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lirik lagu fababy - freestyle booska boss

[1ère partie]
j’ai rappé avec eux mais aujourd’hui j’le regrette
j’esquive les miroirs, j’ai peur de voir c’que j’reflète
pour qu’mon futur ait du charme, j’ai maquillé mes défauts
menotté au radiateur, j’irai sûrement au dépot
tah pianiste ou violoniste, j’suis voué à une carrière solo
la poisse me retweete, la paix veut même pas m’follow
y’a des blessures qui guérissent pas, frère, demande aux médecins
j’suis arrogant et vulgaire. ambitieux, pas mesquin
même si l’état fermait les yeux, j’sais très bien qu’vous me voyez
comme un iceberg, y’a une partie de moi que j’aimerais noyer
j’fais pousser d’la drogue et ton p’t-t frère la consomme
girl, parle pas aux feux rouges, les car-jacking te consolent
y’a pas de guerres sans armes, pas d’représailles sans larmes
ma vie : une dictée remplie de fautes, corrigée par l’imam
à force d’emmêler nos vécus on finit par s’attacher
comme un nudiste en garde à v’, j’ai plus rien à cacher
j’ai le destin d’une luciole : même dans le noir j’peux briller
“haya ‘ala salat, haya ‘ala salat”! priez!
j’veux marcher seul à châtelet, non j’ai pas b’soin d’sécu
on porte une djellaba, ça se verrait si on s’était déjà chié d’ssus
93, notre violence tient la route, on s’croit vraiment tout permis
mon succès porte une gilet pare-balles, j’ai une rafale d’ennemis
si tu m’aimes pas, tu niques ta mère!
pour voir la vérité en face, baise la vie en pose missionaire
j’tourne en rond comme le périph’, j’trouverai jamais l’bon sens
dans un cimetière de sentiments, j’ai déterré d’la vengeance
l’intérêt du buisness, c’est de faire du profit
j’les trouve joyeux mes grossistes… et mes dealers
ceux qui caill-ssent les keufs, xxx qui vont tirer sur tout l’monde
la courneuve, aulnay, rosny ou stains, pierrefitte, bondy, villemomble
côte d’ivoire #225, j’crois que je le dirai toute ma vie
décalé chinois wa chong ching, allez faya sukali
on s’venge plus vite que la police, ça sert à rien d’crier “22”
à force d’insulter tout le monde, tu sais même plus qui t’en veux
ma nièce me réveille avec ces histoires de dora et d’sac à dos
sac à dos, j’suis en guerre avec des [sacs à dos ?]
j’sais qu’elle me trouve moche mais elle aime la beauté d’mes ventes
sur la route du succès, t’es ébloui par mes jantes
on bouge ensemble aux descentes, ouais l’quartier faut l’défendre
c’qui ne tue pas, rend plus fort : j’ai plein de rappeurs à descendre
bonhomme, pour que je verse des larmes, dois-je attendre qu’il pleuve ?!
pompier ou pyromane, t’approches, on fait feu!
si j’me déclare polygame c’est qu’ma go en vaut plusieurs
on va te remplir d’bastos, tu portes le nom de videur
fini reebok cl-ssics, maintenant on braque en tn
elle fait la meuf halal en tweet, mais c’est une pute en dm
menaces et éloges, frère, c’est tout ce que j’ai reçu
achète pas un fusil à pompe si t’encaisses mal le recul
one, two, one, two. noisy, j’dédicace
j’ai cru que la france aimerait ma religion, ma soeur j’me suis voilé la face
une pluie d’embrouilles, on a même plus le temps de causer
j’suis cette graine de voyou que les keufs aimeraient arroser
mon coeur, une pièce vide ou seule maman peut rentrer
on s’parle mais on s’comprend pas, un peu comme à l’-ssemblée
un destin sans miroir. à qui faudrait que j’ressemble ?
amour, colère ou haine… va savoir c’que j’ressens
célibataire et j’vis seul. s.o.s d’une vie thug
en plus l’état nous mitonne, c’est trop pour moi, faut qu’j’m’isole
j’ai du me racheter car le quartier m’a sali
la gloire est venue sans crier gare et j’ai du changer de train de vie
comme mes ennemis, j’mets du temps à périr
j’cicatrice, mais mon égo mets du temps à guérir
solidaire de mes frères, j’viens t’prêter main forte
solitaire, c’est l’hiver, la misère frappe à ta porte
isleym me demande pourquoi j’ai peur du soleil
pourquoi j’ai si peu d’aimer, pourquoi j’ai jamais sommeil
si j’crame des véhicules, ils sauront plus c’que j’véhicule
j’aime ma daronne à un point qu’on peut plus mettre de virgule

[2ème partie]
on est des durs à cuire. tu nous cuisines, on parle pas
violent paternel, pour ça qu’les guns font “pa pa!”
ah! comme une bite, tout c’que j’crache est profond
j’vais appeler ma fille mélodie juste pour rester dans l’son
sniffe un rail de c0ke, prends le train de la matrice
mourir pour une cause, partir en martyre, martyre
moi, mes punchlines te retournent le cerveau
sans sfr, j’ai déjà un réseau
ouais… ouais y’a peu de gens pour qui j’peux dead
donne moi tes poignets d’amour, j’ouvre les portes de la levrette
absent quand ça discute, j’suis distrait par mes rêves
tire un trait sur la chatte, parce que la rue a trop de règles
parce que la rue a trop de règles…

faut qu’j’accepte leurs feats, leur buzz fait de la peine
pour m’décapiter, sur moi ils s’prennent la tête
des fois j’me demande, frère, est-ce que le neuf-trois c’est moi ?
une balle dans la tête, les cadavres ont des trous de mémoire
on va te crosser si tu parles mal, boys and ladies
mon succès porte une gilet pare-balles, j’ai une rafale d’ennemis
s.o.s, may day! est-ce que les rg m’entendent ?
j’préfère crever dans un braquo que de vivre en mendiant
j’rappellerai si t’as l’esprit occupé
j’cours pas après les meufs prises, j’ai peu d’m’électrocuter
rap game leader
groupe de fans twitter
les pianistes pédophiles commence en do mineur

- lirik lagu fababy

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