lirik lagu géabé - un regard neuf
‘aime regarder le ciel, imaginer que j’ai des ailes
cette vie est fade, besoin de sel ou d’un accord sucré de saul
l’impression d’etre le seul a ne pas scruter le sol
le monde les gens s’en grattent l’aisselle j’en sécrète des seizes
quand j’serais pret du decès, j’espere ne rien regretter
j’aurais pas été un autiste qui trace sans regarder
y’a pas d’notice pour apprendre la curiosité
j’ai observer les autres vivres
y’a trop d’types qui p-ssent sans remarquer
plein d’détails b-n-l a leurs yeux
chardclo ont dormis dans sa p-sse rien a péter
il pue l’vomis et la teese
j’me demande souvent comment on fait pour en arriver là
j’aimerais lui demander mais l’pauvre vieux ne m’comprendrais meme pas
paname insensibilise, habitué au pire c’est sur l’dos des p’t-ts
que l’empire s’est batti c’est pire que l’enfer
nos villes embrases nos nerfs et nous brise les longbert
le bruit la cr-sse donne pas trop envie d’embr-sser ses comperes
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
lève les yeux, me parle pas des cieux, laisse les ou ils sont
sa fait longtemps qu’ils ont déserté ces ruelles sans issues
sous tes tissus se cache la bonté j’en suis sure
meme si tu rechigniole a laisser jaillir pour quelques fissures
l’ampatie n’est plus a la mode
les sentiments p-ssent a la trappe
aujourd’hui sa me frappe de plus en plus et t’façon alarmente
que d’la mise a l’amande et des batailles de regards,
je vous p-sse a la raie, rien a prouver a un tas de crevard
j’déanbule et cherche a renouveler mon regard sur les choses
me shoot au rapeurs humains sans lésiner sur les doses
souvent méditer s’impose je m’accorde des pauses et me pose
sur un banc dépose le matos et attend que pousse les roses
je parle aux arbes, les pauvres n’ont pas choisit
de vivre dans les pots d’échappement de nos villes
au teint moisit, n’ont pas l’choix moi si pourtant je reste ici
et reve a des etendus sauvages pas encore recouverte de pesticides
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
nettoies tes lunnettes, brule tes oeillères
éteint ton ipod, fous y du choubert a blinde
oublie tes salles code, change va voir ailleur
ou plus simplement, regarde autrement, prend le temps
soit plus tolérant, j’donne de leçon a personne si ce n’est a moi meme
j’suis le premier a me comporter comme un con disont qu’parfois
jmen rend compte, et j’maffronte quand jme rencontre
dans d’mauvaise dispositions, me jette un vers d’eau a la gueule
ou un coup d’pied dans l’fion, y’a trop d’emotions qui m’transpercent
difficile a c-n-liser, emotions faussé par l’abus de drogue
ou d’alcool anissé, éccorché vif a fleur de peau
amateur de bitur, j’arpente la eur jusque tard
courbatures de batard, capteurs sensoriels ouverts
j’écoute, j’observe et je touche la beanté la laideur et
j’apprend a fermer ma bouche, je cherche la quiétude
dans les tourmens de nos boulevard,
jamais trop tard pour un regard neuf mais faut l’vouloir.
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
c’est quand qu’on part car quand on compare gars,
on a l’impression qu’c’est mieux la ou on vit sans sa parka
mais ses problemes on s’en sépare pas,
un état d’esprit d’merde te suivra toutpar
c’est ton karma, fourre ça tout au fond et jette ton cartable
g-o-o-m-a-r a la prod
géabé au mic
breeh
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