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lirik lagu jul - découpage

[paroles de “découpage”]

[couplet unique]
jette le cross dans le garage
j’zone masqué dans les parages
j’fais le mec serein aux barrages
on vient, on nique tout et on s’arrache
arrête de faire l’voyou, t’es un gars, rage
j’reconnais l’t~max au démarrage
ici c’est racket, meurtre, vol à l’étalage
t’es trop facile a trouver comme une kalash
t’es plein d’moi~ci, moi~ça, laisse moi du bendo
moi, j’te rentre dedans, j’fais pas d’taеkwando
porte les couilles à dégun, tu sеras loin des blème~pro
p’tit, c’était pas facile j’ai connu la haine tôt
ils m’ont tous descendu
s’ils tournent au dos, c’est vendu
en bandite sur un 110
la patate, la sens~tu
ma bouche crache des flammes
dans l’game, y’a incendie
le caution dans la millet
attention comment tu parles, tu vas t’prendre un moulon
ça veut baiser l’état comme marco mouly
j’ai la tête partout, j’peux pas être au four et au moulin
j’ferais plus d’sacrifices pour des sacrés fils de putes
si j’veux demain, hop, poum~poum, t’existes plus
j’fais pas l’corleone vito
aquarium dans l’vito teinté
mes potes veulent tous finir vite blindés
j’sors d’l’avion, on m’accueille avec les vitres blindées
pourquoi tu fais l’voyou ? après tu vas finir par plainter
viens, j’les vois claquer, comme si j’avais touché l’quinté
postiché aux volanges
fait peur au boulanger
faut faire des sous, faut manger
t’était trop lent, j’ai rasé l’collanger
pas l’temps d’relancer, pas l’temps d’romancer
c’est pour mes braqueurs, mes voleurs à l’ancienne
j’continue dans ma lancée
dans la street, non, non, faut pas balancer
touches pas la familia, on va t’attacher
et tout c’qu’on dit, ne va pas le rabâcher
moi j’ai rien à prouver, j’ai rien à cacher
j’représente les frères qui gardent la pêche aux cachots
j’fais pas la star, non, j’fais de chi~chi
moi j’suis sangoku, ma gadji c’est chi~chi
j’suis son bébé, j’suis son chouchou
j’faisais des tours, et j’suis passé, ouais, chez~chez
dans la vie, y’a des putes, y’a des bons
y’a c’qui pigent, y’a les cons
moi j’fais pas quelqu’un riche
j’fais pas d’trou dans les comptes
j’fais pas l’mec, dans l’icone
j’fais la bombe, elle est [?]
tu veux savoir combien j’ai fait d’sons, allez compte
tu m’fais le vrai, mais t’es dans quel camp ?
dis~moi poto, t’attends quelqu’un ?
ça m’fait l’signe jul vers camille pelletan
j’passe vers en ville, j’vois ils en pètent un
armés sur la moto, les jeunes ils pensent plus
les mères pleurent, les cimetières, ils sont remplis
les faux, les traîtres, moi, j’y pense plus
les bdh, ouais j’suis toujours anti
tu fais des tacles à la koundé
j’vais t’mettre des droites à la doumbé
on a les crocs, on vient d’en bas
on s’est relevés à chaque fois qu’on est tombés
hombre d’la calle
j’suis resté dehors quand il caillait
tout en rêvant du porsche caillou
en évitant de détailler, racailler
l’ovni, pour c’qui touchent le rmi, pour c’qui trainent au pmu, c’qui ont sorti une tn neuve, hah
j’mets droit le rm, rends fou la pm
on vient du ghetto, comme la pn
j’traîne en équipe et des fois seul
même quand on perd, c’est olympique de m~rs~ille
on a les dents, on est tous excités
on va pas rien faire, on veut tous exister
on a fait les 400 coups à la cité
voiture sans phare direction un systé’
levage de moto, niquage de poto
la street y’a pas photo, tu peux partir trop tôt
quartier nord, quartier sud, centre ville
pour c’qui sortent leur cerveaux quand ils ont l’ventre vide
pour c’qui ont des problèmes, qui s’taillent dans d’autres villes
pas pour les faux voyous qui s’donnent une autre vie
j’aime pas les b~tches, j’tise, j’vise
tous les trophées comme zidane, j’vis, j’maîtrise
fils, j’m’en fous de ce qu’ils disent, disent
j’ai les dents aiguisées, guisées
j’mets le plein au pompiste et j’sens qu’on m’piste
j’ai percé, ça m’piston, dans la [?] t’es mon fiston
alors restons peace
en fumette quand j’poste, fais pas ton pote
à la compote j;te brise la côte
tu finis mood
j’te compressais tout le mois d’août
j’ai d’la beuh, c’est d’la rappem faut qu’tu la goûtes
nique la mère à c’qui broutent
quand y’a un doute, y’a plus de doute
je peux pas faire semblant, j’vais pas rapper 100 ans
je marche pas au sans~plomb, j’les ai braqués sans gants
wesh alors le sanguin, on a fait les 400 coups
on a souffert ensemble, non j’ai les pattes sans vous
faut pas braquer pour [?], pépé j’ai mis [?]
casquette en arrière, gros, je sais qu’ta go aime
mon gars, moi, est~ce que j’ai la tête à écrire des poèmes, heh

- lirik lagu jul

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