lirik lagu gianni – comme avant
[intro : tag]
drama state
[couplet 1]
traces de freinages sur le macadam, on va pas s’arrêter s’il manque un homme
qui changera de visage même pour la somme ? en cogitant le soir, t’auras le seum
j’détaille la c-ke en face, le poto détaille le sh-t en fait
on sait c’qu’on fait, merde, c’est la cess qu’on fait
maudit par la vida, tout ça, c’est inévitable
sans s’abattre, tu survis pas, il en faut plus, ça t’suffit pas
y a celui qui fait et y a celui qui parle, à l’heure actuelle, je visser sur ris-pa
envoie l’adresse on ve-squi les képis, ma chérie p-sse, j’viens d’lui taper la bise
on prendra des risques pour gratter la pièce, perdre du sang pour affirmer sa pla-a-ace
[pré-refrain]
ah, ah, j’inhale et j’compte les grammes, j’descends en bas
[refrain]
c’est plus comme avant et en fait, j’m’en bats les couilles
j’en ai perdu du sang, oui, mais j’en ai mis, des coups
les souvenirs s’emmêlent, j’les vois en noir et blanc
j’ai grandi sur le banc, j’ai vu qu’il fait noir en bas
c’est plus comme avant et en fait, j’m’en bats les couilles
j’en ai perdu du sang, oui, mais j’en ai mis, des coups
les souvenirs s’emmêlent, j’les vois en noir et blanc
j’ai grandi sur le banc, j’ai vu qu’il fait noir en bas
[couplet 2]
le mur [devint blanc ?], il n’est pas serein, on n’est pas charmés par le chant des sirènes
et y en a combien qui vont serrer ? dans le futur, j’repense au p-ssé
et j’me dirais que j’ai pas -ssez, que j’ai pas été -ssez précis
j’ai vu les vrais, les faux, ça s’précise, on est moins qu’avant dans l’édifice
tu verras avec le temps que tu changeras d’avis sur eux
n’aie pas l’cœur sur la main ou il finira fissuré
bah oui, c’est la rue, j’suis habitué, c’est l’horaire habituel
ient-cli du 14 fait sonner les tels et moi, j’irai récupérer les talles
faut qu’on se c-sse en été tout en évitant la taule
[pré-refrain]
ah, ah, j’inhale et j’compte les grammes, j’descends en bas
[refrain]
c’est plus comme avant et en fait, j’m’en bats les couilles
j’en ai perdu du sang, oui, mais j’en ai mis, des coups
les souvenirs s’emmêlent, j’les vois en noir et blanc
j’ai grandi sur le banc, j’ai vu qu’il fait noir en bas
c’est plus comme avant et en fait, j’m’en bats les couilles
j’en ai perdu du sang, oui, mais j’en ai mis, des coups
les souvenirs s’emmêlent, j’les vois en noir et blanc
j’ai grandi sur le banc, j’ai vu qu’il fait noir en bas
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