, j’suis seul dans la nuit)


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