lirik lagu guizmo - freestyle j'aime l'alcool et le popo
[intro]
j’aime l’alcool et le popo
j’aime l’alcool et le popo, les grosses chiennes et les pe-clo
j’aime l’alcool et le popo, ah j’aime l’alcool et le popo gangstas x2
[couplet 1]
poussé dans la merde, j’avais pas un clou
tout est dans ma tête, j’ai les phases d’un fou
j’ai mes t-ss de nuit et mes t-ss d’un jour
ca traine dans la ville avec quatre sins-cou
j’suis dans ma té-ci non j’habite pas saint cloud
ca fais du ffe-bi, les t-ts-pe tapent un foot
a se-l’ai dans la street avec un tapin j’roule
un oinj’ de weed et puis j’pars d’un coup
on fait que du sale pour am-sser tout le woaï
j’ai rempli des salles et des keumé m’demande à paris
j’ai vendu des grammes et j’ai épargné mon âme
pour éviter les drames et les femmes que j’ai sali
pistolet dans le sound system, sh-t coffré y’a que des gars qui craignent
j’suis dégouté, j’ai pas tout écoulé, j’ai encore deux ients-cli et j’suis en batterie faible
tout l’monde roule un joint d’beuh, on va délirer dans l’esp-ce
ces bouffons croient que j’ai besoin d’eux, j’ai des gavas surs et des shl-ss
même pas 20 mesures t’es pris de frissons
mec on tient les murs et nique la prison
j’ai vendu d’la dure, j’ai fais des missions
les grands de vlt m’donnaient des litrons
j’étais le guiz de la cave, j’connais le vice et la came
on veut plus trimer sa race, on veut du biff et d’la chatte
oui j’ai dealé d’la frappe, viens pécho ma p’t-te gueule
j’encule la trap’ dans ma zone à villeneuve
un contre cinq nique sa mère j’suis single
cinq album et toujours pas de single
urban hit oh x4
y&w laisse couler encore un p’t-t peu on va lui niquer sa mère a celle là je crois
j’ai toujours vu mon grand frère porter ses couilles
dépanner la mama avec ses forces et ses douilles
mec on est pas des pédales je suis pas morche , mais j’suis ouf
et tu peux ramener tes gars tout tes potes on les troue
tes potes on les bouffes p38 dans le zoo
dit moi tu vas faire quoi si sa part en illes-cou
villeneuve la garenne poto sa pue la lère-ga
tu peux te faire fumer pour un peu moins d’un ze-dou
sa triquar la tess sa bicrave la cess
des trimards, des flicards des pt-ts crament la zeb
efficace mais bizarre le visage des sistas des primes et des shlags
et les trimards l’atteste
mec on est malade paumés dans la te-ci
prends ton 20 balles ou nique ta mère si t’es indécis
on peut te faire du mal dégage de la espèce d’imbécile
je devient nerveux a force de fumer de la résine
j’ai grandis dans les blocks de béton
poto la rue m’a charmé , j’ai fait du sale et puis je suis bé-tom
depuis que j’ai 15 ans je suis cramé
j’ai déjà fait le tour du 77, le tour du 94,le tour du 92
le tour des meufs plates, le tour des meufs crades
le tour des meufs qui voulait que le guizmo , et le tour des meufs cl-sses
je veux mon biff et puis c’est tout
j’ai mes bastos et mon six-coups
me compare pas a zifou , moi j’ai grandis dans la rue je pacte avec les loups x2
[couplet 2]
je vis que dans le bordel
j’nique les porcs le top ten
et ne me visez pas les pieds sinon je suis là demain
avec une équipe, un putain de cortège
bang-bang, mother f-cker g.p.g
ouais-ouais toutes les meufs que j’ai baisé
m’ont dit “guizi vas-y fais doucement ou ma shnek va finir blessée”
j’en ai marre de vous apprendre à pe-ra
j’en ai marre de vous apprendre à pe-ra
j’en ai marre d’-ssumer, j’allais me faire allumer
glock devant ma gueule, et ouais j’étais là
toi t’étais où négro ?
t’étais pas dans le coup négro
toi t’étais à la cool négro
et tu nous dis que t’as des couilles négro ?
la putain de ta race, j’veux un putain d’palace
de la putain d’caill-sse, deux, trois putes, un kalash
un 9mm, quelques grenades, pour éclater des faces et un putain de famas
oh putain je tab-sse, putain je frac-sse
ta gueule sur le sol comme edward norton
j’ai beaucoup de gars qui sont pas important
mais qui t’allument ta race parce que les couilles l’ordonne
faîtes pas les malins, lascar et malé
viens si t’as des couilles, vas te faire rafaler
viens si t’as des douilles, viens tu vas avaler
mec je suis pas seul et si tu bouges sa va barder eh !
j’suis pas pareil que tout les autres rappeurs
mon père à moi c’était un vrai gangster
c’est moi le meilleur j’te sors un flow t’as peur
j’veux ma baraque avec un p’t-te plan d’z demande à helboy
la beuh c’est tout, c’est tout, c’est tout
fils de pute ? gpgang c’est nous, c’est nous, c’est nous
venez pas nous test on perd pas de temps
venez pas nous test on laisse pas le gang
glock, cagoule, bâtiment, ve-ca, et aller tu resteras dedans
j’vis que dans le bordel moi x4
je deviens fou j’ai plus de pitié
mes gars font des sous en bas de la cité
poto c’est pas tout de savoir kicker
si tu veux blaguer mon crew, tu vas te faire niquer
comme ma pute de la nuit dernière
atteindre mes buts, eh ben oui je sais le faire
tu connais pas mes luttes, tu connais pas mes chutes
j’suis en bas du hall avec 8 cerbères
t’as pas de tard-pé, viens pas nous voir
g.p.g fric et pouvoir
posé dans le quartier j’encule des phases b
et j’préfère écrire quand il fait tout noir
tu me verras pas fuir, m’traite pas de saoûlard
leggins en cuir, j’té-ma son boulard
j’ai envie de lui dire, c’est quand que j’te tire ?
dans les escales ou même dans le couloir
gangsta paradise garanti
ratatata j’pars en vrille
je voyais mon papa aller au card-pla
et un pet-t bâtard me voir grandir
putain c’est quoi ça ?
vécu de poissard
douma kalash avait raison
p-sse le goro et les m-ssa
et puis basta
j’suis dans une autre galaxie
je bédave pour me relaxer
pas de medoc de pharmacie
y’a que la beuh que je veux niackser
tu sais pas qui je suis ?
et tu veux jouer avec moi ?
ok mon grand c’est parti, si tu veux faire le gangsta
en tous cas j’ai pas reup
et tu veux savoir pourquoi ?
parce que moi je cours pas
je suis le digne fils de mon reup
la vie de ma mère, diakité, appliquer, aptiquer
jamais de la vie, on a des marabouts impliquer, c’est compliquer
de m’ôter de la vie, des fois je traîne avec amadi
des fois j’suis aux al madie
souvent j’suis avec lascar, mais souvent j’suis dans dakar
j’ai la tête qui va exploser, a paname gros l’hiver c’est triste
quand j’en ai marre de trop m’exposer, je me dirige vers liberté 6
sénégal à vie, je fais du sale à vous
je bouffe pas de salami, mais le mafé de kadjatou
dès le matin, 94 la zup, gangstas, villeneuve la garenne, les imeubles la galère, les filles veulent la galette
[couplet 3]
je fume de la beuh, dès le matin
je veux tremper ma queue, dès le matin
allez fais-moi des œufs, p’t-te catin
biff jaune et bleu, c’est le vaccin
on s’en bat les couilles c’est les g.p.g
on fait l’argent rapide comme le tgv
j’veux cramer la banlieue comme a fait papa
et aller à la mecque comme a fait pépé
et j’veux plus voir tous ces gepetto
ah tu me fais des pet-ts bug enfoiré va, aller rebalance moi cette merde la
on va leur montrer que c’est facile ça
j’aime les voirs à 4 pattes quand elles transpirent et qu’elles sont nus x4
motherf-ck j’suis fon fon fon fon fon
vas-y guizi c’est bon bon bon bon bon
elle est bonne elle est opé
elle me demande de goûter
c’que j’ai dans l’caleçon-çon-çon-çon-çon
pét-sse, j’aime quand t’es trempée
tu essayes d’me tenter
fais voir les garettes-ci avec le paquet de feuilles
j’aime quand tu crois que t’es la seule
que mon amour est aveugle
moi j’suis en train d’te tromper
mais tu pourras m’avoir si ton tard-pé me rend fou
j’veux pas cracher dans toi moi je veux cracher dans vous
gros joint une pote-ca met toi à poil et on s’en fout
le toutou veut sa tte-cha et il veut pas rester en loup, ow
j’baise au pluriel
tire plus de coup qu’une fusillade
qu’ce soit christelle ou murielle
j’vais la rendre cool comme une image
elle veut m’faire une pe-pi, pe-pi, j’lui rentre ça bien jusqu’au fond
évidemment j’suis un cochon
j’ai des potes-ca et des pochons
girl écarte tes cuisses qu’on te biffle motherf-cker x2
[couplet 4]
cette fois j’ai jamais retourne ma langue
j’ai un flingue, j’ai du sh-t, j’suis dans un gang-bang motherf-cker
f-ck le monde j’ai pas d’patience
les porcs se font les gars d’ma bande
je tords le son, les portes sont mées-fer, mais on a d’l’avance
on p-sse par la fe-gue-nê-guê-tre, un schl-ss tu nous re-gue-mets-guets
les li-sses faut qu’on br-sse, si tu m’cannes bah j’re-gue-nait-guait
vis comme un renégat, scred dans mes déplacements
traîne qu’avec des cas-soc’, miss y’a rien d’épatant
et j’pense que la vie est belle, quand elle a taillé sa pipe
gros eins’ gros cul, putain j’ai oublié d’appeler la spip
j’suis dans ma sphère génération 91
pillave, bicrave on a du détail pas besoin d’cons’
moi j’ai prié avec foi, ma ville est avec moi
on a la haine comme dans la squal cousin ma cité va quer-cra
igo, on est à se-l’ai dans nos baskets neuves
si c’est des li-sses qu’elles veulent
elles auront pas ce qu’elles veulent
igo, j’la touche pas si elle a pas d’belles sseuf’
et si elle m’c-sse les ieups’, moi j’me fais sa belle sœur, igo
envoie les feuilles j’vais nous rouler un deltaplane
laisse tomber ton vieux leur-dea
il t’parle de frappe y t’fait d’la caille non, non
moi j’représente, tout les coins et toutes les zones
jette un œil y’a pas qu’des mecs qui fourrent des mômes
banlieusard y m’faut ma paire de quin-re, check le 20e, bête de joint d’beuh
ouais je tiens le choc, motherf-ck’, mec j’dormirai main-de
jusqu’à saint leu, j’ai faim le temps p-sse, j’embr-sse de grandes li-sses
et si dieu veut le temps de la crise et bien vieux, j’suis un affamé j’ai faim de
si j’ai vu les flics c’est 22, rien à foutre tes potes sont blindés on veut juste br-sser un peu, ouzou
rien à foutre tes potes sont blindés on veut juste br-sser un peu
[couplet 5]
l’encre coule, le sang se répand, les frères vivent en marge, fils
finissent en cage, leur avenir finit saccagé
saccager nos bâtiments le soir, c’est ça nos vies
on s’atrophie l’esprit avec le sh-t et d’autres saloperies
depuis que la baraka est partie, ça fait des bagarres
a dix contre un, on s’croirait dans un géant paris
paris ou m-rs-ille, dans le fond c’est la même
on s’éternise à faire du fric car il en faut plus que la veille
et certains papas ont fait leur valise pour retourner au village
ou bien ont divorcé, voilà un pet-t bout de ce qui nous arrive
l’arrivée : chez nous c’est tout ce qu’on vise depuis l’départ
et vu qu’ici y’a pas les loves constamment on s’nourrit d’espoir
on n’cesse de saliver devant les gosses de riches et autres fortunes
cadre supérieur, gianni versace sur le costume
costume de flic ou de racaille sont de sortis
légal ou pas : [les deux travaillent donc ce sera morbide ?]
morbides sont les allées que l’on fréquente
on a des rêves de monter haut même quand on part pour une descente
je vois les pet-ts frères s’enliser, certains se cachent
pour se mettre sous flash ne vivent que pour s’enivrer
s’enivrer, s’empirer encore et encore
aller flamber devant les gadjis qui veulent des colliers en or
mais c’est pas la vie ça même si c’est pleins d’aléas
j’pense à ceux qui se sont dit “j’veux tout plaquer, allez hop”
aller dégaine de fatigué, on traîne sur l’avenue
comme des chiens qu’ont pas vu que la fourrière allait les embarquer
ent-ssés, trop souvent p-ssés des nuits au poste
et je parle pas de la fm mais de celui qui laisse des bosses
au rmi on fait des mioches, ceux que la dd-ss veut placer
j’en connais plus d’un qui dirait que c’est moche
et demain c’est loin mais de toute façon on s’en fiche
on veut tout niquer, grimper à la tête de l’affiche
ouais demain c’est mort mais on s’en fout on est têtus
a quoi bon s’projeter si c’est pour être déçu ?
mec demain c’est loin alors sur le coup on y pense pas
j’crois qu’il y a des plaies que les hôpitaux ne pansent pas
j’te parle de frères et de sœurs qu’en ont trop vu
j’te parle de pères en détresse qu’en ont trop bu
et peu importe la boisson quand t’es encloisonné
la moins forte des boissons peut empoisonner
bah ouais, prisonnier de nos destins pas si roses
victime du cancer du poumon et de la cirrhose
et la poisse nous rit au nez, pas d’sou pour réveillonner
les durs s’en sortent alors les sentiments sont ballonnés
la veille on était en vie, demain on sait pas trop
et peu importe le physique par chez nous on s’appelle “gros”
gros : c’est comme ça qu’on veut le compte en banque
marre de manger des briques et de voir qu’on est en manque
sky et pastaga, la maille p-sse-la moi
tu connais déjà les ratchatchatcha tchatcha
voyons c’est pas la fin on peut tout faire
et tant que nos mères sont en vie, croyez-moi on peut tout perdre
perdre trop souvent c’est le cas
faut s’éloigner de tout pour tenir le cap et revenir debout
la recette : on est pas nés avec, on la prend
autant que la perche ne s’demande pas, on te la tend
attends, de toute façon on a l’habitude
de mener la vie dure, voir les proches vautrer sur le bitume
demain c’est loin, de toute façon on en parle plus tard
malgré les fautes on est p-ssés par le plus dar
demain c’est loin, demain c’est mort
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