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lirik lagu heykel - h19

[paroles de “h19”]

[couplet unique]
j’ai rdv avec casper au parlu, ceux qui jurent sur l’coran, c’est ceux qui l’ont pas lu (bah ouais)
ceux qui parlent de la mort, c’est ceux qui l’ont pas vu
le plus souvent, c’est ceux qui la vivent pas qui glorifient la rue
rdv en bas du bât’, nan attends y a les keufs qui pètent
que ce soit l’25 ou bien l’31, chez nous c’est pas la fête
faut une raison valable pour viser la tête
on fait des douâa pour que ça s’exauce, on attend pas la fée
la forêt est belle, méfie~toi, elle y cache des cadavres en décomposition
tu t’demandes où ta femme a pu apprendre cette position
le piano, c’est pour faire appel à l’émotion
tu veux qu’il fasse attention à ton cœur, demande~lui une caution
les rues, les vols, les soumissions, on participe pas mais cautionne
c’est comme quand t’entends “peguy”, forcément tu penses à la cochonne
j’vais péter la porte, ça fait trop longtemps que j’sonne
j’ai pas trouvé donc j’vais t’laisser construire une phrase avec consonne
elle vend son corps, sort en même temps qu’la lune nous apparaît
les rumeurs commencent avec un “à c’qui paraît”
tu veux pas qu’ils prennent la confiance, mets une barrière
ça évitera les “j’t’avais prévenu gros, il va falloir le faire”
y en a qui suivent le vent un tout p’tit peu comme un intérimaire
en hiver, on veut l’été, en été, on va vouloir l’hiver
ils viennent pas la chercher, il va falloir livrer
fouille pas l’passé, t’façon tu pourras jamais voir si elle dit vrai
cellule, promenade, promenade, parloir, parloir, cellule
j’oublie pas qu’un empire ça reste un ensemble de molécules
les promesses sont solennelle, les barrettes en lamelle
si t’en parles à quelqu’un, ça devient un secret de polichinelle
à nos actes manqués, à tout c’qu’on s’est pas dit
être fier, c’est quand tu sais qu’t’as tord mais tu veux pas d’mander pardon
t’as baisé la justice, elle a perdu les eaux
demande pas à un illettré d’aller mettre les points sur les i
comme les bécanes qu’on lève, la nuit j’rêve, la journée j’accomplis
être un suceur, c’est tout une attitude, pas b’soin d’être accroupi
j’suis conscient de c’qu’on perd, du coup vivement qu’on gagne
j’sais pas trop c’que j’préfère entre la solitude et leur compagnie
c’est pas d’vant l’juge, encore moins d’vant l’oseille qu’on panique
t’en as pris dix, t’as pas nié, réseau pète, guetteur pas crié
dans la mondeo, j’me demande si ils pensaient être pas grillés
une épreuve, on va pas vriller et j’suis fort mais j’ai pas brillé
le gps indique la route, une audi, ça la facilite
j’avais des projets pleins la tête, le placard m’a dit “pas si vite”
essaye de profiter un peu vu qu’on n’a pas [?]
j’suis vrai, j’achèterais pas mes vues
tu fumes sur l’paquet, y a écrit ça tue
ça tire, ça tape, ça tourne, ça met les points d’côté
t’es mon ami, sur toi, j’mange pas, j’vais grignoter
elle esquive du coup quand tu l’as tu cris au tél’
la cocaïne sort du port du havre, finit en soirée mondaine
et les boîtes de nuit, les chichas, les ballons, c’est pas trop mon dél’
c’est l’hiver, il fait froid en promenade du coup j’attends d’remonter
c’est l’talent qui fait l’taf, pas b’soin d’argumenter
internet, facebook, métaverse : la réalité augmentée
t’es rentré dans mon cœur puis tu t’y es caché
rester ou partir, depuis l’temps, j’sais toujours pas quelle case cocher
la balle a tapé l’os puis elle a ricoché
j’ose espérer que c’est pas que d’dealers qu’nos mères ont accouché
tu chercheras l’soleil sous un coin hivernal
tu chercheras un coin d’ombre en temps d’canicule, t’inquiète c’est normal
[?], tu m’fais rigoler comme walid sax, c’est normal
y a l’oseille qui rentre et ma connexion [?]
et là j’te parle de rap dans sa forme la plus pure
la vie dans sa forme la plus dure, le fruit dans sa forme la plus mûre
on apprend d’nos erreurs, les autres apprennent de nous
d’la haute couture qui fait rêver, à la base, on est tous [?]
[pont]
faut pas qu’demain prenne exemple sur hier
le soleil va pas v’nir juste après la pluie
un visage familier, des halls, des répères
une haine grandissante, de l’oseille, des non~dits
j’vais pas trop réfléchir
l’amour qu’on s’portait est mort comme le terrain
quand le silence parle, y a rien à dire
ils m’ont dit “merci”, j’leur ai pas dit “de rien”

[refrain]
on enchaîne les victoires comme les défaites, sentiments empaillés
des non~dits, un contentieux, vous étiez silencieux, les sentiments ont parlé
faut pas qu’demain soit comme hier
faut pas qu’après~demain soit comme aujourd’hui
tu demandes pardon dans tes prières
j’pense pas qu’on pourra trouver l’bonheur ici
on enchaîne les victoires comme les défaites, sentiments empaillés
des non~dits, un contentieux, vous étiez silencieux, les sentiments ont parlé
faut pas qu’demain soit comme hier
faut pas qu’après~demain soit comme aujourd’hui
tu demandes pardon dans tes prières
j’pense pas qu’on pourra trouver l’bonheur ici

- lirik lagu heykel

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