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lirik lagu hotel paradisio - leviathan

[paroles de “leviathan”]

[couplet unique]
toi, tu me vois comme un miroir, j’ai des démons dans le tiroir
moi, je navigue sur le terror, toi, tu patauges dans le terroir (splash)
je porte un poids comme un titan et ma capuche, c’est ma vitre teintée
je suis dans une ville hantée qui mange les fruits que le vilain paie (cash)
regard dit long comme un ventriloque, si j’suis pas là, faut m’inventer
tu parles de moi, t’es aux antipodes, tu te délectes dе tes méfaits
sillonne la ville commе un vtc, sur ses lombaires comme un vtt
ils dorment sur moi comme un gros coussin, leurs rêves sont morts, j’vais les déterrer
tu sais, le feu, ça brule, je coupe le bout de leurs mandibules (slash)
je connais ton matricule, tes intentions dans ton attitude (bah ouais)
et on s’allume la tête quand vient le soir quand s’allume la lune
de la main, j’enlève la buée, la mer est froide donc j’accroche la boue
tu sais, l’amour m’a endetté, c’est à la vie, à la mort
mais la vie les sépare, faut partager les biens
puis, les biens prennent le pas sur les promesses d’un été (yeah)
j’regarde la mer comme alicante
on va peut~être trembler comme mohammed ali
mais on s’assure que la terre tremblait
laisser des traces quand on quitte l’antenne
la vie, c’est triste parce que tout s’achète, même le silence à son tarif (cash)
et quand ça sort des gros chiffres d’affaires, y a pas qu’les yeux qui s’écarquillent (cash)
(ah non non non)
c’est dans la nuit que je les perce à jour, je cherche des prises sur le versant
j’branche mon cerveau sur ma paire de couilles,et je réfléchis comme un serpent
si tu m’apprécies, pourquoi tu précises que j’avais pas d’blé à ce moment~là ?
je connais la bêtise, mais j’ai l’appétit, donc je la vêtis pour te convaincre
moi, j’ai une quinte flush, toi, t’as une quinte de tout
j’démarre au quart de tour, j’ai pas de garde~fou
et je vous roule dessus avec un garde~boue
y a pas d’péché de la chair, si je m’attache à ta plastique
beaucoup d’rancœur dans ma tête, comme dans la mer, y a du plastique
je suis à la vitesse lumière, plus vite, tu meurs (plus vite, tu meurs)
méfiant de leurs vices comme d’une tumeur trop proche du cœur
[outro]
je me réveille dans insomnia, je me réveille dans les ténèbres
j’entends des voix comme une chorale, c’est la rancoeur qui me fait naître
j’ai que d’l’amour dans les viscères, je tiens les vices et les ficelles
réalité dans les mystères, que reste t~il de l’hémisphère ?

- lirik lagu hotel paradisio

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