lirik lagu koba lad - freestyle quartier
[paroles de “freestyle quartier”]
[intro]
cartier
qu’est~ce tu crois ? ici, ça craint, gros, c’est crû, les p’tits ont les crocs
qui l’aurait cru même au fond, y croire ?
maintenant, les p’tits c’est des grands depuis qu’ils récupèrent en gros
et pour être dedans, il t’faut du cran
[couplet 1]
à midi tapant, il faut être sûr l’terrain ou sinon, on saute [?]
[quand/dans ?] le pochton gé~char, ah mon gars, t’as peur ?
faut qu’le rrain~te tourne donc faut tout faire pour
tout faire pour, prendre les bombes, tu les renvoyais khabat dans toute la ville
mais diminue, mais diminue, j’suis tout l’temps dehors comme les rats d’la ville
j’baise trop depuis qu’j’ai l’permis (le permis), j’suis dans l’s3 avec lui (avec lui, avec lui, avec lui)
ma voiture va plus vite que celle de batman (de batman)
un pointeur, pointeur, me parle de s’poser, de base, moi, je voulais que la baiser (la baiser, la baiser, que la baiser)
mais maintenant, sa fille m’appelle “mon papa” (mon papa)
mon [?] dans les couilles, j’utilise bloc~notes
il s’agit des chiffres que tu m’dois net
hier, au [grill ?], j’parlais avec un mec qui a tombé pour plus d’une tonne
tu peux pas calmer ma faim, [?], j’suis avec dealers qui parlent en mètres
mais au moins, j’peux dire à ma mère qu’j’suis une star du net
[pont]
à la cité, à la cool, jus d’pomme et trop de [?] allemand (allemand)
survêt’ et paire de tn, t’inquiète, y a le double platine chez moi
c’est moi, le p’tit renoi d’la tess qui fait du bruit avec sa voiture (vroum, vroum, vroum)
la cigale, l’olympia, c’est pour les p’tits b~tchs (les p’tites putes), j’suis en train d’boucler la tournée dès cette nuit
[couplet 2]
faut venir le voir pour qu’tu puisses me croire, sinon tu vas m’prendre pour un gros menteur
y a mon reuf masqué, ça fait dix ans qu’il tourne, sa mère, mon sin~c’ dans des histoires de meutre
nous on se plaint pas, nous on se dit qu’y a toujours pire et quoi qu’il arrive, c’est la vie
c’est pas toujours facile, y a les pénuries d’sh~t, en hiver : les descentes surprises (aïe, aïe, aïe)
concert après showcase, j’peux pas dormir, demain, j’voyage
putain, tu vas prendre une que~cla si tu t’endors sur le terrain
on est cramé par les baqueux, j’vois les sirènes, j’mets le mode s
et j’mets le mode s, j’mets le mode s, vas~y, venez bande de bâtards
[pont]
qu’est~ce tu crois ? ici, ça craint, gros, c’est crû, les p’tits ont les crocs (c’est crû, les p’tits ont les crocs)
qui l’aurait cru même au fond, y croire ?
maintenant, les p’tits c’est des grands depuis qu’ils récupèrent en gros (depuis qu’ils récupèrent en gros)
et pour être dedans, il t’faut du cran
[refrain]
on était bien mais maintenant, c’est b (c’est b) mais nique sa mère, j’ai du blé (du blé)
on était bien mais maintenant, c’est b (c’est b) mais nique sa mère, j’ai du blé (du blé)
on était bien mais maintenant, c’est b (c’est b) mais nique sa mère, j’ai du blé (du blé)
on était bien mais maintenant, c’est b (c’est b) mais nique sa mère, j’ai du blé (du blé)
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