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lirik lagu kaissin - bonus : rei_xxii

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[paroles de “bonus : rei_xxii”]

[couplet unique]
un vent de l’est sur le visage
j’suis loin d’chez moi, près des mauvais présages
une destinée glorieuse sabotée, la mer sur le rivage
prend la même couleur qu’un tableau de soulages
dont j’arriverai pas à m’défaire (nan, nan)
bloqué en gare, j’préfèrerais partir vers denfert
ça ira mieux quand t’arrêteras d’t’en faire
semblait me dire celle qu’allait rendre la vie qu’on lui avait offert, ok
ici, les gens ne sortent pas le soir
je ne vois qu’la buée d’mes crises
le criss~m~nt des pneus et des moteurs
qui salissent le gris des miroirs
on rate le train, se graille tous les vieux fonds d’tiroirs
y’a pire, comme ces familles habituées au dérisoire
un pays riche, une bonne santé
on fait semblant d’ignorer ces problèmes
a l’époque, j’me souciais moins d’ces cours
que d’impressionner ma voisine qui m’parlait d’ses soirées
de son beau~père et d’sa bm
a quel moment on vit, y a deux ans ou hier
city gagne le choc de la semaine
au point d’halluciner, tout ressasser comme maine (des souvenirs)
on s’entend parler autour des quatre même bières
ancienne vision, je nous vois golri devant l’4/3
a faire semblant d’être en train de jouer pendant des soirées entières (toutes les soirées)
maintenant sochaux, j’suis à quelques lieux de la frontière
un songe de peur, j’suis à sok cho en haut des montagnes ancestrales
a revoir celle qui m’ignore, m’a laissé
dans l’abîme, faut se battre dompter le mistral qui t’abîme (dompte le)
j’ai pas passé l’hiver à sok cho
je suis pas si fier d’être un esclave, l’hiver à sochaux
putain, mes rêves j’en avais dix mille dans la tête (ouais)
mais comme tout l’monde en fait
t’es pas spécial, qu’est~ce que tu mérites ?
mets toi une vingt deux dans la… (nan nan)
est~ce que j’suis moi si j’veux pas être l’un d’eux ?
on s’voit lundi, tout sera toujours si hideux
rei 22
ayanami rei 22
mais qui est~on, on s’dit adieu (adieu)
y’aura pas d’glorieux sacrifice (non, non)
de richesses, de feux d’artifices (non, non)
de carnavals, de merveilles
des trucs qui valent la peine qu’on veille
si tard le soir
pas non plus d’immenses désespoirs
juste un grand vide
se lever à 7h, prendre une ride
se détourner de la tache, imaginer cette rime
puis rentrer reproduire le crime
j’les ai vu l’faire
et si j’me bouge pas j’vais perpétuer cet enfer
t’sais à la fin, moi j’suis cet humain infâme
qui a semé la peine dans le cœur de femmes
parfois robotique comme wall~e, je déblaie le poussiéreux macadam
et ces saletés d’souvenirs qui font de moi ce quidam
je suis devenu le jouet du monde comme rei ayanami, un jour de plus qui faudra que je raye
faire se battre chaque version d’moi même tuer cet ennui
cube après cube, ange après ange
brique après brique, nettoie et range
jusqu’à c’qu’on finisse dans l’oubli
quand les maudits souvenirs démangent
tout droit évadé d’un d’ces films de wim wenders
où le temps passe différemment, où une seconde peut être une heure
si j’me bats, c’est pour mes frères qui cherchent leur voie
mon grand père qu’a perdu sa voix lors du décès
renta ces 150 maquettes produites dans mon tube à essai
a la sortie, détruit, j’aurai l’sentiment d’avoir fait le nécessaire
si les épines, et les orties t’écorchent
c’est que leur caresse est maladroite mais sincère
c’est qu’la vie est sanguine mon frère
c’est qu’la vie est sanguine mon frère
[outro]
voix j~ponaise
outro musicale


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