
lirik lagu kvra - malfrat #5
[couplet 1]
y’a ceux qui opèrent à la press ceux qui font du tamtam, ceux qui braquent en stunt et ceux qui braquent en teum~teum
parano dans la caisse à batman ramenez~nous aux states on va shotter le compton
amitié manigancé tété à la cantine, chez nous ils récidivent même à la cinquantaine
qu’est~ce tu veux que je te dise matrixé par la banquise je pensais qu’à gonfler mes poches j’en ai perdu ma santé
ca sert à rien que je m’intègre dans ce pays de coufars, j’étais voué à l’échec d’après monsieur kiffer
t’avais des papillons dans le ventre nous on avait le caffar, je ressemble à un afghan quand je vais plus au coiffeur
ca a changé maintenant les petis cassos attirent les belles filles, je voulais tout niquer comme les tunisiens de belleville
je m’arreterai pas tant que j’ai pas la belle vue, ç me fait bizarre quand y’a des humains qui me demandent en selfie
quand est~ce qu’on va passer du troitoir au tapis rouge, personne a ce complexe depuis tout petit j’ai la rage
nos darons ont trimé je voulais voler chez les riches, t’as pris quelques tals tu veux jouer a la gratte
ca fait 5 ans que je l’ai pas vu wesh comment c’est ma race, il me dit qui y’a interpol qui traine à marbella à kesh~mara
a l’époque je t’aurais balayé juste pour le nom de ma rue, maintenant je me fais discret tant que mes sons font des carnages
c’est pas ta crasseuse qui fera bouffer mon seillo, mais si elle est déter on l’a fera bosser comme zahia
tu peux pas nous l’a faire on est trempé depuis des annnées, la hess nous a rassemblé mais l’argent nous a désuni
moi et mes amis on a des couilles de taurreaux faudrait qu’on fasse une collab avec redbull
j’ai pris juste 10 kilos t’as cru que j’ai mis un pare~balle, j’oublierais pas les keufs qui m’ont laissé fumer en gardav
a ma naissance sur le parking oils ont laiissé des cadavres, lepetit a plus de chances de finir au dépot qu’à harvard
bien avant que je prenne le micro ma vie etait un freestyle les mains dans la pistache les mains dans la cristale
ou est cache le trésor c’est encore un mystère je peux pas trahir ca fait partie de mes traditions acestrales
ils diront que je suis un bon quand je comme berda , j’ai servi tous les hivers je te mens pas il faisait berba
dur de se ranger dans nos têtes c’est le bordel, ils me prennent pour un ancien j’étais pas né à l’époque des cortèzes
je raconte juste nos vies de merde ne crois pas que je suis un prodige, ils m’ont arraché le coeur je peux plus faire de protèses
ca trompe de poivron consomme comme des gringos, ils se font la guerre avant ils se partageait des merguez
fin du moi on était à dix sur un clicos ca déclenche des émeutes normal on peut pas faire trève
je rappe pour les petites cr~pules la voyoucratie, je mache pas mes mots comme el atrassi
j’ai pas peur que ça foire de toute façon tout est tracé, j’encule l’opj et les racistes
contrairement à des artistes moi personne m’a maqué, je culpabilise quand je croise les enfants des chamqués
je n’en voudrais pas à papa de m’avoir baffé, plaqué c’était l’apéro maintenant je vais tout rafler
jusqu’à maintenant j’étais dans l’ombre comme la palestine je vais trouer e game appeler la balistique
tu sais qu’avec nous tu peux pas faire le stock, je suis parti chasser du boeuf je leur ai laissé les steaks
[couplet 2]
te fie pas à ces crevures ils sont sans foi ni loi, je l’ai ai choqué comme hasard avec les lillois
il faut des millions nique la mère à lil wayne, en forme olympique comme un lion qui a bouffé dix hyènes
je me souviens plus de la habta d’hier, je pue la rue je suis pas à l’aise en christian dior
j’envoyais déja de la baida quand j’étais junior, pardonne~moi mon seigneur je me suis toujours pas repenti je suis devenu un senior
ils me prennent pour un rappeur ils savent pas que je fais une session tous les trois mpois
quand je te dis que je vais piner le game mon gros crois~moi, ouais ouais écouté par des grosses peines
envie de délaisser la rue mes keums roulent des grosses pelles, je me sens si sale même quand je me prostèrne
respecte~moi reveille pas la grosse bete, trop matrixé par les films de scorsace
ramenez un puceau au vitrines c’est comme ramener un bras cassé faire de la braque
y’en a qui ont tourné dix ans pour défaut barrac ou pour des affaires de smack
je me suis rendu compte que mon mike était plus dangereux qu’un glock, j’assumerais pas le gosse si je mets le rap game en cloque
ils peuvent pas me tester je l’ai crame comme des clopes, je dis à l’équipe bientôt on rentre en survet dans le club
pose trois teilles on danse comme des hayayen, si tu montes c’est pour bouyaves dans le club y’a que des hayayen
on vit au jour le jour on vit à la wanegen, je retourne la voiture comme si y’avait dix keums
j’ai trimé à mort moi j’ai pas eu de niches, quand j’encaisse j’ai le sourire à milch
il regarde les rétro ils lui ont mis une fiche, ça fait six moi que je t’ai pas vu comment que c’est ma biche
on a jamais pris la mache on a jamais fait la manche, m’en veux pas t’avoir allumé la mèche
pour les clips je fais la coupe mais au quartier je suis trop moche, trop de poids sur le dos y’a personne qui m’allège
wesh wesh wesh hermano tu sais bien que j’ai pas mis le nez j’ai juste mis la mano, y’a mes sons qui tournent dans la 4 anneaux
c’est moi qui fait cracher ton coeur sur du piano, chaque freestyles une claque dans la nuque
ouais je suis un vrai quetur c’est trop la niaque, tout s’achète sauf une paire de yeuk
tu t’es noyé dans le grand bain nous on fait du kayak
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