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lirik lagu kohndo - j’entends les sirènes (woop! woop!)

[couplet 1]
plus qu’un incendie criminel
brûle les spots et les mêmes séquelles
marque les balles des sentinelles
et là siffle [?] j’entends juste quelque chose
des voies qui mènent au bruit des pieds, décibels
des grêles, la pluie irréelle
j’entends siffler les vents sur moi
cogner, lancé, vive allurе
quand la peur s’élance, s’élance еn silence
et nous harcèle, martèle lentement
témoin l’enfant, le temps d’s’écraser sur la chaussée, danger
l’allure plus lente, feinter la contrainte
de mettre enceinte, les keufs feintés
les empreintes de mon passage sont effacées
vivre dans la peau d’un criminel, fuir dans les ports du virtuel
rire dans les draps des belles femelles
y a la lune, le ciel, [?] qui me harcèle, m’interpelle
ce soir j’me fais la belle
sur la bretelle j’m’arrache, fuis la milicia

[refrain]
j’entends les (woop ! woop !), ce soir rien m’arrête, faudra qu’ils tirent
si les (woop ! woop !) veulent me stopper, faudra m’effacer
les (woop ! woop !) courent après mon ombre, j’entends des tirs
ouais, les (woop ! woop !) brisent le silence quand je fonce
(woop ! woop !), ce soir rien m’arrête, faudra qu’ils tirent
si les (woop ! woop !) veulent me stopper, faudra m’effacer
les (woop ! woop !) courent après mon ombre, j’entends des tirs
ouais, les (woop ! woop !) brisent le silence quand je fonce
[couplet 2]
dans mes poches pas un crédit
qui déjà l’avait prédit
le mal commence, souvent saisit
quand l’argent nous manque, ravi
deal de rimes et poésie
hors~la~loi, la peine quasi~
maximale pour l’ecstasy
vocal, danse mon pays
comme l’époque du speakeasy
capone distille en busy
[?]
[?] défonce les [?]
dans les coins des rues, les voitures se ruent
le bordel s’accrut, et à perte de vue
les guns pointent à nu ma face contiguë
bien étroit l’endroit, la faille que j’perçois
sous les projecteurs les condés veulent écraser kohndo
dans les cris des blindés, l’idée, faire que j’puisse déraper, m’emporter
vois la cadence et la puissance de quatre~quatre [?]
là mon gars tousse et la foule pousse le cri des lions dans la brousse

[refrain]
j’entends les (woop ! woop !), ce soir rien m’arrête, faudra qu’ils tirent
si les (woop ! woop !) veulent me stopper, faudra m’effacer
les (woop ! woop !) courent après mon ombre, j’entends des tirs
ouais, les (woop ! woop !) brisent le silence quand je fonce
(woop ! woop !), ce soir rien m’arrête, faudra qu’ils tirent
si les (woop ! woop !) veulent me stopper, faudra m’effacer
les (woop ! woop !) courent après mon ombre, j’entends des tirs
ouais, les (woop ! woop !) veulent me stopper quand je fonce
[couplet 3]
parce que ma dope est exceptionnelle
plane quand elles mettent le regard sur elle
toutes veulent la part de l’archipel
elles veulent m’avoir avec mon cartel
pire que le crack, j’accroche [?]
en manque, les mecs deviennent des pucelles
fidèle, les filles rappellent leur recel
leur dealer fournit plus c’qu’ils peuvent prendre
deale avec tout à penser, balancer, qui m’a lancé, qui m’a forcé
à foncer, qui m’a donné aux keufs, donné ses seufs, donné
file avec au~dessus d’moi les balles
l’hélicoptère quand crachent les balles
faut qu’j’me dégage de la capitale
filer ou prendre au corps du métal
dernière sortie, bloquée tant pis, reste une sortie, bouchée tant pis
tirer, tant pis, ce soir, dans l’tas, j’vois la fin d’un contrat, quoi ?
serait~ce l’eden ? je sens qu’on m’entraîne
mon cœur est en peine, ce soir j’entends le son des sirènes

- lirik lagu kohndo

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