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lirik lagu ekho #1 (hikari) - hikari musiik

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[couplet 1]
eh, hika
you made it, yah
faut qu’je parte avant qu’le ciel m’insulte, regarde, on est bons qu’à s’rappeler qu’ça dure
la rive sait comment m’émerveiller, j’devrais la quitter, mais j’suis même pas sûr
j’apprends à grandir au fil des choix, ça m’aide un peu à sourire, des fois
j’ai une dalle que personne peut rassasier, et j’peux toujours pas m’nourrir d’espoir
donc on lance la machine, on monte les steps, j’ai mis dans l’horizon c’que l’amour dеssert
j’crois qu’on a choisi la route des cеrnes, de la liberté, de la foule, des scènes
j’dis au démon : «c’est mon tour, laisse faire», et pour une fois il a l’air de comprendre
le ciel est gris, à l’humeur de mon vent, j’fais la part du tit~pe, j’fais la part de mon grand
j’regarde la tornade au fond des pupilles, c’est plus pareil, on est sortis du vide
mais j’ai toujours des flash de moi, cassé, dans des coins cramés, à compter du fric
j’peux toujours pas leur dire qu’on a tout réglé, mais dire qu’y a rien qui bouge, ça serait mentir
on était là, à gratter des centimes, j’connais mes fautes et j’connais les motifs
depuis, j’fais l’soleil, j’ai passé vingt piges à faire la pluie
à regarder mes ieds~p et à fuir l’avenir, le monde est grand et j’connais qu’la rive
j’ai des frères qui savent le dire quand j’abuse, qui laissent leurs problèmes tailler dans la brume
et quand on s’allume, encore sous la lune, les anges nous observent, se disent qu’on a vu
eh, et quand j’me rappelle c’qui nous obligeait
j’me dis qu’c’est mieux si on oublie l’reste, qu’on regarde la suite, faudrait pas s’y perdre, non plus
depuis qu’j’ai vu qu’on pouvait voler, depuis qu’j’ai vu qu’on pourrait sauter
j’ai mis toute ma force et tous mes efforts, dans c’truc

[couplet 2]
j’compte une liasse dans un taudis qui pourrait racheter tous les meubles
j’ai choisi la bonne équipe, c’était les cerveaux ou les cœurs
les minutes au fond des heures, la p~sse de shaytān dans les cups
i feel so…
on pense à deux quand on est seul, puis ça m’saoule, j’connais les contrats
j’connais la mi~temps, les combats
les p’tits reufs qui parlent de cances~va, tous les beaux décors, et j’en passe
son regard me dit «c’est quand, ça ?», j’bois la ‘teille en plan~séquence
arrête de croire, j’veux l’heure et l’endroit, un sac, un pourcentage
parce qu’il fallait bien trouver d’l’emploi, j’ai d’jà ça dans la tête
le p’tit en livreur dans ta fête, parce que le p’tit voudrait faire comme moi
et à son âge j’faisais pareil que c’que faisaient les grands d’la tess
on devient riche, on change d’adresse, et bientôt j’ai maison en campagne
hin, ils pensent qu’on est méchants quand on braille
raté, seulement des gamins qui cherchent liberté et comptable
j’ai pas besoin d’trouver des contacts, ils meurent pour moi, j’meurs pour eux
j’sais qu’après l’hiver on recomptera, mais là, l’ciel a l’air tout bleu
alors j’profite, des moindres failles du stème~sy
qui m’garantissent un avenir libre et qui m’éloignent d’une perquis’
eux, ils disent «tu persistes», voyent pas un pour cent du taf
pas un pour cent des sacrifices, verront pas la couleur d’une belle vie
eh, les vœux parlent à l’âme, j’traîne sur ce macadam
les ients~cli sont en forme, donc ce week~end, j’brûle deux balles à ‘dam
j’criais, j’sonnais pas l’alarme, une histoire de principes, gros
environnement peu fréquentable, mon voisin c’était un siste~gros
manger grâce à dix trop, j’vis encore de crave~bi
de grâce, ramenez des liasses, un jour il faut qu’on quitte le parking
des concours de parts tristes, les miens vont pas gagner
parce que j’vais taffer pour qu’plus jamais on laisse l’impasse se ravir
mais j’ai toujours la tête cramée, le cœur qui brûle, les yeux dans la mer
la zone peut laisser des fissures qui vont greffer les pleurs à la haine
et se relever d’tout ça, c’est dur, mais crois~moi, l’faire en vaudra la peine
bientôt j’vais faire chanter vos mères et ramener plein d’oseille à la mienne

[couplet 3]
eh
princess
j’sue, on s’enterre pas, j’fais grave la gueule
les reufs se sont noyés dans plein d’malheurs
j’ai accepté qu’on allait s’oublier
ici c’est trop dur pour qu’on parte ailleurs
le monde dans nos mains, tout l’monde s’en fout
c’est avec les mêmes cramés qu’on s’entoure
les autres, ils disent «faites la part des choses»
viens dans nos vies, putain, tente nos routes
bah ouais, c’est pas si facile, on a trimé sa mère, on a trimé sa mère la pute
j’suis qué~blo comme un enfant d’la b~tte, j’suis qué~cho, putain, l’attente, ça dure
le reuf est parti, le reuf est parti, le reuf est parti, j’attends qu’ça m’bute
j’mets des grands chassés, j’attends qu’la ‘ture, des tympans bleus qui veulent qu’on sature
cette vie nous tue, j’fais pas assez d’efforts pour essayer d’la c~n~liser
elle m’a tout dit, j’étais paralysé, l’enfer oublie tout c’que l’paradis sait
comment tu veux qu’on s’arrête ? comment tu veux qu’on s’arrête, ça a brisé nos âmes
comment tu veux qu’on s’arrête ? comment tu veux qu’on s’arrête, ça a créé nos armes
j’attends la tempête, j’attends la tempête, j’attends qu’on s’envole
nos vies sont cramées, on s’en sort, j’crois qu’on s’est tout dit, enfin on s’endort
putain, regarde, le monde nous parle, tout c’qu’il a promis nous emporte
j’peux pas leur dire qu’on a rien à dire, j’peux que nous rappeler qu’on s’en sort
j’attends la tempête, j’attends la tempête, elle se dit «encore lui»
nos cris sont calés sur nos torts, ils ont pris trop l’sol, ils s’disent encore libres
j’fais des grands oigts~d à vos renforts, j’ai prié trop fort pour qu’on soit encore tristes
on s’est construits sur un temps mort, le regard rempli, et nos âmes encore vides
[couplet 4]
triple seven beats
marre d’ici, le monde est grand, et moi j’veux rien louper
des tropiques, aux neiges éternelles, à toundra, la guadalupe
j’me répète, mais j’ai tout à prendre, un peu à dire, rien à prouver
c’est fini l’époque des rêves, la page, on peut plus la tourner
c’est ça ma vie, la même que tous les mecs avec qui j’traîne
j’l’aime pas vraiment, elle, elle me regarde pendant que j’regarde les sirènes
c’qui s’passe ici, c’est si vrai, sans rature, sans mascara
le plus dur que l’monde ait porté, dans quelques coins où passe la rage
khabat, dans une vieille gov’, avec dan en europe de l’est
dans une ville que j’pr~noncerais mal, où l’temps passe plus, où j’change les règles
même là, j’repense à ma zone, j’la déteste autant qu’je l’aime
parce qu’elle nous tient dans l’creux d’sa paume, pour quelques lov’, autant qu’je reste
on a grandi, avec ses principes et ses codes à grande dose
donc si j’leur donne un million, trois quarts en feront pas grand~chose
ils parlent toujours de s’en aller, j’sais qu’au fond c’est plus l’plan
moi faut qu’j’le fasse, j’ai plus l’temps, sinon j’vais rester attaché

mais bon j’remets trois fois la dose, histoire de m’sentir vivre
histoire de m’sentir mourir là, histoire de m’sentir libre
j’combats plus les démons ce soir, j’crois ils m’graillent de l’intérieur
ils m’chuchotent encore plein d’erreurs qui viendront pour nourrir mes peurs
qu’est~c’que j’peux bien y faire ? on est qu’des gamins d’la misère
on verre jamais l’planisphère, comme d’hab’ on s’fera rattraper
pour aller tout miser, sur une frontière ou sur un matelas d’c
sa mère ! j’parle de fractures, ils parlent d’accès
j’peux plus faire barrage, ça m’a d’jà cassé tous les os
les regards de tous mes khos, ça m’a pas fait d’armure, ça m’brise
et j’peux plus ignorer la daj qui dit qu’on quitte jamais la crise
j’ai isolé un cri à battre, j’ai oublié tous les autres
et ils m’parlent d’avenir, ils m’parlent de changements, d’croire en nous
ils ont pas vu un putain d’pour cent de c’qu’on s’est pris dans la gueule
le ciel est beau, le monde est grand, moi ça m’rappelle qu’on a peur
qu’on est bloqués au fond des ronces, qu’on tente de vivre où nos âmes meurent
putain !
j’voudrais courser mes rêves, mais avant d’courser mes rêves, faudrait sauver les autres
j’voudrais sauver les autres, mais pour sauver les autres, faudrait d’abord me sauver
et j’aimerais bien m’sauver, mais bon j’crois qu’pour m’sauver, faudrait d’abord qu’on change
et j’adorerais qu’on change, mais putain, pour qu’on change, faudrait changer les rôles


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