lirik lagu jul - à la fou
[intro : jul]
il ramène qui tu veux, il t’nique, il t’pète le nez
[couplet 1 : jul]
poto dans la merde crois-moi ça fait longtemps qu’on y est
posté dans les geôles, tu penses qu’à une chose c’est de nier
j’suis plié, désolé j’suis grillé
ils ont oublié qu’on avait trop faim de billets
regarde mes yeux, ils en disent long, ils t’rappellent la fumette d’hier
ramène un body slow, j’ai l’pétard qui part en cuillère
parlez, vous me faites la pub à balle, j’arrive dans l’rap comme une balle
ça chauffe le couteau, ça découpe et ça emballe
et en bas les petits t’font danser avec des pistolets à billes
j’me lève en fin d’après-midi, la tête dans l’cul ouais faut qu’j’m’habille
j’vois les petits zoner en stunt, les grands zoner en clio
capuches sur la tête, devant l’métro ça rabat les clients
et qui en veut ? l’instru j’la plie en deux
j’suis dérangé, sachant que j’pillave peu
il ramène qui tu veux, il t’nique, il t’pète le nez
sur toi on en sait moins, mais frère c’est p’t-être le mieux
toi et toute ta clique, clique
vas-y br-sse un peu, on arrive après ça fait click, click
j’suis dans mon dél, c’est pas mon histoire mais j’me mêle
tu veux m’test ? nique toute ta gram’s, dégradé oui j’me la ramène
chez moi ça parle de braquos, chez moi ça parle de magot
j’veux le bras long, un peu comme le bras à zako
[couplet 2 : kamikaz]
les sentiments nous font rêver mais les rêves nous embobinent
on chute, faut se relever, tout comme un film qu’on rembobine
aveuglé par la beauté, affaibli par la bonté
reste que des choses à raconter, et les images sur la bobine
donne de l’amour juste à ta mère, la seule qui le mérite
on s’croit tellement parfait, qu’on pense que personne n’nous mérite
on s’fait du mal pour s’sentir bien, dans l’bien c’est loin du mal
dans l’mal c’est loin bien mais bon dans l’mal c’est senti bien
faut prendre les choses comme elles viennent, parfois il est mieux de ne rien savoir
on veut c’que l’autre détient parfois il est mieux de ne rien avoir
querelles au quotidien, l’amour ne cesse de briser des cœurs
on se vend du rêve pour s’sentir bien jusqu’au jour où l’amour nous écœure
y’a des bons et des mauvais partout, chez l’homme comme chez la femme
y’a des ennuis, de jour comme de nuit, si ton pote te nique xxx ta femme
trop de mensonges, éteins ta flamme, arrête de cracher le chaudron
très peu d’amour sur le goudron, nous croirons ceux qui le voudront
[couplet 3 : kamikaz]
j’fais pas du rap pour de l’argent, mais j’dis pas qu’j’en veux pas
j’fais c’que j’peux comme j’le sens, ceux qui m’en veulent j’leur en veux pas
j’lâche pas car on soutient, j’donne tout c’que j’peux demande à malaa
c’est grâce au blé qu’on xxx, j’lâche pas l’affaire, encore moins là
la tête j’fume et j’m’évade xxx
prise de tête pour des noms sales, h24 ter-ter ghetto sale
visages pâles on crève la dalle, quand on s’couche le jour se lève
on tourne en rond, les jours sont les mêmes, on rêve de vivre toujours ce rêve
vie fragile en porcelaine, après la guerre les porcs s’amènent
faut faire les choses mais pour soi-même, -ssume peu importe où ça mène
ça nous concerne pas mais on s’en mêle, ça coupe des grosses lamelles
pas peur de manger la gamelle, donc quand on s’parle c’est grosse lamelle
gros sbah c’est grosse camel, pétard et on décompresse
à force de saigner à vie, on finit raides avec des compresses
donc décompresse y’a plus personne dans la xxx
kami’music n’est rien sans moi, j’suis rien sans eux et toute l’équipe
on vit dans l’sport, chacun sa vie, son devoir
viens voir, les gens changent comme le temps, on donne de l’amour sans en recevoir
l’amour te ferme les yeux, mais les yeux fermés c’est dur de voir
j’ai trop donné xxx donc rester vrai tel est mon devoir
pas là pour décevoir, j’dois concevoir dans la qualité
mais c’qui compte c’est pas la durée, dans l’r.a.p, c’est la qualité
j’fais pas ça pour le blé, j’me dois d’rester vrai pour les vrais
vrais pour les faux, faux pour les vrais, vrai pour de faux, faux pour de vrai
j’sais plus sur qui compter, les secondes sont comptées
trop perdent l’envie de vaincre, ou aiment se la raconter
la pente est dure à monter
[couplet 4 : kamikaz]
pas rose, regarde la couleur d’mes paroles
y’a personne qui t’arrose, regarde la douleur d’nos daronnes
on veut être des barons, être fiers comme le daron
dans les poches pas un rond, donc ça trafique dans le marron
quoiqu’on f-sse, on s’confesse où qu’on soit
la vie p-sse à grande vitesse, oublie pas tout c’qu’on conçoit
crois-moi compte sur personne, c’est chacun pour soi
et dieu pour tous, il te donne un coup d’pouce mais c’est pas lui qui tient tes boussoles
pousse-toi ça éclabousse, on règle pas tout avec la bouche
beaucoup ont les mains sales, mais on lave pas tout avec la douche
combien sont sur l’terrain, et jouent le long d’la touche ?
mais quand c’est les cartouches qui parlent, beaucoup font dans leurs couches
combien se couchent à plat ventre ? combien s’éventrent
pour une somme merdique ? à part mon rap j’n’ai rien à vendre
on est tellement à monter haut, qu’on peut plus redescendre
on esquive la mondeo, de janvier à décembre
on s’contente de peu, du mortel y’en a pas une
crois-moi qu’y’en a très peu, quand dans les poches y’a pas un
combien te couvrent quand il pleut ? crois-moi y’en a pas un
y’en a très peu réels, très peu mais un traître en vaut pas un
ça gratte de tout, absorbe tout comme un sopalin
ça laisse les potes, ça laisse tout tomber pour un gros calin
faut pas mal d’ambition, et pas plus que c’qu’il t’fallait
crois-moi qu’tu payeras l’addition, même si elle est salée
on s’alimente de c’qu’on a, on parle que de c’qu’on connaît
sauf au commissariat, on n’avoue pas tout c’qu’on commet
crois-moi qu’le manque d’argent te pousse à vouloir le sommet
que l’argent appelle l’argent, faut du savoir ou le semer
le chemin est p-rs-mé d’embuches, sept jours par semaine
on sait pas où la semer, mais on sait où la gloire te mène
directement, vaut mieux dire les choses ouvertement
crois-moi qu’vaut mieux donner qu’recevoir, et inversement gros
c’est kamikaz poto, jul, 1-3-5, barriol, 1-3, noisette
[couplet 5 : jul]
ces fils dep’ ils nous manipulent
ces fils dep’ ils nous manipulent, j’freestyle même dans la canicule
j’suis dans ma bulle, t’es fou recule, j’ai plus d’freins dans mon véhicule
un-trois-cinq est l’immatricule, nique les flics allez vas-y gueule
t’appelles le dix-sept t’es ridicule, on pourrait t’attacher en bas d’l’immeuble
nique ton équipe je les fuck, j’ai trop la haine comme manu le coq
dors jamais avec ton arme, t’sais pas gros autant demain ça toque
pour moi c’est l’époque des bacs, d’la twingo, pas du pack m
l’époque où tous ces comiques se mettent à rapper comme black m
tu m’aimes pas, j’t’aime pas, tu t’sens pas, viens pas
je sais qu’tu m’as carottes arrête de faire tes airs de sympa
j’déb-débite, mets des b-des buts, j’reste deb-debout avec un peu de beuh
j’ai un peu de bide mais t’inquiète ça s’dev-dev
pourquoi tu tchatches ? tu n’es qu’un paille, ton meilleur film c’est american pie
j’suis la pour un bail, j’veux la médaille, demande à wanted c’est pour les mecs die
faut qu’mon son tourne comme philippine, qu’les gens kiffent comme du billie jean
coca bailey, bébé vas-y tchin, j’suis déjà chaud il est même pas midi
plutôt dolce pas gucci, et au quartier ils font les abrutis
ils s’niquent entre eux puis se fréquentent, dis-moi à quoi ça aboutit ?
me fouille pas j’suis anti focus, c’est le bon tu touches pas t’es putain de faux-cul
tek-ss, t’occupes, si j’suis là à la coupe j’te laisserais pas qu’un cul
j’t’ai pas dit, t’es cocu, une poucave a dit qu’t’as les flics au cul
ton pote est rentré il veut qu’tu t’occupes et toi tu fais rien tu pense qu’au cul
tu dis que tu es là, ouais t’es là qu’au clip, tu refais lil wayne mais t’es que la copie
en ce moment j’ai les dents j’suis en loup, donc surveille ta copine
je la prends je lui place, dans la colline sur du phil collins
pétard vodka redbull, marlboro, phillip morris
il fait le youv c’est un fils à pap’, il fait trop l’mec il a un vice à part
et quand la roue finit par tourner elle crève et les jaloux finissent à pattes
xxx, j’suis une mercedes t’es la trottinette
moi j’rappe pour ceux qui m’aiment le reste j’les coupe flow opinel
tu cherches la kekette faut qu’ça kicke
j’vois l’autre qui guette quand y’a les flics et quand tu finis seul y’a degun qui t’aide
c’est normal qu’y’a degun qui t’aime, tu fais trop genre le mec qui ken
si t’es ryu moi j’suis ken, fight fight fight, ayuken
et moi j’m’habille à la one again, y’a que pour les boîtes que j’mets les hoogan
tu fais la fille moi j’fais rien t’inquiète, on sait tous que tu es une femme open
[couplet 6 : jul]
chez nous on s’entraide, voit les shmitts p-sser en 307
crois-moi j’en ai vu, vous traînez à plein, moi j’préfère rester à trois sans traître
ça sent l’pétard xxx, demande à kader le volant on t’l’écarte
au pire des cas, on t’l’éclate, un coup de crique portes s’écartent
pour ceux qui vivent illégalement, pour ceux qui restent toujours fort mentalement
ceux qui prennent mon rap comme calmant, ça a pas l’permis ça veut l’caïman
pour toi faut qu’je f-sse la caille moi ? s’te plaît ne fais pas la racaille non
j’suis une mitraillette vocalement, j’suis le tsunami sur la thaïlande
j’te fais couler comme le pearl harbor, tiens ta famille ou ta perle à bord
sur l’terrain faut qu’j’élabore, prêt à faire la guerre hardcore
deux sur l’pétard, sur l’tier-quar il s’fait tard
c’est l’week-end, pas d’fêtards, t’entends “awin” c’est le top départ
si tu traînes plus là, t’as quitté, tes potos pour une autre cité
t’étonnes pas d’nous voir excités, si dans mes sons xxx
gros ciseau j’arrive comme zizou, t’es une folle, fais pas d’bisou
demande à sozed, c’est l’zoo, de mon village à tizi ouzou
devant les shmitts toujours bouche cousue, un jour où l’autre on aurait tout su
plein d’problèmes on aurait tous eu, les shmitts devant la porte, on disait tous chut
pas d’c-ke ils sont plutôt shit, les filles d’maintenant ils sont plutôt chics
plutôt fric, elle font les macs, s’font traîner et sont plutôt flic
accélère y’a les tdm, ils vont trop vite, enclenche la poursuite
si t’es un bon, pour les baiser prends la coursive
cours t’as mal, pense à moi si tu te fais la malle
vas voir ma mère si j’suis en gardav’ et console la si elle va mal
pour moi rapper c’est b-n-l, comme au quartier d’voir les b-n-les
d’voir les potos s’mettre des bananes, du 1-3_5 jusqu’à paname
xxx, c’compte percer il me disent “’ch’allah”
j’suis m-rs-illais, d’saint jean la puenta, attends un peu que j’croise shanna
les bdh se font chaler, tu les attrapes, ils vont chialer
t’viennent t’parler quand t’as calé, t’font les lâches quand tu sors du palais
j’en ai marre de tout, j’peux plus te voir, j’en ai marre de toi
pour de bon, dis pas n’importe quoi, moi j’t’aime à vie parc’que j’sors de toi
et quand j’sors de boite, j’suis raptus, bagarre ça frôle l’infractus
quand y’a trop d’monde faut s’échapper, même si t’es coincé comme bractus
fais pas l’mc “moi ça, moi ci”, t’es moisi mon gars tu pues
j’connaissais cette fille, j’la voyais clean, maintenant c’est une star du cul
les heures p-ssées au tier-quar c’est la crise, là j’perds mon temps c’est nul
faut qu’j’sois connu comme biggie small, mets l’son à fond dans ta cellule
roules-en un gros, fais des pompes, vends ton shit, fais tes comptes
on fume le, il décolle, reste tranquille, règle tes comptes
ça sent le loup dans les environs, rafale-les tous, ils s’en iront
c’est le génération de niro, comme dit saiah, sirote un sirop
ça fait les pilotes en cirocco, baise des petites ça fait les rocco
j’rappe, j’fais jamais d’repos, j’suis sérieux écoute mes propos
t’fais la star, tu crois t’es trop beau, en un an tu sors le croco’
tu veux tout l’temps manger sur les autres, mais poto tu fais des gros crocs
tu veux la guerre ? j’suis ok, onze heures du mat’, calé au coquet
tu fais l’mec plein, tu fais qu’croquer, tu fais l’mec simple, tu fais que t’droguer
escroquer des fatigués, suffit pas d’parler, faut l’pratiquer
j’vends l’alim’, garde ton ticket, chick bang, faut anticiper
anit-faux et munic-p-les, j’t’ai dit un mot, t’es devenu si pâle
j’suis la mitraillette musicale, pousse ton pote si tu vois qu’il cale
pour moi, t’es qu’un salaud, j’t’ai fait manger, tu fais confiance à l’autre
tu vaux pas une balle, tu vaux une calote, tu veux m’faire une cr-sse, d’un moment à l’autre
coupe militaire, tu m’connais, reste avec moi, on va déconner
tu as pas un plan, on l’sait tous, tu fais l’mec qui coince des poneys
j’mets direct fifa
tu veux m’test viens la mi-fa, j’lâche pas la manette allez zy-va
prend l’zippo, fais l’banger, la daronne qui rentre, faut l’planquer
un vrai frère faut pas l’tanker, avec lui faut pas t’manquer
reste tranquille avant qu’j’t’en colle une, ça cache les armes dans la colline
si t’as pas compris, reste poli, si t’as pas l’âge frérot reste au lit
[outro : jul]
yeah, jul, kami-kamikaz poto
avec les deux frangins
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