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lirik lagu furax barbarossa - a l’instant où je te parle

furax barbarossa & reda la pire des races

1er couplet : furax barbarossa

au moment où je te parle, elle donne la vie dans la douleur
et son enfant dans l’congélateur changera vite de couleur
ambiance glacial, devant le juge elle plaidera la folie
et l’avocat du diable jure et sa plaidoirie est solide
pendant qu’un type, poussé à bout saute du 10ème étage
ça fait tilt, non c’est pas vous, juste cеtte histoire d’héritage
son frèrе lui même, l’assassin mais sur le macadam
la criminel conclut l’suicide devant le sac à cadavre
ta france ça la fait marrer elle, quand il gueule ” aidez~moi ! ”
l’armée tire à belle réel sur des gamins et des moines
tu vois la paix toi là, dans une poignée d’main
moi j’y vois deux pédales à la conquête de la moitié d’ l’inde
” vas~y lève toi ” comment ça j’me lève mec ? c’est ma place man
voilà comment ça part la tête écrasé comme un plasma
entre le trottoir et la nike air, du plus résistant
c’était pas ta guerre t’as vu ? mais fallait p’têtre prendre tes distances
là où le rap français s’américanise, rappelle~toi qu’il grognait comme un pit, aujourd’hui chiale comme un caniche
si tu crois qu’vais faire d’la maille sur les dos des gamines
c’est qu’tu sous~estimais l’niveau et la taille de mes canines
bendejo, barbarossa et l’infréquentable à l’heure où les talents sortent de la star ac’ pour un vrai cantat
racontez l’amour et les fleurs bandes de blaireaux
chanter un fois par an pour les restos du cœur, ne f’ra pas d’vous des héros
a l’heure où les frères auraient mieux faits d’se tenir tranquille
si la peine avait un poids, j’en aurais bien plus de 30 kil’
laisse, laisse~moi regarder fondre, les glaciers d’alaska
les mômes faire comme les grands font, les voir ramasser l’ayahuasca
l’heure est à la guerre, l’heure est à la mort, l’or est à la mode
il est l’heure d’authentifier un corps pour une mère à la morgue
gy~gyrophare, sirène, atmosphère puante
ici l’ambulance arrive mais elle est de plus en plus lente

refrain :

une femme perd les os pendant qu’un homme perd tout son sang
a l’heure où je te parle, la vie perd tout son sens
on s’en sort comme on peut, on s’aide à ramasser les cendres
et sait qu’pour eux, tout ça c’est une piste d’intérêt~sans
un homme perdra la vie pendant qu’une femme donnera naissance
a l’heure où je te parle l’ami, n’sens~tu pas l’essence ?
dans ces c~cktails, j’y n’enferme que les flammes de ténèbres
a l’heure où je te parle frère, seul le sheitan est célèbre

2ème couplet : reda la pire des races

sachez qu’à l’heure où je vous parle, la guerre fait partit les fils trop tôt
foudroyer par la peine, les mères s’changent en bombe humaine poto
raf et génocide se multiplient, la paix se raque
là où négocier une trêve, c’est devoir négocier avec des farc
l’espoir s’brise et le couz’ dealent le ventre vide, disent que gloire et bonheur ici bas s’obtiennent qu’à la disqueuse, que parler au futur c’est faire preuve d’optimisme, quand tu t’vois grandir au 31 besson style street
entre préjugés et racisme, on t’apprend qu’la haine s’éduque
que même les alliées les plus sincères, peuvent devenir des putes
j’viens d’là où gendarme, miskine, sont parents
un putain d’bled, où éviter d’crever avant 30 ans devient ton seul talent
courser par les keufs, moi, lynché par les grands
on m’a appris minot à boxer sans les gants, à bouffer sans les dents
parce que les temps sont bad et qu’le cerveau des mômes gangrènent
des frères sans bats, les emballent et s’fight pour cents balles
c’est ça l’monde, à l’heure où je vous parle, je vous le jure
pour le gent~ar ça braque des nôtres, annonce ta mort pour ta montre dur
bête et b~st~~le, ça kiffe les grosses caisses, les belle fesses, les baises sales, la bédave et êtres payer en espèce
merde ! j’arrête pas d’causer et tout le monde paraissent, s’en foutent
mais retenez ça qui veut ma peau, finira par être ma bouffe
chouff, vu qu’ton parler, j’bazarde ma zik en bâtard
arrête de rêver et bé~ger ma life sur b~st~rd
castagne ! t’arrache ta putain d’gueule si t’es pas d’taille
débarque, dérègle ton crew, cent par ‘tass, un jour sous la parca
moi j’suis d’la pire des races, au profil inamical, à la couleur kamikaze, au flow kalash inimitable
r.e.d.a, r.o.s.s.a, retient les initiales à l’heure où l’rap étant rien
mon soss’ et moi on f’ra le nécessaire, là j’tai laisser faire du lourd du vrai pour le crew, pour l’équipe, la famille, les bâtards qui savent qui sont mes refrés
refrain :

une femme perd les os pendant qu’un homme perd tout son sang
a l’heure où je te parle, la vie perd tout son sens
on s’en sort comme on peut, on s’aide à ramasser les cendres
et sait qu’pour eux, tout ça c’est une piste d’intérêt~sans
un homme perdra la vie pendant qu’une femme donnera naissance
a l’heure où je te parle l’ami, n’sens~tu pas l’essence ?
dans les c~cktails, j’y n’enferme que les flammes de ténèbres
a l’heure où je te parle frère, seul le sheitan est célèbre

- lirik lagu furax barbarossa

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