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lirik lagu kaissin - ginkgo

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[paroles de “ginkgo”]

[couplet unique]
on navigue ensemble loin du point de non~retour
du bout d’la mer j’ai déjà exploré tout autour
comme en 21 le cœur me serre
j’aimerais tant réécrire l’histoire éteindre cette fin d’année dans l’noir
mourir c’est loin j’l’ai vu de près et ce cyclone nous a aspirés tout entier ou à peu près
comme ces terreurs le soir sans larmes jamais appris à intégrer la perte
tu m’apprends rien j’sais qu’en hiver des branches restent vertes
mais pour l’instant j’suis comme début de lone~baby moi j’ai pas encore passé la couleur
dante sa comédie me barbe j’vois que la douleur
moi j’ai jamais su trouver c’qui soulagerait mon âme
jamais vraiment capté le sens dans tout l’vacarme que j’ai fait
puis jamais lâché plus fort qu’à ce drame le dernier jour du reste de ma trame
trop voulu tout et rien faire vouloir laisser un blaze dans tous ces livres
tu m’as protégé j’ai poussé trop souvent ivre au fond j’étais
plein d’névroses des tipeux qui sont bien trop libres des tipeux qui sont bien trop libres
j’ai tellement pris sur moi tant évité les autres tant voulu m’arracher l’foie
au fond dégoûté d’être mon hôte briser la glace le miroir hurler seul remplir chaque tiroir
écrire sur page le soir saisir le machin vider la teille écouter l’bruit allant jusqu’à tuer les oreilles
marcher jusqu’à en perdre les jambes mais j’ai beau te chercher comprendre l’enjeu l’hasard
au fond pourquoi la mort assemble même au fin fond des limbes j’pense que la vie cette timpe elle ne veut pas qu’on soit ensemble
j’voudrais m’murer comme antigone dans les confins de la terre
j’voudrais partir loin à ancône quitter l’ambiance sectaire
on se contredit dans nos actes écoute pas c’que j’dis quand je jacte
des fois j’y repense c’est vrai et c’est comme si j’brûle des forêts
à la toute fin toi aussi ma vieille j’aurais kiffé te voir
que tu sois plus qu’un grand vide noir que la solitude n’ait pas été la cantatrice
qui que tu sois viens on allume l’feu d’artifice qu’ensemble on s’brûle la cataracte
remplira un peu cette pièce en actes
on réunit des morts des hypothèses enfermés dans l’crâne comme derrière
toutes ces pierres froides de la muraille aigues~mortaise
tu aurais aimé qu’on rigole après moi je sais pas si j’en ai le courage
comme toi à l’école j’étais sage au fond peu importe l’endroit ou l’âge
j’te l’avoue je suis juste perdu depuis toujours à jamais, inadapté
je sais juste noircir des idées griffonner des portraits
sans jamais réveiller l’malaise
ou le révéler
et ça prendra plus que des mois mais moi elle m’attend la douce mort
des fois s’efface j’te parle encore un petit peu ailleurs que dans la tête
même si on est qué blo dans nos corps que j’sais bien qu’y aura pas d’ailleurs
on est juste clients d’ce bâtard de fossoyeur
des fois je le revis et dans ces rêves j’te perds encore
chaque fois j’me lève avec le même cirque comme décor et p’tit à p’tit il perd son sens
p’tit à p’tit les amis d’viennent des connaissances et le présent une vague errance
j’oublierai dans l’bimby les soundboard les imitations délire les cinq jours dans le périgord
on s’reverra peut~être au détour d’une vitrine d’un vieux muséum dans la poussière d’un lieu déserté par les hommes
avant l’gris la couleur de l’enfer
les mots mal choisis des proches qui veulent pas s’en faire
j’suis sur le banc au premier rang aucune des larmes veut sortir
et moi j’comprends plus rien entre mamy et dyosir
et j’me redis à quoi bon si rien n’est éternel où est la nostalgie des venelles
putain d’passé putain d’futur un nouveau point de suture


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