lirik lagu henri bleu - j'disparais
[paroles de “j’disparais”]
[intro]
j’vois beaucoup d’fils de pute
j’suis censé faire quoi avec mille de plus
cœur en sang sous l’logo, ils ont tourné leur dos
c’est un sacré gâchis le sang si j’me ~~~
nan, on oubliera jamais le nom d’ces putes
c’est des buveurs de sang comme beyoncé
et à voler trop haut, ils s’sont brulés les ailes
moi, j’ai toujours les miennes et j’suis bronzé
[couplet 1]
il m’faut un karambit cémenté (cémenté)
j’ai d’jà l’cœur bien rempli, maint’nant, moi, j’veux des poches (comment ?) aimantée
plus jamais j’redescends commе dante, frappe derrièrе les cinquante, c’est rentré (pah~pah)
chez moi, l’tonnerre remplace le son des cloches
j’ai trop vu d’humains, j’sais qu’la plupart ils dégoutent
sous froid polaire, j’dois m’allumer des torches
peu~peu~peu importe l’heure, là, c’est l’futur que t’écoutes
c’que t’as vu sur mes joues, c’est d’la condensation
j’vois pas passer les jours, le cœur à marée basse veut une compensation
vient pas m’parler d’amour, j’ai pas les anticorps
je sais qu’ils veulent me faire (han~han)
j’vois l’canon quand ils s'[?]
j’les entend plus parler ces fils de quand ils gobent
là, ça va m’couter cher, j’brule tous mes [anti pop ?]
dans ses yeux y a la guerre, le poison, l’antidote
[pré~refrain]
j’vois beaucoup d’fils de pute
j’suis censé faire quoi avec mille de plus
cœur en sang sous l’logo, ils ont tourné leur dos
c’est un sacré gâchis le sang si j’me tue
nan, on n’oubliera jamais le nom d’ces putes
c’est des buveurs de sang comme beyoncé
et à voler trop haut, ils s’sont brulés les ailes
moi, j’ai toujours les miennes et j’suis bronzé (pah~pah)
[refrain]
j’veux plus jamais voir mes démons ricaner
j’roule à deux cents, j’m’arrête pas
j’prends mon cash et j’disparais
nan, elles m’verront plus jamais
j’ai d’jà le cœur tout cramé
j’roule la zaza, j’m’arrête pas
j’prends mon cash et j’disparais
nan, elles m’bais’ront plus jamais (han)
[couplet 2]
cache~cache [?], j’regarde le tempête, j’roule un teh et j’l’écrase, j’nage (pah)
dans ses yeux, j’ai vu tout l’océan, le ciel et les étoiles, [nous même ?] sous claquage (rah)
on joue les quatre~vingt~dix
pourquoi mon cœur fait l’bruit d’une maserati ?
j’lui fais la guerre depuis qu’le ciel les a pris
sur l’béton, dans la ville, la pluie écrit mon nom comme si j’laisse des indices
on m’a dit : “faut les faire” (quoi ?)
on m’a dit : “faut les faire taire”
j’suis passé chez burbe’, ils ont trop les nerfs (anh~anh)
ouais, j’suis bien meilleur qu’eux, j’peux l’jurer sur ma~
j’peux l’jurer sur les têtes à cerbère
[pas vu ?] l’av’nir est bleu
si le temps nous court après, on peut lui casser les be~j’, on peut lui casser les deux
j’ai tout mit dans la~
j’ai tout mit dans la tape, genre ma rage et ma peine et même un bout du 9~2 (pah~pah)
[pré~refrain]
j’vois beaucoup d’fils de pute
j’suis censé faire quoi avec mille de plus
cœur en sang sous l’logo, ils ont tourné leur dos
c’est un sacré gâchis le sang si j’me tue
nan, on n’oubliera jamais le nom d’ces putes
c’est des buveurs de sang comme beyoncé
et à voler trop haut, ils s’sont brulés les ailes
moi, j’ai toujours les miennes et j’suis bronzé (pah~pah~pah)
[refrain]
j’veux plus jamais voir mes démons ricaner
j’roule à deux cents, j’m’arrête pas
j’prends mon cash et j’disparais
nan, elles m’verront plus jamais
j’ai d’jà le cœur tout cramé
j’roule la zaza, j’m’arrête pas
j’prends mon cash et j’disparais
nan, elles m’bais’ront plus jamais
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