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lirik lagu fayçal - trente trois milles et des poussières

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[jeune~bran]
peu importe où tu pousses le manque de fric ça passe qu’un temps
et dire qu’à 4~5 ans je payais mon grec 4,50
alors faut vite qu’on file avant que le vide se profile et
je reste au fond du court quand le diable s’invite au filet
respirer la merde ça fait pas mal qu’aux sinus
même si on est pas du même coin ça veut pas dire qu’on simule
que l’adversité baise sa mère, la finalité reste la même
on se fait sucrer la victoire donc la défaite reste amère

[87.g]
génération perdue entre pe~ra et poppers
eux c’est harlem shake, nous c’est harlem globetrotters
on a passé trop d’heures à taffer pendant que tu roupillais
on a brassé des gros billets, du scénar j’en suis l’auteur
frère, on a plus d’une raison de passer à l’offensive
car sur les épaules on a le poids de la maison
le taff qu’on fait ; avoue que peu de gens le font
le charbon fait suer, c’est pour ça qu’on est sur tous les fronts

[tounss]
trois milles et les poussières, les poumons dans la douce
avant que tout ferme place de la bourse, détailler la mousse
j’ai préparé la course, je freine jamais sur la cons’
carré pour la cause, cous’, là où les poches de tounss prennent rarement
sur la touche, j’y vais au talent, j’ai la bouche
je te carotte, tu crois que je t’arrange, tu pourras pas changer la souche
payer [?] le swoosh, véritable source
wesh, c’est vérifiable : y a pas plus rentable que le sou
[azzedine]
les galères j’en ai eu trente trois milles et des poussières
connu la rue et ses gouttières sans être un baron de palerme
forgé par des propos acerbes, j’ai pas soigné mes maux à l’herbe
la défaite a le goût de la merde, [?] on l’était tous hier
azzedine c’est mon blaze, maintenant je suis en place
je veux marquer le monde avec ma plume, pas être un ectoplasme
la belle endormie prend son envol comme une colombe, pas un corbeau
putain de merde, je suis en rogne, les meilleures plumes viennent de bordeaux

[din’dinor]
je vagabonde comme un rat dans les rues de ma ville
moi et ma bande on [?] la vie de rue c’est pas facile
on la connait sur le bout des doigts, tu tiens pas si t’es fragile
moche et beau, ma cité [?], elle ne va pas me quitter de si tôt
honnête ou pas cité, on les aime nos hlm
[?] mes récits propres
ma gloire j’ai cru voir passer, percer
perso, j’y crois pas assez

[ojos]
mes lyrics percutent, en huit mesures je distribue que de la rime brute
chaque ligne je glisse l’uppercut depuis ma première rime sous l’abribus
parle pas de vie de luxe mais d’un vécu quand je crame l’anti~pop en cabine
en golf vi [?] je reste le même quand pour le summum les autres tapinent
donc là je confirme, affûte la plume pour qu’elle reste intraitable
en parallèlle avec leur monde où ils ont que du flaire pour un trait de [?]
moi je fais du rap, celui qui tue, donc m’attends pas où ça se pousse, frère
tu veux me capter ? je suis dans mon stud’ à trente trois milles et des poussières
[nars]
qu’il fasse soleil ou qu’il pleuve, la ville brille de mille feux
un air de big pun, entre [luxe et dieu miteux/? mythe ?]
ma belle bordelaise, la belle endormie
une somme rondelette, je me déconfine face aux mines déconfites
(allô fayçal) là c’est bon j’ai gratté une huit
l’ambiance est sah comme à l’époque de gravel pit
c’est pour la ville, celles qui les avoisinent
y a ceux qui le font par amour et d’autres par loisir

[rahim]
wesh frérot, mon dollar on vise les 100 k
je rési je réside bordeaux à casablanca
électrique comme [?]
bilbao, salamanca, un [?] c’est pas un en~cas
avant le brancard avec le crime t’as rencard
ouvre pas tes chakras devant un chacal
salvador dalí, giacometti
je suis devant un tableau de marc chagall

[sixtape]
je soutiens les trois quarts si les gars méritent
celle~ci c’est pour ma ville ou bien l’étoile parmi les satellites
c’est [?], là peut~être qu’on rit de moi
mais je préfère alzheimer plutôt qu’avoir la haine contre qui ne croit pas
je suis avec fayçal, j’honore l’invitation
sonore implication [?] par infiltration
au bord de l’indignation, c’est tout ce qu’on laisse [?]
si on rap, qu’il vente ou qu’il neige les bouffons plaident l’asphyxie
[fhat~r]
des cadeaux qu’on se fait n’en retient que le geste
et que le reste n’est que du tos~ma échangé contre quelques pièces
sur toutes mes fresques les doutes m’oppressent de partout les galères ne sont elles pas les mêmes ou presque ?
et walou me fera reculer devant mes rêves de minot
on compte sur toi et puis tu tombes dès qu’un domino [bienvenido ?]
enchanté, fhat~r, je pète la forme
je suis venu changer la donne avec des rimes mais toujours [?]

[fayçal]
c’est pour mes grands, mes petits, les miens, peu connus mais reconnus du cran
partis de rien ou arrivés de l’inconnu
même chemin, même rue, même rocade où les destins diffèrent
où certains potes se disent frères et derrière portent l’estocade
à toutes ces embuscades, ces 400 coups d’un soir
ces accents, ces bouts d’histoires jamais doublées comme les cascades
ces rats des villes, ces rats des champs, ces bons plans, ces souricières
ces reines, ces sirènes et leurs chants, trente trois milles et des poussières


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