lirik lagu keith kouna - femme du monde
[paroles de ”femme du monde”]
même si la lumière est sombre
même si le soleil est en cendres et que ronflent les gaz
que la chair est molle et que les charmes s’usent
ça prend des caresses, ça prend des caresses
ça prend des caresses et des mains sous la table
sous le ventre et lе pâté
les verges allongеnt et embrasent les croupes des villes
oui ça prend des caresses, ça prend des caresses
ça prend des caresses pour que tourne le monde
mon cœur est large et j’arrange ma raie
poudre aux fesses et ça prend des caresses
et ça prend des caresses
et ça prend des caresses
dans l’éponge et le fond du bocal, bang
ça sent le sang débauché
dans les caleçons des maris bourrés
de ces horizons je me gave en patent décadent
sur des carrés de peaux éclatantes
j’ouvre~boîte ma langue et tangue
pour des animaux dans les sous~bois
dans les boles et dans les camélias
les salons, les palaces et les bars à salace
et les bars à salace
comme un goujon tétant le quai
ouvre~moi tes jambes et tous tes sels en léchant des boas
car ça prend des caresses aux enchères
aux aisselles, aux dentelles, au bordel, au pognon
pour que tourne le monde
et tout est aussi simple que ça
oui, tout est aussi simple que ça
dans les bras et les nuits des marins
les filles s’aiment et les hommes s’en laissent
et qu’on bave et qu’on danse
et que t’aimerai donc
tous les cons ne cueillent pas des roses sur des plages
pour retourner sur les barricades
ô ma mère et sa noune et sa plante et jésus se démènent
sur des flagellés d’orgue quétaine
et les graines mouillent sur les culs usés par le temps
les mâles, les mâles, les mâles
les mâles, les mâles m’attendent
les mâles, les mâles, les mâles
les mâles, les mâles m’attendent
non! non! non! non!
ne me comprenez pas!
chacun sa croix dépravée dans la vaseline
quand l’étoile s’enfonce dans ton ventre qui gonfle
et je rampe et je rentre et je renfle
et ça s’émousse et s’émoustille dans l’antre des gorilles
et que tourne le monde
tui, tui, tui, tui
tui, tui, tui, tui
tui, tui, tui, tui
tui, tui, tui, tui
touffes ces batins, housse trou recobande
dans des s~xtes d’ergens orginaires
mouillant sauter leur âne
horla, théière, étain, braisier de mailles
~n~s scr~t~m touffes cieuls
l’œil pardis est vessie, trépas aïeul
fourre probiter de trou
fourre probiter de trou
fourre probiter de trou
et tout est aussi simple que ça
oui, tout est aussi simple que ça
j’en ai marre et puis mes fleurs se plaignent
et puis mon cœur avance au bout de l’éch~lle
je me soûle dans l’œuf
et replonge et replonge dans l’eau de cervelle
mais les mâles, les mâles, les mâles
les mâles, les mâles, les mâles
les mâles m’attendent
ô comtesses archiducs et messires
esthétique tout paraît que chic
tout parait que c’est bon chez les salopes à cliques
et les estivantes, les poètes et les dames
laissés seuls ensemble dans des cages ou des salles de bals
je ronfle
je suis une femme du monde
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