lirik lagu hazouz trz - booska trz
[intro]
yeah, ok
sh-t, enfoiré
consomme, salope
yeah, ok
eh
[couplet unique]
en deuspi tout près des bats
sous pillave ça part en cette-su
c’est la merde dans le secteur
la vie de ma mère que j’en ai ras le cul
a la maison c’est tendu
plus personne se calcule
le daron s’en bat les yeuks
ca fait dix piges qu’on se parle plus
je bousille ma santé dans la vie de rue
et si ça continue, les flammes emporteront sur le bitume
j’aurais déjà fumé des gens si y avais pas la sique-mu
j’ai zoné depuis tant d’années, j’sais même plus où je me situe
j’connais trop peu de gens qui s’aiment
je me dois de rester nichen pour la fierté de la daronne
mais je suis très loin d’avoir une vie saine
paix à leurs âmes, on compte les morts par dixaines
le cœur paralysé on sème la zizanie comme zidane
quand j’parle avec ma ‘teille, faites augmenter les décibels
j’mène une vie paranormale : j’fais plus de haram que les infidèles
encore sekrane à l’hôtel, que dieu me pardonne
j’suis très loin d’être un modèle, c’est la h-ss il faut qu’je charbonne
demande à touns, ça cramait des caisses sur le parking
enfance remplie de violence, la rage contre tous ces fils de harki
envoie un litron et c’est parti, ambiance sordide sur le terrain rien que ça torpille
‘font les chauds derrière un ordi, les mêmes mehssad qui parlent mal sur nous
mais à la tess c’est des putains de ients-cli
la rue me fascine pas, j’ai grandi avec des bandits
depuis l’époque où les mecs s’allumaient avec une musique funky
intelligent ne veut pas dire gentil
j’ai plus de sentiments, comme un brancardier
dis-moi pourquoi mentir?
comment rester zen quand tous les problèmes s’empilent
j’ai mal au cœur quand je vois un ancien marcher au ralenti
mon cœur est blessé, la monnaie comme seul pans-m-nt
dès le réveil j’suis stressé, j’ai pas le moral je te le dis franchement
les frères se baisent entre eux le quartier c’est devenu un gang bang
des équipes, des grosses bandes, ici la haine est constante
un flic qui meurt : c’est toute la france qui en trans’
un lascar qui meurt : j’vois que marianne est contente
j’ai pas très envie de réfléchir, sortez les ‘teilles de clan campb’
j’veux oublier ma putain de vie avant que les larmes s’enclenchent
j’suis en période de h-ss, sheitan vient nous t-tiller
des allers-retours au habs : beaucoup en sortent bousillés
on lache pas l’ham gros, impossible de roupiller
pour un bon billet tu te retrouves vite dans un bourbier
nos vies sont noires et ternes
de province jusqu’en banlieue parisienne, c’est difficile de rester zen
il faut investir au bled vu que l’etat français nous berne
on ne respecte pas les lois, y a qu’allah qui nous gouverne
j’vais niquer des mères : j’ai une envie soudaine
la sauvagerie à l’état pur, gros, y a pas de soirée mondaine
ils peuvent pas blairer nos têtes, on va écourter ton règne
tu veux séjourner dans le binks ? tu vas y laisser ton zen
survivant de la te-stree, la france a fait de nous des rebelles
la république : une kahba, rien qu’j’la baise j’suis pas amoureux d’elle
réprèsente la déchéance, les charbonneurs et les pères dignes
les parents fiers, les mères seules, les frères et sœurs qui sont dans le dīn
caille-ra de haute standing, automatique dans le jean
cr-pule jusqu’à la mœlle, beaucoup trop fier même sans un centime
ta liberté se résume à grailler du porc à la cantine
burkini zebi klaoui, les républicains chantent des contines
j’connais leurs combines, j’veux pas briller j’veux pas la gloire
demande à redsam, je sais que t’as du mal à me croire
si je te disais que j’prend le rap game comme un pute d’un soir
al hamdulillah toujours le même face à mon miroir
rien à foutre de ce que t’en penses, j’écoute pas ce que j’entends
si j’devais aller dans ton sens, j’devrais rafaler ton clan
j’revois ton visage quand j’ouvre mes yeux dans les abysses
allah y rahma, plus j’y pense plus mon cœur s’abime
j’suis qu’un frelon les abeilles et le miel m’attirent
pardonne-moi habiba pour cette fin si dramatique
j’aimerais te dire “je t’aime” mais je peux plus
j’suis entouré de fils de putes
j’revois ton sourire quand j’me bute
comment changer quand le sheitan te persécute?
j’ai zoné beaucoup trop tôt, j’ai pas fait de longues études
papa t’es où? grosse question que je me pose
ton fils fout trop la merde, c’est pas vraiment l’apotéose
j’fais confiance à personne, demande à tous mes soss
est-ce que j’vais finir en enfer grillé comme une potatoes?
on oublie la ière-pri mais on attend la baraka
ambiance de herraga on prend la vie en dérapage
la fin sera tragique, un peu comme celle de arafat
a force de se croire à caracas, les djinns viennent nous dire merhaba
les djinns viennent nous dire merhaba…
[outro]
booska trz enfoiré, clique et partage négro
toujours dans les parages, j’vais fissurer la putain de porte de ton garage
salope
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