lirik lagu henri bleu - gratte-ciel
[paroles de “gratte~ciel” ft. eden dillinger]
[couplet 1 : henri bleu]
y a des fleuves, y a des pierres, y a des donjons, y a des elfes
y a pas d’étoiles sans mystères, y a qu’des histoires qui s’répètent
j’vois la peur, j’vois pas l’reste, y a des larmes, y a des perles
y en a qui brillent comme la neige, j’vois ma main, pas la tienne
là, j’suis seul et j’m’enferme, y a pas d’soleil sans averse
y a même des regards qui feraiеnt peur à des tempêtеs
j’ai perdu mon cœur pas ma tête, [l’autre fois j’tais tête sous l’eau, mains dans les nuages ?]
j’demande pardon pour mes erreurs, j’ai vu ma main dans un livre
j’veux voir ma main dans la tienne, j’me suis caché dans mon désir
loin des gratte~ciels et des rumeurs, y a plus d’lumière dans mes yeux
[refrain : eden dillinger]
les gratte~ciels m’empêchent de me perdre dans les cieux (les cieux)
pour chercher l’infini, je ferme les yeux (les yeux)
dessine~moi un mouton, sur nos plans, tire un trait
pour vivre, j’dois d’abord rêver, j’respire après
[post~refrain : henri bleu, eden dillinger]
oh, les créatures légendaires
oh, plus de couleurs que dans l’ciel
pour vivre, j’dois d’abord rêver, j’respire après, oh
oh, oh, oh
ouais, ouais, ouais
oh (pour chercher l’infini, je ferme les yeux)
oh (oh)
j’respire, j’respire après
(dessine~moi un mouton, sur nos plans, tire un trait)
[couplet 2 : eden dillinger]
j’sais qu’on va partir à la fin, je sais que j’peux pas revenir au début
j’fais des rêves où j’te revois, j’fais des rêves où j’appelle les numéros qu’j’n’ai plus
j’voulais une fenêtre sur le monde, j’me contenterai d’un trou dans la couche d’ozone
qu’un autre homme de vingt~trois chromosomes, j’lui ai laissé mon cœur, j’fais pas [d’chrome ?] aux autres
ce monde m’ennuie, j’ai la paresse de tout
je sens mon anxiété qui me caresse le cou
j’recherche le p’tit prince en moi quand j’étais grand pauvre
donc j’embrasse les lèvres de ma madeleine de proust (proust, proust)
j’essaie de voir d’un bon œil mais il est devenu cocard
j’suis bloqué entre les gens partis trop tôt et ceux revenus trop tard
[refrain : eden dillinger]
les gratte~ciels m’empêchent de me perdre dans les cieux (les cieux)
pour chercher l’infini, je ferme les yeux (les yeux)
dessine~moi un mouton, sur nos plans, tire un trait
pour vivre, j’dois d’abord rêver, j’respire après
[post~refrain : henri bleu, eden dillinger]
oh, les créatures légendaires
oh, y a plus de couleurs que dans l’ciel
pour vivre, j’dois d’abord rêver, j’respire après, oh
oh, oh, oh
ouais
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