lirik lagu keurspi - sans pression
dès le réveil, j’avale une banane
ainsi nourris mon corps, et mon esprit avec quelques phrases de marc aurèle
repasse en boucle chaque syllabe
pendant que quelques notes de « til i collapse » volent et me passent par l’oreille
développe mes synapses et fortifie chaque fibre
car j’ai compris que mental еt physique forment un équilibre
lеs yeux perdus dans la voie lactée
toutes ces lumières venues d’un passé lointain m’inspirent pour mes pas d’après
j’ai retrouvé l’mojo, sur mes t~shirts, poto, il y a peu d’logos
que des couleurs uniques en noir et blanc
ou parfois des flocages ou des sérigraphies
de toiles fantastiques sélectionnées chez des artistes locaux
avant la mise en bière il faut que j’garde le panache
j’ai encore plus envie d’le faire quand tu dis que j’ai pas l’âge
f~ck tes barrages, trop d’décalage entre ta photo d’profil
et les aspérités qui sont sur ta vraie ganache
flow galactique, trop d’fanatiques, l’homme s’paralyse
toujours pour les mêmes histoires de trônes s’carabine, ou s’baratine
comme anakin, la rédemption est possible
regard vers le haut comme stalagmite
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, sans pression
yo, deuxième couplet, j’kiffe trop quand le deuxième couplet
commence par « deuxième couplet » !
j’ouvre les portes façon s~xtuplés mais quel toupet
a cheval sur mes principes comme si j’venais des steppes
j’ai calibré mon esprit comme si j’venais des states
les rapaces à l’œil comme pour la recette
j’m’en fous d’aller à dubaï ou bien d’être adoubé
j’suis plus tourné vers bouddha, quand le tram est bondé
j’me mets du joey badass, ça sert à rien de bouder
trop de débit, le leur est tombé dans l’oubli un peu comme le bidet
j’prends ma part, j’reste entier
si t’en a fait deux fois moins alors il faut pas s’étonner d’être doublé
(ah) donnez, donnez, donnez~moi du rap yo
j’connais, j’connais, j’connais, connais pas de stop no
copié collé, téléphoné trop de wacks yo
sans déconner pour décoller faut le cardio
et là j’me sens comme kilian jornet
j’ai la puissance d’un milliard d’comètes
j’fuis les réseaux trop d’ignares s’connectent
génération fubu, fila, com8
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, se pressent, sans pression
super sombre, suppression, sans pression
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