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lirik lagu frap (fra) - lola

[kroc blanc]
on a pris des portraits, on les a brandit
en la mémoire d’audrey, on a applaudis
a chaque pas que je fais, mon cœur s’appauvrit
sur le chemin de la haine, j’suis qu’un apprenti mais j’apprendrai vite
l’amour s’effrite, j’ai eu l’déclic plus besoin qu’on m’explique
méprisé par l’etat, les juges, les flics
j’ai dressé un constat pathétique: on doit s’organiser (les automatismes)
protéger les nôtres, s’il veut me tuer l’autre, si des corps doivent agoniser (on a plus le choix)
ce ne seront pas les nôtres, je vais changer d’hôte, le cheval est carbonisé
j’vais repartir d’une page blanche, trop d’erreurs a corriger
on reverra l’colisée (~isée), [chien de?] la terreur à atomiser (~iser)
leur lames sont alcoolisées (~isées)
plantent pour deux trois call e~bay (e~bay)
la france écoute trop [l’ib?]
mes frères sont ils du gibier ? ou des putains d’prédateurs (blancs)
on s’répète qu’il n’est pas l’heure
en premier chasser la peur, protéger nos sœurs
cesser d’jouer l’acteur

[siriusamc]
dieu bénisse les innocents (innocents), et donne la paix à ceux qu’il reste (qu’il reste)
la terre brisée par la peine (peine), le sang d’la chair de la chair, couleur chanel
quand le dégout s’ajoute à la peine, peu répondent à l’appel
faut qu’tu t’élèves, la vie tiens à l’application d’une oqtf (oqtf)
qu’ils s’assoient sur une chaise a 900 ampères
ou prennent pour 100 ans ferme
que ces démons retournent en enfer
ah que la folie est convenante (faut que ça cesse)
ah que le profil est constant (faut que ça cesse)

(lola, lola, victime collatérale de ces ayatollah)
(pour une poignée d’dollars ils ont vendus ton âme à quelques charognards)

[kiba]
petit blanco sert de souffre douleur pendant qu’leurs mains sont tendues pour toutes couleurs
petit blanco t’es solo quand tu pleures
pourquoi c’est eux qu’ont l’monopole du cœur (hein ? hein ?)
alors pose la question, au détriment des masos qui t’imposent la pression
pour eux la gauche a raison telle une secte (toujours)
même les micros agressions s’récupèrent (toujours)

ils pourraient êtres aveugles au pire
dire qu’ils n’y a pas de blancs qu’aussi de n’en voir aucun
chez eux le blanc est fautif, apparemment c’est logique d’en vouloir aux siens (putain)
tout ça j’le pense et j’le dis, ça fais longtemps que c’est plus un discours de [barrodin?]
on sais tous que cela va s’reproduire, c’est lola aujourd’hui qui sera l’prochain ?

[lys]
c’est à propos d’une messe noire que j’écris (que j’écris)
les bruits sont d’un désespoir que je crie (que je crie)
a la une des médias, une jeune afghane pour qui on demande de verser une larme mais c’est qui ? (mais c’est qui ?)
on l’oblige a porter l’voile oui c’est triste (oui c’est triste)
pour elle tombent les mèches grasses des actrices
mais pour lola plus personne parle
que des messes basses qui marmonnent l’élucubration des n~z~s
(lola, lola, victime collatérale de ces ayatollah)
(mon peuple est trop las d’voir des milliers d’tolards en dehors du couloir)
(dans l’ombre du pouvoir comme la [fière d’une chorale?] ou le jeu du foulard)
(pour une poignée d’dollars ils ont vendus ton âme à quelques charognards)

- lirik lagu frap fra

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